[Citadelles] Condotière et évêque

[Citadelles : Troisième édition]

Arrêtez-moi si je me trompe...

Le roi appelle l'évêque. Il se dénonce et joue. OK.
Le roi appelle le condotière. Il se dénonce, joue, mais ne peut pas toucher aux quartiers de l'évêque.
Normal

Le roi appelle l'assassin qui assassine l'évêque. Hérésie, mais OK.
Le roi appelle l'évêque. Il ne se dénonce pas, ne joue pas. OK aussi.
Le roi appelle le condotière. Il se dénonce, joue, et donc peut détruire un quartier de celui qui a pris l'évêque mais sans se dénoncer.
C'est bien ça ?

Plus retord maintenant (ça nous est arrivé hier).
Le roi appelle l'assassin qui assassine l'évêque. Hérésie toujours, mais OK.
Le roi appelle l'évêque. Il se dénonce car il a la carte hôpital qui lui permet, même s'il est assassiné de prendre deux pièces (ou une carte parmis deux). En revanche, il ne joue pas. OK.
Le roi appelle le condotière. Il se dénonce, joue, et maintenant la question : peut-il attaquer les quartiers de l'évêque assassiné ? Thématiquement on a envie de dire non, mais bon, on ne sait pas trop...

Bonjour.

De mémoire, je dirais qu'un évêque assassiné n'est jamais protégé contre le pouvoir du condotière.

Personnage assassiné = le joueur perd son tour de jeu.
La carte "hôpital" permet bien de gagner 2 pièces d'or à son tour, lorsque l'on a été assassiné...et c'est tout ! Le personnage assassiné ne revient pas en jeu pour autant donc la protection qu'il offre n'est pas active.


Remarque : Si le roi a été assassiné, il ne répond pas lorsqu'on l'appelle et ne joue pas son tour de jeu. Par contre, une fois le tour de table terminé, le joueur qui avait pris le roi gagne quand même la couronne. Ce "pouvoir " est impossible à contrer !

Salut !

Je confirme les propos précédents. Lorsqu'on est appelé, on doit retourner sa carte personnage, sauf si l'on a été assassiné. Dans ce cas, on perd son tour et ses avantages. A la fin du tour la courrone revient, le cas échéant, au joueur qui avait choisi le roi même si se dernier a été la victime de l'assassin.

Petite remarque : je n'utiliserai pas ici le verbe dénoncer mais à la place révèler, déclarer, dévoiler... parce que dans ce cas là, ça fait un peu bizarre. :wink:

Fred