Laidzep dit :
Pour Ghost Stories, c'est pour moi un concentré de ce que la mode des jeux coopératifs de cette époque ont fait de moins bien : le jeu joue, le joueur réagit. Le jeu est un joueur, le joueur un urgentiste. Dans le l'élection genre Pandémie est plus profond et moins long... Plus d'un an avant.
C'te blague, Pandémie plus profond que Ghost Stories. Fallait oser la sortir celle-là. Les urgentistes, t'as aussi du confondre avec Pandémie. Mais bon, ça a l'avantage d'être drôle.
Quant à Rosenberg, je n'ai pas essayé Bali, mais je ne suis pas d'accord avec toi en ce qui concerne Babel. Knizia bien avant avait d'après moi fait mieux, plus épurés et plus rapide. Je ne lui trouve pas de grandf profondeur stratégique (pas fondamentalement plus qu'un Schotten Totten par exemple). Il reste éminemment tactique.
Oui, Babel est éminemment tactique, mais ce qu'il propose n'a rien à voir avec ce que fait Knizia. Et Babel, ça date de 2000, donc avant, y'a pas eu grand chose, même chez le grand Knizia.
Oui, Babel est très atypique, mais la proposition ludique est très originale et le jeu offre des sensations ludiques assez nouvelles (par exemple, à Schotten Toten, à ton tour, tu joues une carte, c'est du vu 1000 fois, à Babel, tu as 5 actions à dispo que tu fais autant de fois que tu veux, dans l'ordre que tu veux, en 2000, c'est monstrueusement novateur).