[Nouvelle tendance] Plaisir ludique éphémère

Karis dit :Sinon, dites, déjà que "jetable" c'est pas un super terme là on est sur "kleenex". 

Au final je pense que je préfère qu'on repasse sur la forme proposée c'est à dire "éphémère" ;)

Cher Monsieur Karis,

Même pas. Le jeu n'est pas éphémère puisqu'il va passer à d'autre.:o) D'après moi de mon avis, aucun de ces termes ne convient en fait. Il faut je crois chercher un vocable pour qualifier la chose, parce que là, perso, aucune ne me semble convenir.

Bien à vous

Monsieur Phal

coup(t pour les vénales) d’un soir ? …
ah non c’est déjà pris
ça me rappelle ces boites de jeu jaunes type  soirée jeu murder party, je ne me rappelle plus le nom, c’était super sympa comme concept, avec une K7 audio dedans yes des enveloppes des roles une histoire

Monsieur Phal dit :
Karis dit :Sinon, dites, déjà que "jetable" c'est pas un super terme là on est sur "kleenex". 

Au final je pense que je préfère qu'on repasse sur la forme proposée c'est à dire "éphémère" ;)

Cher Monsieur Karis,

Même pas. Le jeu n'est pas éphémère puisqu'il va passer à d'autre.:o) D'après moi de mon avis, aucun de ces termes ne convient en fait. Il faut je crois chercher un vocable pour qualifier la chose, parce que là, perso, aucune ne me semble convenir.

Bien à vous

Monsieur Phal

"One Shot Game" ? Jeu d'artifice ?

'tain c’est un coup a ce qu’on trouve de nouvelles abréviations
allez je commence JNR, jeu non rejouable

ouais kleenex et jetable c’est bien pourri

Et votre avis M. Phal ? Les One Shot Game doivent ils nous faire repenser certains paradigmes éditoriaux ou de distribution au profit d’un rythme de sortie plus soutenu a risque financier moindre ? Leur durée de vie est elle congruente a leur capacité a générer et a entretenir une communauté de joueur? Et si oui, doit ton mobiliser cette communauté dans des choix éditoriaux ? (ex pour Unlock : Sondage sur des thèmes de prédilection pour les prochaines aventures ? Evolution du jeu vers l’aspect point and click et/ou escape room).
tant de pistes a explorer :smiley:

Ou “Jeu phénix” : Une vie flamboyante mais courte et qui renait de ses cendres pour un autre joueur

Jonathan Pionnier dit :Ou "Jeu phénix" : Une vie flamboyante mais courte et qui renait de ses cendres pour un autre joueur

Ou "Jeu follet" 😆

ElGrillo dit :'tain c'est un coup a ce qu'on trouve de nouvelles abréviations
allez je commence JNR, jeu non rejouable

ouais kleenex et jetable c'est bien pourri

Pire que ça : JSSNR, jeu de société à scénarii non rejouables.
Car ça n'est pas le jeu qui n'est pas rejouable, mais les scénarii qu'il contient.
​​SHDC est pour moi rejouable en tant que jeu, suffit que j'achète les extensions une fois les scénarii de la boîte de base achevés.

Jonathan Pionnier dit :Et votre avis M. Phal ? Les One Shot Game doivent ils nous faire repenser certains paradigmes éditoriaux ou de distribution au profit d'un rythme de sortie plus soutenu a risque financier moindre ? Leur durée de vie est elle congruente a leur capacité a générer et a entretenir une communauté de joueur? Et si oui, doit ton mobiliser cette communauté dans des choix éditoriaux ? (ex pour Unlock : Sondage sur des thèmes de prédilection pour les prochaines aventures ? Evolution du jeu vers l'aspect point and click et/ou escape room).
tant de pistes a explorer 😃
 

Je ne suis pas monsieur Phal, mais comme je suis également un monsieur, je me permets de donner mon avis :
- Ligne éditoriale/cadence de sorties/distribution : tu ne crois pas les éditeurs déjà rodés sur le sujet, par exemple avec les jeux de cartes evolutifs ?
​​​Un rythme plus soutenu, si c'est au détriment de la qualité, je ne trouve pas cela souhaitable.
- Durée de vie : Cf Sherlock Holmes DC. A mon avis elle est avant tout relative à la qualité du jeu, pas nécessairement à sa catégorie.
- Congruence : Cf dico quand je l'aurais retrouvé.

En fait, j'avoue ne pas comprendre en quoi le développement de ce type particulier de jeu remettrait en question les lignes editoriales des éditeurs. Mais peut-être que je ne vois pas la face cachée de l'iceberg.

Globalement le goulet d’étranglement n’est pas tant au niveau de la création de scenarii (je ne dis cependant pas que cela va vite) qu’au niveau de l’illustration et des graphismes (2 mois) et de la fabrication (2 mois).

On voit donc qu’on peut envisager au maximum 3 boîtes dans l’année et c’est ce que nous essayerons de faire cette année. C’est déjà pas mal :wink:

Karis dit :Globalement le goulet d'étranglement n'est pas tant au niveau de la création de scenarii (je ne dis cependant pas que cela va vite) qu'au niveau de l'illustration et des graphismes (2 mois) et de la fabrication (2 mois).

On voit donc qu'on peut envisager au maximum 3 boîtes dans l'année et c'est ce que nous essayerons de faire cette année. C'est déjà pas mal ;) 

Nan, c'est déjà beaucoup, je vais pas réussir à suivre ;)
Ces jeux là, je les déguste par-ci par-là, au coin du feu blush

Mr le Néophyte dit :
Jonathan Pionnier dit :Et votre avis M. Phal ? Les One Shot Game doivent ils nous faire repenser certains paradigmes éditoriaux ou de distribution au profit d'un rythme de sortie plus soutenu a risque financier moindre ? Leur durée de vie est elle congruente a leur capacité a générer et a entretenir une communauté de joueur? Et si oui, doit ton mobiliser cette communauté dans des choix éditoriaux ? (ex pour Unlock : Sondage sur des thèmes de prédilection pour les prochaines aventures ? Evolution du jeu vers l'aspect point and click et/ou escape room).
tant de pistes a explorer 😃
 

Je ne suis pas monsieur Phal, mais comme je suis également un monsieur, je me permets de donner mon avis :
- Ligne éditoriale/cadence de sorties/distribution : tu ne crois pas les éditeurs déjà rodés sur le sujet, par exemple avec les jeux de cartes evolutifs ?
​​​Un rythme plus soutenu, si c'est au détriment de la qualité, je ne trouve pas cela souhaitable.
- Durée de vie : Cf Sherlock Holmes DC. A mon avis elle est avant tout relative à la qualité du jeu, pas nécessairement à sa catégorie.
- Congruence : Cf dico quand je l'aurais retrouvé.

En fait, j'avoue ne pas comprendre en quoi le développement de ce type particulier de jeu remettrait en question les lignes editoriales des éditeurs. Mais peut-être que je ne vois pas la face cachée de l'iceberg.

Je vais essayer de préciser cette "partie émergée de l'Iceberg" en lien avec les One Shot Game.
Pour un jeu à rejouabilité infinie (ex : Agricola), une extension s'apparente à un bonus, quasiment un caprice ludique pour aficionados.
Pour un jeu de type carte évolutif, une extension s'apparent à un renouvellement ; elle n'est pas nécessaire mais attendue. En l'état lorsque les sorties s'arrêtent le jeu reste jouable.
Pour un One Shot Game, une extension (si on continue de l'appeler ainsi) est une condition nécessaire pour sa durée de vie (je parle dans son foyer d'origine, et non pas de ses capacités de revente...). Par conséquent, à fortiori quand sa durée de partie est faible comme pour Unlock, se créé une frustration ludique qui n'existait pas en tant que telle auparavant. Cette possible frustration était d'ailleurs refusée d'emblée il y a quelques années ou la rejouabilité d'un jeu était une condition quasi absolue à sa valeur (constatons par certains commentaires haineux de ce sujet, que pour de nombreux joueurs ,ce paradigme est toujours celui qui prédomine ! et regrettons le, car cela s'apparente pour moi à de l'obscurantisme ludique !)
C'est l'émergence de cette frustration, conséquence direct de l'émergence des One Shot Game, qui me semble devoir faire naître une réflexion sur les paradigmes éditoriaux existant.
On ne peut que féliciter Space Cowboy d'avoir d'emblée réfléchit à ces questions en imaginant un futur kit de création : c'est une première remise en cause d'un système éditorial qui limite  de manière globale l'émergence de nouveaux auteurs (je crie pas au scandale attention, l'effervescence en France est clairement enviable par rapport à d'autres pays).
Mais peux t'on imaginer qu'un éditeur, n'étant pas seul décideur de l'émergence de nouvelles tendances ludiques, n'est pas tout puissant et que, sans remettre en causes ses qualités, il pourrait bénéficier d'une réflexion communautaire ?
Karis a pu expliciter les limites actuelles en terme d'édition du jeu Unlock de Space Cowboy : 9 enquêtes annuelles, dont le nombre est limité principalement par les délais d'illustrations et de graphisme. Encore une fois, aucune raison de crier au scandale, 9 enquêtes annuelles c'est carrément chouette et on ne peut qu'imaginer l'investissement que cela représente (et la fatigabilité future ? ;) ).  On me suggère ça et là, plutôt insidieusement (sans vouloir polémiquer) qu'il s'agirait au joueur de faire preuve d'une juste retenue, d'apprendre la patience, d'apprendre à apprécier le jeu comme un vin délicat, qu'il s'agirait de ne pas tombé dans l'excès et la surconsommation... on diabolise un risque de perte de qualité... mais peut on s'autoriser un instant à accepter que la frustration de l'un n'est pas au même niveau que celle de l'autre ? peut on s'autoriser à imaginer repousser les limites éditoriales actuelles de ce jeu?
Des exemples qui me viennent en tête et qui ne demandent qu'à être discutés :
1. quid si un auteur inconnu (non je ne parle pas de moi ;) ) décide de reprendre tel quel le mécanisme d'Unlock, et de lancer une campagne KS pour obtenir le financement nécessaire à la mise en illustration, graphisme et production, de ses propres escape adventure ?
- crierait on au plagiat ou considérerait- on que ce jeu gagnerait à une licence libre ?
- ces aventures constitueraient elles un manque à gagner pour SC, ou participeraient elles au maintien de la communauté autours du jeu ?
2. quid si un autre éditeur décide également de reprendre le mécanisme si des thèmes plus spécifiques (je rêve d'une version Cthullu FFG ;) ) : crierait on au plagiat ou considérerait on que ce nouvel éditeur apporte des spécificités propres et enrichissantes ?
Le respect des droits d'auteur est évidemment un combat important dans le JDS mais il peut aussi générer une forme d'immobilisme. Lorsque le jeu "Loony Quest" est sorti, avec ce formidable mécanisme de dessin-dexterité, je comptais les jours avant qu'un éditeur moins familial que Libellud (ce n'est pas une critique, j'ai tous leurs jeux) se saisisse du concept pour en faire un jeu de zombie ou dans un univers lovecraftien. En désespoir de cause, j'ai réalisé mon propre prototype avec apparition de carte zombie à shooter en pointant sur son transparent tout en évitant de tirer sur les surfaces vitrées qui génèrent du bruit : ce projet est en stand by et ce n'est pas l'objet du débat. Mais lorsqu'on voit que Loony Quest n'a pas eu d'extension avant 2 ans, n'a pas d'extension prévue à ma connaissance actuellement, alors qu'il a eu lui aussi l'as d'or (et qu'il est génial), on peut , même en temps que joueur, s'interrogeait sur ce qui s'est passée et si la frustration ludique engendrée doit être prise comme une fatalité. Dans cet exemple, j'ai déjà évoqué comment des choix éditoriaux (qui d'ailleurs se rapprochent du concept de kit de création) aurait permis un renouvellement du jeu sans manque à gagner pour l'éditeur : évidemment cette affirmation ne demande qu'à être contredite et/ou nuancé par Régis mais je ne sais pas s'il participe au forum étant moins même novice sur cette partie de Tric Trac.
 
Ce post est déjà trop long, je m'arrête là. Ais je néanmoins réussi à clarifier ma position Mr Le Néophyte ?
 

Chakado dit :
Khaall dit :
LEauCEstNul dit :

Mon truc est plutôt politique (obsolescence programmée = caca, consomation effrenée = pipi prout, etc).
 

tu as tellement bien resumé mon ressenti. d'accord a 100%.
 

Ca me fait doucement sourire de lire les louanges de tant d'éloquence, quand on voit le vocabulaire employé et la profondeur de la réflexion. 

(...)
 

Salut,
Tu as le droit de citer aussi la partie où je dis que j'en ai rien à battre de vous convaincre et que j'en ai rien à battre de vos discours :)
Des débat internets stériles où l'un est convaincu et l'autre convaincu, j'en ai vécu des centaines sur internet depuis 20 ans.
Strictement aucun intérêt.

Je ne me situe pas dans la catégorie "Unlock n'est pas un bon jeu, ni même un jeu". Je lui reconnais ses qualités mais je n'aime pas son modèle économique. Pose toi la question : j'ai surement aussi beaucoup de choses à dire sur le sujet, mais elle n'intéressent que moi.
Ne me dit pas "oh bah, c'est dommage de faire l'huître, on aurait pu en parler ?", c'est faux, tu n'en a rien à faire. Et je te rassure, ton discours aussi ne m'intéresse pas.

Si tu aime les brocolis c'est ton histoire, mais aller me les faire avaler en est une autre :)

Autrement dit : "les goûts et les couleurs".

Je ne suis pas là pour bâcher le jeu ou l'encenser mais je viens voir ce qui se dit sur cette "révolution", qui permet de reparler de la boite de murder-party par ailleurs (lorsque je préfèrais les écrire :)).

Jonathan Pionnier dit :on diabolise un risque de perte de qualité...
C'est légitime aussi.

Imaginons un scénario à 60 cartes, illustrer 180 cartes, ça ne se paye pas peu cher : si cela prends deux mois, c'est assez simple : pour un illustrateur français, dans les 3500€ (= à peine au RSI en payant ses charges) - 7000€ ? Combien de boites devront être vendues à Asmodée pour absorber ce cout-ci ?
J'aimerais bien avoir l'avis d'illustrateurs sur ce sujet quand on remarque qu'une boite d'un jeu classique avec 180 cartes illustrées est proposée 2x plus cher.

Il y a une ou plusieurs personnes qui ont probablement travaillé gratuit sur le sujet. Je ne vais pas jeter la pierre, j'ai été je suis j'ai été je suis rôliste (je clignote sur cette activité). Mais je me suis toujours demandé si c'était normal de travailler gratuitement pour faire vivre des distributeurs, au final (je ne parle pas des éditeurs).

Il me semble que le modèle économique pour payer les auteurs et les illustrateurs (qui selon moi ont fait autant de travail, sinon plus, que les auteurs ici.) soit de rémunérer tout le monde en droits d'auteurs, donc de déplacer d'amener une part de risque sur eux ?

Quand je dis "c'est pas industriellement viable", c'est aussi de tout ça dont je parle.

Il me semble que le risque tenu soit plus important avec un jeu comme celui-ci qu'avec un jeu de 7 familles rigolo-meugnon à 10€.
Ou qu'avec un jeu un peu plus coregamer mais rejouable, car il y aura moins d'occasion et moins d'effet de "contagion" ("j'ai adoré, je me le prends !" : là tu aura beau l'adorer en le découvrant chez un ami, tu connais déjà les scénarios, c'est con de prendre une boite. Mais avec une gamme comportant plusieurs boites, je ne dis pas ! C'est une bonne idée d'ailleurs).

-edit- @Harry Cover : l'exemple "murder-party" est mal choisi : on peut jouer puis organiser puis ré-organiser puis ré-ré-organiser une murder-party. Voir la rejouer, par pur plaisir RP.
D'autre part, il n'y a pas de valeur ajoutée entre une murder party du commerce, s'il en existe encore, et une murder-party du web. Deux différences ici qui ne me font pas me dire "ouais c'est pareil de la même chose identique".
LEauCEstNul dit :


Je ne me situe pas dans la catégorie "Unlock n'est pas un bon jeu, ni même un jeu". Je lui reconnais ses qualités mais je n'aime pas son modèle économique. Pose toi la question : j'ai surement aussi beaucoup de choses à dire sur le sujet, mais elle n'intéressent que moi.
Ne me dit pas "oh bah, c'est dommage de faire l'huître, on aurait pu en parler ?", c'est faux, tu n'en a rien à faire. Et je te rassure, ton discours aussi ne m'intéresse pas.

 

Ah ouais j'adore quand on me fait parler comme ça.
Personnellement, si je m'exprime sur un forum et si je lis les autres, c'est parce que je crois que je peux apporter quelque chose à un débat, ou alors m'enrichir de l'opinion des autres. Pas forcément changer d'avis, certes, mais cela m'enrichit sincèrement de lire d'autres avis.
Et oui, j'ai déjà changé d'avis suite à des débats sur internet.

Il est vrai que tu n'as pas dit grand chose sur ce fameux "modèle économique", ce qui me confortait dans l'idée que c'était davantage une posture morale pour cacher une simple condescendance vis-à-vis de ce type de jeu. Je peux me tromper, mais c'est une position qui me semble difficile à tenir.
Tu n'as pas envie de t'exprimer plus avant, soit. Brisons-là alors.

 


Imaginons un scénario à 60 cartes, illustrer 180 cartes, ça ne se paye pas peu cher : si cela prends deux mois, c'est assez simple : pour un illustrateur français, dans les 3500€ (= à peine au RSI en payant ses charges) - 7000€ ? Combien de boites devront être vendues à Asmodée pour absorber ce cout-ci ?
J'aimerais bien avoir l'avis d'illustrateurs sur ce sujet quand on remarque qu'une boite d'un jeu classique avec 180 cartes illustrées est proposée 2x plus cher.

Il y a une ou plusieurs personnes qui ont probablement travaillé gratuit sur le sujet. 

 

Ca me semble être une affirmation assez hardie.
Les scénarios de Time Stories contiennent quelque chose comme 120 cartes, illustrées recto-verso, et sont vendus moins cher qu'Unlock.
Et je crois qu'on peut affirmer que ni Vincent Dutrait ni Gaël Lannurien ne travaillent gratuitement.
N'oublie pas que Unlock, c'est un gros tirage (il me semble avoir entendu parler de 80 000 boîtes).

je viens de finir de lire cet excellent article qui ne me semble pas si péremptoire du coup (oui il est a la mode ce mot, il faut que je l’utilise aussi).

https://gusandco.net/2017/02/24/edito-pourquoi-las-dor-est-necessaire-et-en-meme-temps-completement-absurde/

j’ai bien rit a un ou deux passages.angel
blagues a mises a part, je trouve le constat bien exposé et réaliste.

Khaall dit :
blagues a mises a part, je trouve le constat bien exposé et réaliste.

C'est surtout un beau tissu d'approximations.
En vrac : 
- ce ne sont pas les organisateurs du festival qui désignent le jury. Il me semble que c'est le jury lui-même qui recrute ses membres.
- le jury n'a pas un fonctionnement démocratique ? Big fucking news. L'As d'Or n'est pas un Prix du Public soumis à un système de vote.
- le jury a joué à Unlock sur une boîte d'usine, pas sur un proto.
- des insinuations bien dégueulasses sur l'intégrité du jury, avec son hilarant jeu de mot "As-modée d'Or", mais l'air de ne pas y toucher, genre "je n'accuse pas, je ne fais que poser des questions, parce que oh là là c'est bizarre quand même".

Monsieur Phal et Matthieu Bonin (ex-Iello) ont déjà répondu à ce billet de blog, en long en large et en travers.

La vidéo de TT sur le sujet est un bon contre-poids à cet article. On doit chercher où la réponse de Mathieu ?

eldarh dit :La vidéo de TT sur le sujet est un bon contre-poids à cet article. On doit chercher où la réponse de Mathieu ? 

Sur un réseau social à face de bouc, sur le compte de Matthieu.