[Flamme Rouge] Tour de France - S3E02 - Mouilleron - La Roche-sur-Yon

ah ouais, c’est vachement subtile quand même
Bon ben je suis dans les clous alors  ça me rassure

*** MESSAGE DE LA COMMISSION DE COURSE ***


L'équipe qui a posté ses résultats ce matin 22/01 à 9:21 (heure française) est priée de se rapprocher du PC Course

Merci de votre attention

 
*** FIN DU MESSAGE ***

Ca y est, le départ est donné, pour cette deuxième étape, qui emmènera les coureurs de Mouilleron Saint-Germain à La Roche-sur-Yon. Petite promenade de 185 km à travers la campagne vendéenne.

Une fois n’est pas coutume, dès l’entame, une attaque secoue le peloton. Cette fois-ci, c’est l’équipe AsPhalTe qui lance les hostilités. Et c’est bien entendu Peggy Soussey-Marieh décide de partir seul.


Mais la réaction ne se fait pas attendre, derrière. On connait les motivations et les capacités de ce coureur. Le peloton est ramené dans la roue du coureur de tête, sous l’impulsion de Stefano Sovedeso et Raymond Coquiveille.


Puis le train se met en route. Les équipes se mettent en ordre de bataille pour tenter de placer leurs coureurs les plus rapides en vue du sprint intermédiaire.


Au terme de la première heure, déjà 46 kilomètres ont été parcourus. La tête du peloton imprime une vitesse élevée pour empêcher les éventuels baroudeurs de sortir. A ce rythme-là, nul doute qu’il y aura des cassures.


A l’approche du sprint intermédiaire, les équipes AsPhalTe et Poumon continuent leur folle chevauchée. Richard Avoile, qui était resté jusque-là bien au chaud dans le peloton, pointe le bout de son nez pour essayer de disputer les points du SI.


Avec un léger vent de 3/4 arrière, il lance le sprint, dépasse Stefano Sovedeso et Raymond Coquiveille et revient à hauteur de Pierrick Rack


…pour venir échouer à une longueur de Peggy Soussey-Marieh, qui a magnifiquement résisté aux assauts venus de l’arrière.
Comme on pouvait le pressentir, un coup de bordure a coupé le peloton en deux groupes.

Quelques kilomètres plus loin, au pied de la seule et unique difficulté du jour, le peloton se regroupe et ce sont désormais les coureurs de l’équipe
lessteph, Richard Avoile et Sophie Fonfec, qui ont pris le commandement. Ce sera un test pour eux, pour leur premier Grand Tour.


Et malgré son inexpérience, Sophie Fonfec démontre qu’il faudra tout de même compter sur elle. Elle passe le col en tête, juste devant Peggy Soussey-Marieh et son coéquipier Richard Avoile. Derrière, l’étape est probablement déjà terminée pour leur porteur d’eau et les coureurs de l’équipe Poumon, un peu en-deça aujourd’hui…


Portée par son élan, et bénéficiant d’une bonne réserve d’énergie, Sophie Fonfec s’impose très largement devant le public vendéen.


Richard Avoile vient apporter à l’équipe lesteph son premier doublé, qui, nous l’espérons, en amènera d’autres sur les routes françaises. Peggy Soussey-Marieh complète le podium, et perd de précieuses secondes sur cette jeune équipe prometteuse.


C’était un réel plaisir de commenter pour vous cette deuxième étape, ponctuée d’un magnifique doublé Bleu-Blanc-Rouge. Il est temps pour moi de rendre l’antenne. A vous les studios!


Je m’autocite - mais ce n’est pas uniquement dû de mon ego surdimensionné
 

*** MESSAGE DE LA COMMISSION DE COURSE


L’équipe qui a posté ses résultats ce 22/01 à 9:21 (heure française) est priée de se rapprocher du PC Course

Merci de votre attention

 
FIN DU MESSAGE ***

 

AH ben mince, j’avais oublié de poster mon CR, dites donc… tout fout le camp, ma bonne dame…


Alors, l’histoire drôle de cette étape c’est que je l’ai faite une première fois en piétinant allègrement ma propre règle de l’échappée… Ma sprinteuse favorite parvenant à prendre la tangente avec une seule carte…
Donc le CR ci-après correspond à la vraie course, celle faite avec les bonnes règles

L’équipe AlcaTorda prend la départ dans une configuration un peu baroque, portant ses deux leaders devant. Quelle drôle d’idée me direz-vous ? Nos micros espions cachés dans le peloton nous permettent de reconstituer le feuilleton. En fait, Staska et Rico se disputaient la faveur d’une échappée, sur l’air de “ouais, mais j’suis plus en forme que toi”, ce qui vous situe un peu le niveau.
Il a apparemment fallu l’intervention d’un Jimini Circket convaincant pour leur rappeler que la 3ème étape était un contre-la-montre et qu’il était peut-être préférable de s’épargner un peu.

(Bon OK, en vrai c’est surtout que le tirage de l’un était nase, et la main de l’autre un peu coûteuse pour une simple échappée sans beaucoup de garanties à part la fatigue… L’expérience de la partie “pour rien” précédente a un peu pesé aussi…)

  • Eh les gars, je veux bien vous aider mais c’est plus facile si vous me laissez devant
  • Junior, retourne à ton bac à sable et laisse les grands travailler, tu veux ?
  • Grmpf

Le peloton s’ébranle donc tranquillement, mais l’équipe AsPhalTe ne tarde pas à porter son attaque, sans doute désireuse de rattraper un Prologue un peu quelconque.
Les Noirs attaquent, attaquent, et attaquent encore, provoquant une cassure nette que la seule timide tentative de Raymond Coquiveille ne viendra pas troubler.

  • rhoo, chouf les panneaux publicitaires, c’est trop de la balle
  • ouais, mon gars, et si ça se trouve c’est de la propagande subliminale pour le futur As d’Or
  • Naaaan… tu crois ?
  • Ben tiens, tu n’imagines pas le nombre de jurés qui lisent les comptes rendus du TDF…
  • Bon, les baltringues, on essaie de rattraper les gros lourds devant ou on continue à philosopher ?
  • Hein, quoi ? OH m***

Malgré les remous du peloton, l’échappée tient bon, et le jalon du sprint intermédiaire approche sans que nul ne semble en mesure de le disputer aux AsPhalTe. Sans doute suite à un échange de haute tenue dont ils ont le secret, Staska Kowalski adresse un amical signe du majeur à Rico Lamiré et place une de ces accélérations qui ont fait son succès pour revenir à hauteur des échappés. Juste au bon moment ?

  • Salut les losers ! Vous y croyiez vraiment à votre escapade ?
  • Gnn ?..
  • Eh ben oui…
  • Grmpf…

Peggy Soussey-Marieh montre un gros tempérament en portant une attaque monstrueuse au moment fatidique. Du coup les rouge se regroupent dans le peloton et reprennent quelques vifs échanges stratégiques…


Et c’est finalement l’équipe Poumon qui prend l’initiative d’une contre-attaque, car eux ont bien perçu le danger que représente les collines très roulante de Pouzauges. Ils reviennent sans coup férir à hauteur de la jeune sprinteuse de AsPhalTe qui donne quelques signes de fatigue… Rico Lamiré, guettant le bon coup en vieux renard, s’incruste dans l’offensive,

  • Bonjour bonjour … Excusez-moi, je ne suis pas du coin. Pour La Roche-sur-Yon, c’est bien par ici ?
  • Bouge de là, tocard


  • Oh mais c’est pas mal ce chemin… La miss a l’air de connaître la route, on la suit, d’ac ?
  • Mais c’est pas vrai, jamais il nous lâche, celui-là ?
  • Oh, Rico, arrête de frimer… et puis je suis seule avec Pierrick Rack maintenant

Après la statu quo de Pouzauges et à la Flamme Rouge, Poumon attaque encore pour étouffer toute velléité de AsPhalte. Mais le roublard de l’AlcaTorda reste bien au chaud entre les deux leaders avant le final…



Et finit par l’emporter, sur une légère défaillance de Sovedeso dans la dernière ligne droite…

  • Le tocard vous salue bien bas !
  • Arrête, je vais vomir…


Et Staska Kowalski profite de la confusion sous la Flamme Rouge pour rattraper tout le monde et bénéficier d’aspirations opportunes…

Ce n’était pas le scénario idéal, mais un résultat pour le moins inespéré compte tenu du rythme imposé par les fantômes.
Un gros coup de chance sur la fin, on ne va pas cracher dessus, la compétition est encore longue…

Etape finie à l’instant. Pour cette fois, je vais être bref :

Début compliqué puisque j’avais pour objectif majeur de diminuer la fatigue de Rivenque, avant de le faire attaquer pour qu’il vise le PK. Sauf que rien ne s’est passé comme prévu. Malgré une bonne dose de fatigue dans le deck, je démarre avec 0 fatigue en main… Résultat, je dois temporiser plus que prévu pour diminuer les fatigues. Pire que ça, les enchaînements entre mes decks ne se déroulent pas du tout comme prévu, et souvent je n’ai pas les cartes qu’il faut pour faire du petit train d’aspiration. Pendant ce temps, Asphalte se lance à fond en démarrant avec 6 / 7 / 7 / 6 / 6… Là aussi, c’est le drame, puisque les trous se creusent et aucune aspi n’est gagnée.
Je me retrouve avec une équipe Asphalte loin devant, les poumons en embuscade et les miens à la traîne.

Je finis par abandonner l’idée de reposer Rivenque et le lance à l’attaque. Beaucoup trop tard pour qu’il puisse faire quelque chose. 
Sans surprise, les Asphalte trustent les récompenses du sprint et du PK. Sans surprise aussi, ils baissent drastiquement de rythme dans la fin du parcours, enchaînant leurs faibles cartes (3 / attaque jouée dans la montée / 4 / 3 / 4 / 5), ce qui permet à Rivenque de revenir dans la dernière portion et de l’emporter.
Mauvaise nouvelle pour la course au maillot à pois, mais bonne nouvelle, la victoire d’étape va lui permettre de rester assez bien placé chez les combattifs.

Pour le chrono par contre, on va encore prendre beaucoup de temps dans la vue. Je sens que l’objectif majeur du contre-la-montre par équipe sera juste d’arriver avec 0 fatigue à l’étape 4.
Une question d’ailleurs : des points sont-ils en jeu dans les divers maillots au cours du CLM par équipe ?

Rwain dit :Une question d'ailleurs : des points sont-ils en jeu dans les divers maillots au cours du CLM par équipe ?

Uniquement pour le maillot vert (20 points pour le vainqueur du CLM, & so on)

Comme il n'y a pas d'adversaire sur table, la notion de 1er au PK n'a pas de sens, pas davantage que la combativité.

En ce qui concerne le PK1 de E2 n'aie pas trop de regrets, il n'y avait qu'un seul point en jeu. 
Pour la montagne les choses sérieuses commencent en mai...

Étape terminée ce soir. Le compte rendu demain si tout va bien. A ce propos, j’ai remarqué dernierement que toutes mes photos uploadées depuis le téléphone sont à 90° sur le site (alors que depuis un ordi non…) si quelqu’un sait comment faire, je suis preneur ! 

Rapport de course de la team VelOcc :
Echec complet sur cette deuxième étape où l’idée était d’être plus agressif dès le départ. Pas de chance, les premières possibilités stratégiques ne permettaient pas de le faire.
Rapidement, une attaque de l’équipe Asphalte faisait mal au peloton, le tout couplé à un très bon relaie de la part des Poumons et une petit erreur tactique de VelOcc (ben oui, quand on sait pas compter on perd des cases). Néanmoins, Scotty Speedy a tenté de jouer le Sprint Intermédiaire échouant à un cheveu (une case) des Asphalte tout ça à cause d’une autre erreur tactique (quand on compte pas les cartes et les cases restantes).

La fin d’étape fut un calvaire pour les VelOcc n’arrivant pas à recoller les 2 autres équipes, elle finit très loin.

"Notre ami O'Goulo est aujourd'hui à La Roche sur Yon.
Picol ? Vous êtes en direct. C'est à vous.
"

"OUI, OUI, OUI. C'est la folie ici. Le jeune Sibanaj est à 5 mètres de moi, mais il m'est impossible de l'approcher tant ses tifosi se pressent autour de lui. Heureusement pour lui, le staff de la GiBiCi le protège tant bien que mal tant la cohue est forte."

"Pouvez-vous au moins nous faire un résumé ?"

"Oui, oui. Alors c'était parti très très vite sous l'impulsion de Pierrick Rack qui a porté une attaque fulgurante afin de marquer les points du sprint intermédiaire."

"Mais derrière lui, le jeune héros du jour ne l'entendait pas de cette oreille & comptait bien les lui disputer. C'est donc en vue de la ligne verte qu'il porta une brillante attaque lui permettant de se positionner sur le porte-bagage du premier attaquant du jour."


"Aaaaaah ! Je peux vous dire que nous ne nous sommes pas ennuyés aujourd'hui & le spectacle était de toute beauté.
Jugez plutôt : Il a fallu avoir recours à la photo finish pour départager le sprint ! Il n'a manqué qu'un boyau au jeune Sibanaj pour qu'il ne croque l'expérimenté Rack sur la ligne.
C'est d'ailleurs probablement le tournant de la course.
J'étais aux côtés de Gianabis, le directeur sportif de la GiBiCi, quand son poulain s'est relevé déçu de ne pas avoir pu griller son adversaire. Vous auriez dû l'entendre jurer & lui souffler dans les bronches. Je ne comprends pas l'italien, mais il n'a pas du lui raconter que des contes pour enfants. Une erreur à mettre sur le compte de la jeunesse selon lui.
"


"En effet, s'il avait poursuivi son effort comme l'espérait son manager, il aurait pu filer vers une victoire en solitaire. Mais ce léger temps mort aura permis au peloton de revenir sur les échappés juste au pied de l'ascension du jour.
L'équipe Asphalte semblait alors reprendre le contrôle de la course & verrouillée son issue, mais, vexé, Sibanaj, encore lui, leur jouera un mauvais tour dans les derniers mètres du col. Au grand dam de ses partenaires Ranabis & Cannabis
bloqués par une équipe Poumon en manque d'inspiration. Il aurait même pu fausser compagnie à tous ses petits camarades en haut du col s'il n'avait pas eu un souci de dérailleur, l'empêchant de passer la grosse plaque afin de nous gratifier d'un magnifique sprint dont il a le secret.
"


"Mais qu'à cela ne tienne, il ne manque pas de ressources & nous avons eu droit à un sprint massif qu'il a contrôlé tout seul, comme un grand qu'il est en train de devenir. Soyez-en sûrs !"


Dès le départ, Stefano Sovedeso de l’équipe Poumon attaque mais le peloton revient sur lui au bout de la ligne droite.


Après le premier virage, c’est au tour de Raymond Coquiveille de l’équipe Poumon d’attaquer à son tour.


Après le deuxième virage, le regroupement est fait. Pour l’heure, les coureurs de l’équipe ONZE ont pu rester à l’abri dans le peloton.


Au sprint intermédiaire, c’est Laurent Roulafond de l’équipe ONZE qui place une attaque mais l’équipe Poumon ramène le peloton sur lui immédiatement…


Raymond Coquiveille s’échappe à nouveau dans le secteur vallonné. Il décroche les points du grand prix de la montagne. L’équipe Asphalte mène la chasse.


Les coureurs de l’équipe ONZE négocient bien ce secteur piégeux, ils enchainent les montées et les descentes idéalement.

A l’approche de la ligne, Bernard Savavite lâche les chevaux et termine seul en tête. Derrière l’équipe Asphalte mène le sprint du peloton. Laurent Roulafond termine 4ème. L’équipe Poumon qui a animé cette étape termine seulement 5ème et 6ème.

***

Plus que 2 dodos (et encore...) avant la fin du délai imparti

et manquent encore quelques retours...





***

Il me tarde de voir le résultat. L’équipe Zic sera t elle toujours aux premières loges ?
Les maillots jaune et vert vont il être portés par deux cyclistes différents et non un seul ?

Un peu déroutante cette étape. Je n’ai pas fait une très bonne course…

(Désolé pour le retard de diffusion, mais le plantage du site toute la matinée n’a pas trop aidéà mon organisation).

FLASH SPECIAL
Tour de France


Arrivée de la 2ème étape
Mouilleron-Saint Germain > La Roche-sur-Yon

Après la démonstration des ZIC lors du Prologue, ça parlemente et ça verrouille sec au sein du peloton.
Le jeune Salvatore Spiccato en profite pour prendre la tangente à La Châtaigneraie, et seul Rasta Laguibole prend sa roue. Mais la route de Vendée est longue et venteuse, et les échappés se fatiguent rapidement. Ils sont rattrapés par un groupe de poursuivants déterminés à se disputer le Sprint Intermédiaire.
Ce groupe est emmené par le bouillant Simon Pleindjus, qui se fait chiper le fanion in extremis par l’expérimentée Séléné de la Fratrie
Tric Trac

Le jeune sprinter de l’équipe Kozo ne désarme pourtant pas, et continue à mener les débats le long des routes vendéennes… Hélas, dans la seule difficulté de la journée, le point de la Montagne lui échappe suite à une bousculade, et c’est Sita Bécaen, le cadet de l’équipe familiale, qui passe le premier la côte de Pouzauges devant Suppo Tanas.

Tric Trac

Pas le temps de reprendre ses esprits, car c’est déjà l’emballage final pour La Roche-sur-Yon… avec une coude-à-coude homérique entre Séléné de la Fratrie et le maillot blanc Speedy Gonzales, qui se disputent virtuellement le maillot jaune… mais à force de s’épier, ils laissent revenir sur eux un petit groupe et, sous la Flamme Rouge, tout s’accélère dans la plus grande confusion.

Séléné de la Fratrie croit tenir un précieux doublé et endosser le maillot vert, mais c’est Simon Sox qui mort la ligne le premier, d’un boyau à peine !
Le podium est complété par Rico Lamiré, bien revenu parmi un groupe de gros rouleurs poursuivants, et c’est Simon Pleindjus qui se voit attribuer, pour cette 2e étape, un prix de la combativité bien mérité.



Même s’il aura été légèrement en retrait dans les moments fatidiques, le jeune Speedy Gonzales l’aura bien joué placé et fait la bonne affaire du jour puisqu’il endosse maillot jaune et maillot vert sans coup férir, pour sa deuxième course à peine ! Et Durasselle figure à présent seule tout en haut du classement par équipe.

Les équipes AsPhalTe et Poumon ont une fois de plus montré leurs limites actuelles et, mise à part une 12ème place méritoire de Stefano Sovedeso, ce fut une course bien terne pour les anciens cadors du Tour d’Europe… de quoi relancer les rumeurs de dopage qui ont longtemps bruissé au sein du peloton.

Séléné de la Fratrie se console comme elle peut en sachant qu’elle débutera le contre-la-montre et la 4ème étape avec son dossard 21 floqué du rouge de la combativité.

L’étape aura été rude pour beaucoup, et certains organismes semblent déjà un peu marqués… On peut s’attendre à quelques difficultés lors du contre-la-montre…




Yes!

@antonynoh : Bien joué, tu étais plus frai à l’arrivée.
Du coup on a tout les deux marqué 50 pts pour le maillot vert.

Toi 50 pts net de victoire d’étape.
Moi 30 pts pour la seconde place + 20 pts pour avoir emporté le SI.

(@Pingouin : j’ai l’impression que le tie break fait bien les choses, au final. En disputant le SI, tu choppes des fatigues qui se répercute sur le fil du rasoir à la fin)

Merci pour cette jolie synthèse d’étape Il va être temps de se lancer dans ce CLM !

et beh! si je m’attendais à chopper le PK, ça n’étais pas mon objectif de base. Peut-être que je devrais me fixer le maillot à poids comme objectif.