[Flamme Rouge] Tour de France - S3E04 : La Baule - Sarzeau

Hélas aucune épreuve de pure descente telle qu’on en a connu lors de la double boucle.

Roger (moto 1 ) : Bonjour à toutes et à tous ! Nous voici à La Baule pour le départ de la 4ème étape du Tour de France. Jean-Claude ? On me signale que vous êtes aux côtés de Chpassassix, le directeur de la malheureuse équipe Durasselle.

Jean-Claude (moto 2) : Tout à fait Roger ! Chpasslassix ? Bonjour. Nous sommes en direct. Les téléspectateurs qui nous regardent, ont encore en tête les images de cette terrrrrible épreuve du contre-la-montre d’hier, où Speedy Gonzales a perdu le maillot jaune.

Chpasslassix : Ouais, j’vous cach’rais pas qu’on a connu des jours meilleurs. Mais, voilà, c’est le Tour. Faut accepter.

Jean-Claude (moto 2) : Qu’est-ce que vous avez dit à vos coureurs ce matin ?

Chpasslassix : Ouais, j’leur ai dit d’faire simple. On suit le peloton au max. Et si c’est encore trop dur, j’ai d’mandé de s’serrer les coudes autour de Speedy. Speedy, jusqu’à maintenant, y s’est sorti les … enfin…il a beaucoup donné quoi ! Et ben, aujourd’hui, c’est à toute l’équipe de s’donner pour Speedy.

Jean-Claude (moto 2) : C’est beau ! Snif !

Chpasslassix : Ouais, c’est mon côté fleur bleue. Faut qu’j’fasse gaffe, ça me joue des tours parfois.

Jean-Claude (moto 2) : Roger ? On me dit que le départ a été donné ?

Roger (moto 1) : Exactement, Jean-Claude ! Et, effectivement, il semble que l’équipe Durasselle applique à la lettre les consignes que nous venons tout juste d’entendre de la bouche de leur directeur.
Devant, c’est Peggy Soussey-Marieh qui mène la danse. Elle va passer en tête la première difficulté de la journée.

Roger (moto 1) : C’est Raymond Coquiveille qui passe en tête maintenant alors que le temps semble se gâter… Mais, je ne vois plus l’équipe Durasselle ! Jean-Claude ? Est-ce que vous pouvez dire ce qui se passe derrière ?

Jean-Claude (moto 2) : Oui Roger ! Je roule aux côtés des Durasselle. Le groupe de tête est loin maintenant. Mais l’équipe semble ne pas s’en soucier. Ils gardent un rythme constant. Les coéquipiers se relaient bien. Raoul Pluvit, suivi de Speedy Gonzales ont l’air plus détendu qu’hier.

Roger (moto 1) : Et c’est finalement Pierrick Rack qui passe la ligne d’arrivée à Sarzeau. Félicitations à l’équipe AsPhalte qui a bien roulé aujourd’hui !

Jean-Claude (moto 2) : Je suis toujours avec l’équipe Durasselle. Speedy Gonzales semble reposé. Il s’est même permis une petite accélération sur les derniers kilomètres.

Roger (moto 1) : Au moins, l’objectif de Chpasslassix est atteint. Maintenant, il faudra garder un oeil sur le chrono pour voir si ce choix n’a pas été trop coûteux en temps. Chers téléspectateurs, je vous dis à demain. Ici la Bretagne, à vous Paris !

Organismes un peu marqués, donc, au départ de La Baule.
En prévision d’une étape longue et délicate, les protagonistes choisissent manifestement un démarrage en douceur, où chacun s’épie et se contrôle.

Les AlcaTorda, fidèles à leur tristounette stratégie du sous-marin, renoncent encore une fois à tenter un coup d’éclat. Mais la fatigue du CLM se fait rapidement sentir, car dès la petite côte de Guérande (franchie en tête par un Pierrick Rack en feu), les rouges se font légèrement distancer



Rico Lamiré, vexé d’avoir vu sa tentative de poursuite contrariée à Guérande par un dérailleur récalcitrant, produit un gros effort pour recoller le groupe de tête mené à un train d’enfer par Stefano Sovedeso. Derrière ça se complique car Staska Kowalski semble encore marquer le pas après ses effort de Cholet, et laisse l’équipe faire le gros du boulot.


Entre Pontchateau et Nozay la pluie se met à tomber, mais les artificiers en tête ne semblent pas pour autant résignés à la prudence : ils poursuivent leur folle cavalcade en tête, alors que Lamiré (fringale ou consigne d’équipe ?) décroche pour récupérer les autres Alca Torda.
NdlR : en fait mon rouleur avait le choix entre cramer une CF et prendre le risque d’une chute sous la pluie… j’ai pris l’option de la lâcheté




Et c’est Sovedeso qui franchit la côte de Vay en tête, au coude-à-coude avec Pierrick Rack qui se serait bien vu faire la première passe de deux sur ce Tour ! Pour les AlcaTorda, ça se complique : manifestement les alcidés n’aiment pas la pluie car leur retard s’accentue !
Malgré tout, les AsPhalTe la jouent particulièrement bien jusqu’à présent, et c’est Peggy Soussey-Marieh qui sort sous l’orage et tente une violente échappée alors que Derval se profile.
Elle marque le coup mais tient bon, alors que le peloton s’est regroupé derrière et produit un effort monstrueux pour revenir sur la jeune sprinteuse. Les AlcaTorda, notamment, discutent beaucoup à l’arrière pour décider de la tactique pour la fin de course.




Tactique finalement simple : Lamiré récupère de ses efforts pendant que Kowalski se rue aux avant-postes dans le sillage de Coquiveille, qui manque d’une cheveu de remporter le sprint intermédiaire face à la vaillante Peggy, bien récompensée de son audace !



Et les costaud.e.s se relaient à un rythme effréné entre jusqu’à Limerzel et Muzillac, décrochant un Sovedeso qui paie sans doute ses efforts de la première partie.


Et Staska Kowalski, qui aura bien caché son jeu aujourd’hui, continue seule son échappée après Muzillac, et arrive à Sarzeau détachée et presque sereine.



Le sprint général est une nouvelle fois réglé par son compère de l’AlcaTorda ! deuxième doublé en trois courses, ça manque certes un peu de panache en terme de stratégie, mais c’est plus efficace que lors du Tour d’Europe.

Et il faudra aussi se souvenir que les vraies difficultés restent à venir…

J-3 quasi pile

Ne vous faites pas trop prier : je suis athée
laugh
Et, blague à part ; lorsque je vois à quoi va ressembler mon samedi, je ne vais sans doute pas être tenté de jouer les prolongations de délais.

Si vous savez ne pas pouvoir/vouloir participer à l’étape, envoyez-moi juste un petit mot pour me le signaler : ça me fera un peu de lecture dans mes longues nuits d’insomnie, et je pourrais ainsi m’organiser en conséquence.

Suis également dispo pour toute question que vous pourriez avoir, bien sûr

BUUUUH mon sprinter s’est cassé la gueule avec son domestique sur la dernière case en J. ><
Il aurait du gagner cette course sinon!! Grr.
Du coup c’est Rafi qui a fait le boulot pour le SI sur sa lancée à la course aux pk (qu’il n’a pas eu chaque fois sur le fil). On a eu affaire à une équipe Asphalte bien énervée presque tout le long de la course. Soizic n’est pas blessé et finit même 2ème juste derrière le sprinter Asphaltien grâce à 3 grosses accélérations revanchardes, et Rafi a fini la course un tour plus tard avec un peu la langue dans les rayons… Quant au domestique, il a fallut deux heures pour couper l’arbre en J afin de le décoincer. Un nid de tourterelles et 2 œufs sont à déplorer.

Ca y est, étape faite.
CR prévu pour plus tard…manque de temps, désolé.

Course faite…

Abileor Bordeaux dit :Course faite...

Merci

Peux-tu me signaler le meilleur fantôme de ta course ? Ton doigt a ripế pour cette information
laugh

poumon… Désolé j’ai glissé chef !!!


Nous voici au départ de la 4 éme étape , pour Vertigo carte blanche est donné a Simon Tagne , tandis que Raymond Tada tentera de récupèrer des efforts de l’étape précédent aidé de Paul Idor

Comme convenu dés le départ Simon Tagne attaque et fausse compagnie au peloton suivi de Raymond Coquiveille


Simon Tagne passe en téte la première difficulté , Léquipe Poumon profite des efforts de ce dernier et place ces deux coureurs dans l’échapée , derriére Paul Idor accompagne Raymod Tada bien calé à l’arriére du peloton


Simon Tagne se retrouve bien seul avec Stephane Sovédézo et reste impuissant en voyant Raymond Coquiveille partir devant

La pluie fait son apparition et Raymond Coquiveille ne peut éviter la chute , L’équipe Asphalte tente un rapproché distançant Paul Idor et Raymond Tada.

Stephane Sovédézo accélére , en profite pour prendre les points pour le classement de la montagne, Raymond Coquiveille ; bien remis de sa chute ; se cale dans la roue de Simon Tagne laissant ce dernier effectué tout le travail


Simon Tagne place une nouvelle attaque et parviens à remporter le sprint intermédiaire , avec l’équipe Poumon sur le porte bagage . Derrière tout se passe bien pour Raymond Tada bien calé dans les roues de Paul Idor

Le travail de sape de l’équipe Poumon fini par payer , Simon Tagne se fait lacher il paye tout ses efforts et voit revenir tout le monde sur lui , derriére Paul Idor et Raymond Tada gére leurs efforts

Devant c’est l’emballage final Stephane Sovédezo lache son coéquipier , derriere le peloton est enmené par l’équipe Asphalte ,Simon Tagne s’accroche pour tenter de rejoindre l’arrivée avec le peloton alors que Paul Idor décroche

Et c’est Stephane Sovédezo qui remporte l’étape devant son coéquipier Raymond Coquiveille suivi de pierrick Rack. Simon Tagne paye ses efforts et n’arrive pas à suivre l’allure du peloton contrairement à Raymond Tada bien calé à l’arriere du peloton

Mission réussie pour Raymon Tada qui à profiter de cette étape pour récuperer . Simon Tagne fini loin derriére et bien fatigué .
Quel magnifique étape , palpitante jusqu’au bout , l’équipe poumon à bien jouer le coup en profitant du travail effectué par Simon Tagne qui voit ses efforts réduit à néants . Mais ce dernier n’a pas dit son dernier mot

Abileor Bordeaux dit :poumon... Désolé j'ai glissé chef !!!

mais encore ? Sprinter ou Rouleur ?


@tou.te.s

J-1
(même pas)

laugh

Et c’est parti pour la 4ème étape de ce Grand Tour 2019!


Pas d’échappée à déclarer… Les coureurs de l’équipe lessteph étaient plutôt très en forme lors des précédentes étapes, mais la fatigue accumulée sur la dernière les incite à rester sages aujourd’hui…


Dès l’entame, Raymond Coquiveille prend les commandes. Il passe assez facilement le premier col, devançant le peloton de quelques secondes…qui s’étire au fil des kilomètres.



Sous l’impulsion de Raymond Coquiveille, le peloton est divisé en trois groupes, laissant notamment, loin derrière, les sprinteurs, dont Sophie Fonfec, qui s’est retrouvée piégée par un coup de bordure. L’étape est encore longue, mais la victoire semble d’ores et déjà compromise pour elle. Il faut dire qu’elle avait brillé lors des précédentes étapes et il paraissait logique que les efforts consentis finiraient par laisser des traces dans les organismes.

A l’approche de la seconde difficulté, Raymond Coquiveille garde le rythme et emmène dans sa roue Richard Avoile, qui a faussé compagnie au groupe de poursuivants.



Après avoir remporté les sprints de montagne, Raymond Coquiveille ne lâche rien. Il se retourne et demande à Richard Avoile de prendre les relais, mais ce dernier en est pour le moment incapable. Le rythme est trop soutenu, et les forces laissées dans la bataille pour revenir dans la roue du coureur de tête risquent de lui être préjudiciables, bien qu’il ne soit jamais passé à l’avant. Les suceurs de roues ne sont jamais bien vus dans le peloton…


De ce fait, c’est le rouleur de l’équipe Poumon qui prend les points du sprint intermédiaire.

A l’arrière, le rouleur de l’équipe AsPhalTe tente une sortie du groupe des poursuivants pour revenir sur les échappés, avant le sprint final…

Visiblement, c’en est déjà fini des chances de bien figurer pour Sophie Fonfec. Cette étape de transition lui aura permis de récupérer un peu.


Il ne reste plus que deux groupes…

Devant, Richard Avoile, bien renseigné par son Directeur Sportif, via l’oreillette, prend son premier relai. Ses compagnons d’échappée sont tous deux usés: l’un pour avoir mené depuis le départ, et l’autre pour avoir fourni les efforts qui lui ont permis de recoller.


A l’approche d’une succession de virages qui mènent les coureurs vers la ligne, Richard Avoile porte l’estocade finale et passe de justesse devant ses compagnons. Une magnifique victoire qui vient sanctionner une tactique qui s’est avérée payante!

D’après certains confrères présents dans les coulisses de la course, il semblerait qu’une explication de texte ait éclaté peu après l’arrivée entre les deux leaders de cette étape…


Malgré tout, le Directeur Sportif dresse un bilan en demi-teinte de cette étape: malgré la victoire de son rouleur, sa sprinteuse a connu un gros coup de fatigue en finissant loin, très loin derrière le vainqueur.

Il est l’heure pour moi de rendre l’antenne.
A vous les studios!

FLASH SPECIAL
TOUR DE FRANCE


4ème étape : LA BAULE - SARZEAU

Le contre-la-montre de Cholet semble avoir laissé des traces au sein du Peloton. Et si au départ de La Baule le ciel n'est "que" très menaçant, les directions de course préparent les stratégies de leurs poulains en fonction de la partie la plus piégeuse annoncée sous la pluie.

Mais les coureurs sont aussi gens d'instinct et, sans doute misant sur la fatigue générale et une certain appréhension de la pluie, certains prennent leur chance dès le coup de feu de La Baule : un petit groupe composé par Simon Tagne (Vertigo) et 3 jeunes R.Cocotte (VVSC), R.Laguibole (Bic Cyclette) et Ranabis (GianaBici) prennent la tangente pour se disputer les premières bonifications de Guérande.
Las, ils sont repris par des contre-attaquants roublards, et c'est l'inattendu Syr Oze qui chippe le point symbolique au nez et à la barbe des jeunes téméraires.

Tric Trac

Le passage sous la pluie ne dissuade pas les ardeurs des attaquants et, dans les lacets de la côte de Vay, le bouillant Ranabis semble en position de force alors que les chutes se multiplient à l'arrière... mais il est déposé par un Rondinhas Redondo revenu du Diable Vauvert en prenant des risques ahurissants sous le déluge.

Tric Trac

Les deux maintiennent côte-à-côte un rythme démentiel, et il faudra une photo pour les départager à Derval sur la ligne du sprint intermédiaire, loin devant les autres.

Tric Trac


Le jeune portugais, deux fois victorieux sous la pluie, a semble-t-il beaucoup puisé dans ses réserves car il lâche prise très rapidement, pendant que Ranabis poursuit sa folle échappée, cette fois seul en tête...
Va-t-il réussir à conserver son avantage ?

A l'arrière, les grandes manoeuvres sont lancées : les cadors du peloton, restés prudents sous l'orage, ont positionné les grognards aux avant-postes, qui impriment à présent un rythme infernal pour revenir sur l'effronté de la GianaBici, qui serre les dents et résiste... Beaucoup d'équipes et des grands noms ont du mal aujourd'hui, seule l'équipe antonynoh fait le job pour tenir le maillot jaune de Simon Sox...
L'avance de Ranabis fond à vue d'oeil alors que les faubourgs de Sarzeau approchent... La tension est maximale, et c'est à ce moment que l'expérience finit par parler : les équipes AsPhalTe et Poumon, manifestement de concert, se projettent en avant sur une énorme accélération qui fait littéralement exploser le peloton : Peggy Soussey-Marieh et Stefano Sovedeso prennent la tête de la poursuite, constituée d'un petit groupe de courageux.

Les deux sprinters produisent un effort tellement impressionnant que personne ne parvient à tenir longtemps leur rythme, et à l'entrée de Sarzeau le vaillant Ranabis est littéralement déposé ! Tout va se jouer entre ces deux-là... mais sous la Flamme Rouge, Stefano Sovedeso fait parler sa pointe de vitesse et finit en solitaire, les bras levés, pour une revanche éclatante après un début de tour difficile !




Pour la jeune Peggy Sousseh-Marieh, une belle deuxième place malgré tout, et le podium du jour est complété par le maillot jaune Simon Sox, qui aura cette fois encore été idéalement porté par son équipe, jusqu'à produire son effort au meilleur moment, régler le sprint des poursuivants et asseoir sa domination sur le début de la compétition.

Le prix de la combativité est remis sous les applaudissements à l'incroyable Ranabis, qui a bien failli réussir son hold-up et finit avec une belle 8ème place à Sarzeau et une belle pelletée de points un peu partout. Il aura surtout beaucoup marqué les esprits.

Dans les classements annexes c'est un quasi statu quo, Séléné de la Fratrie conserve son maillot vert et son dossard grâce au sprint de Derval, tandis que Sam Epiletoi réussit à contenir le retour des Giana Bici.

De quoi alimenter le suspense pour la prochaine étape jusqu'à Quimper !

Et bien, je pensais pas revoir les bots remporter d’étape. Pas mécontent que ce soit le sprinteur Stefano qui se positionne sur le classement par point. Et du coup, finalement je conserve le maillot vert grâce au sprint intermédiaire.

Vicen dit :Et bien, je pensais pas revoir les bots remporter d'étape. Pas mécontent que ce soit le sprinteur Stefano qui se positionne sur le classement par point. Et du coup, finalement je conserve le maillot vert grâce au sprint intermédiaire.

La performance de Sovedeso, en valeur absolue, est ahurissante mais dûment vérifiée.
Cela étant dit, cette étape a été manifestement particulière car nous sommes collectivement passés d'un taux de victoires humaines de 71% et 68% lors des deux premières étapes à... 25% pour celle-ci.
broken heartLa fatigue du CLM, peut-être...

Donc même si les deux premières places ne sont pas tout à fait représentatives du temps médian des fantômes, ils ont dans l'ensemble été plus solides que nous.
Les temps sont durs...

Ce qui explique aussi pourquoi Séléné ne s’est pas fait ravir le dossard de la combativité. Peu ont bénéficié des 100pts.

Pour les VélOCC, les consignes étaient de jouer les quelques points en montagne et le sprint intermédiaire, le départ était donc crucial et devait être nerveux. Manque de bol, les Asphalt et le rouleur des Poumons en ont decidé autrement, bloquant Raoul Rouli sur les 2 objectifs de montagne.
Pour Speedy, il a tenté le Sprint Intermédiaire mais il a payé la fatigue du CLM et a donc rejoint le Grupetto en fin d’étape pour récupérer un peu.

Ouais, j’ai gagné 1 pts au maillot du meilleur grimpeur … avec mon Sprinteur !! broken heart
Tout fout le camp ma bonne dame !