La suite…
Diggers (Find Idol!) explication sur un coin de table du stand Japanbrand.
Jeu de collection de cartes aux illustrations kawaï. La pioche centrale est constituée par les joueurs tour à tour, en positionnant les cartes en tas à l’endroit et à l’envers. Ensuite, à son tour, le joueur pioche de 1 à 3 cartes parmi celles qui ne sont pas couvertes, même partiellement, et donc directement accessibles. Certains cartes combottent, d’autres nécessitent une prise de risque dans la mesure où elles soustraient des PV tant qu’elles ne sont pas associées à une carte donnée, tandis que d’autres peuvent annuler les PV des premières.
Simple. Il me plaisait sur le papier, en tant que seul représentant oriental qui avait attiré mon attention.
Acheté.
Factory Funner & Bigger plus joli que la première version de Cwali. Jeu de connections dans lequel les tuiles sont sélectionnées en fonction de la rapidité, avec un principe de malus/bonus : plus vous prenez votre temps, plus vous êtes récompensé. Décompte des points à chaque pose de tuiles, après avoir répondu aux prérequis de ladite tuile. Pas mon truc.
First Contact un Codenames revisité autour d’une thématique qui laisse plus de place au roleplay.
Malin et bien fun.
Deux camps : les autochtones et les extra-terrestres. Ces derniers viennent sur Terre pour acheter des reliques, qui ne sont rien de plus que des articles de la vie courante pour un terrien, afin d’en faire le commerce. Malheureusement, la barrière de la langue n’aide pas. Chaque camp à son tour , et à sa manière, participe à l’instauration d’un alphabet commun. Comment ? Les terriens, à tour de rôle, vont associer certains objets d’une grille de 5x5 (de mémoire) et les extra-terrestres, après de mûres réflexions (en vrai, ils consultent un alphabet dédié), indiquent la lettre de leur alphabet auquel leur fait penser l’association d’idées induite par les objets présentés. Les principales idées/notions sont : grand, petit, gros, lourd, volant, vêtements, vivants, métal, liquide, etc… Ensuite, chaque extraterrestre va sur son ardoise associer des lettres de son alphabet pour se faire comprendre des terriens qui lui présenteront l’objet désiré en retour, enfin s’ils sont parvenus à comprendre ce que cet être étrange essaie de leur dire. Dis comme ça, on pense immédiatement à un jeu coopératif, et bien non. Chaque terrien joue pour lui, et va donc chercher des associations d’objets qui renvoient à une notion qu’il pense être le seul à saisir, encore faut-il que les extraterrestres soient suffisamment intelligents pour la comprendre.
Par exemple, dans ma partie, j’ai tenté : crocodile et œil. Quand les ET m’ont présenté leur symbole/lettre, je l’ai donc associé à la notion « liquide », en jubilant car mes congénères ne pigeaient pas. A la fin de la partie, je me suis aperçu que les ET, plus bêtes qu’ils ne le laissaient montrer, avaient indiquer leur lettre en pensant à « vêtements ».
Et donc, si chaque Terrien joue pour lui, les ET aussi. Sur une carte très proche de celles de Codenames, sont répartis les objets qu’ils doivent récupérer dans la grille 5x5. Beaucoup de place pour la fourberie.
Sold out dès le vendredi.
Fugitive séance de rattrapage de l’année dernière.
Du guessing malin. Je l’ai trouvé un poil trop simple pour le poursuivant.
Galactic Warlords : Battle for Dominion Partie en compagnie de M. Docky et de l’auteur.
Contrôle de zones, avec un soupçon de programmation et un semblant de 4X. J’ai apprécié cette partie, même si l’ensemble donne une impression de produit artisanal. Il manque un je ne sais quoi de plus pour en faire un jeu qu’on s’arracherait. Si vous avez l’occasion d’y jouer, je vous le conseille cependant. Il n’est vraiment pas dénué d’intérêt.
Je ne sais pas pour Docky, mais l’auteur, avec sa mâchoire carrée, sa carrure, sa peau tannée et son phrasé des Balkans, m’a fait voyager dans une zone de guerre de l’Ex-Yougoslavie tout le long de la partie.
Gingerbread House Du familial +. Un de mes coups de coeur avec Outback.
A suivre…