L'épique quête de Santiagolf du Morbihan

L'épique quête de Santiagolf du Morbihan

Ceux qui étaient passés à côté du western frapadingue "Santiago", de B-Gnet, vont pouvoir se rattraper avec les aventures non moins délirantes, de Santiagolf du Morbihan, du même auteur, toujours édité par Vraoum. Les lecteurs les moins observateurs retrouveront une certaine familiarité avec une célèbre communauté de l'anneau dans cette quête épique au cours de laquelle, le héros - Santiagolf le bien nommé - devra affronter mille dangers à travers un long voyage qui l'amènera des plaines de l'Armor jusqu'à la sombre cité de Pan-Hâm.

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Le courageux guerrier du Morbihan, Gandolf et ses compagnons - le double nain Pabloïn et Goudalfe le jaune - vont ainsi parcourir l'Ouest mystérieux et vivre des aventures palpitantes en affrontant des dragons banquiers, des rois déments ou des soldats-chiens pan-hâmiens qui font monter les prix de l'immobilier partout où ils s'installent.

Vous l'aurez compris, l'univers de B-Gnet est nettement porté sur l'absurde et le détournement potache.

L'album vient tout juste de sortir en librairie, mais il est aussi possible de le commander en ligne, via Ulule jusqu'au 3 juillet, avec des bonus exclusifs (cartes postales inédites, sous-bock, sérigraphie...) ainsi que les deux autres albums de la même collection : Santiago et Lutin Spirix.

Les extraits ci-dessous vous permettront de savoir si l'humour déjanté de B-Gnet est fait pour vous, et c'est une bonne chose, car le rire c'est la santé !

L'épique quête de Santiagolf du Morbihan sur Ulule Tric Trac
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Merci pour ce coup de projo fort intéressant!
… et pour celles zet ceusses qui apprécient la poilade med-fan, n’hésitez pas à (re)découvrir également Traquemage de Wilfrid Lupano, c’est pas exactement le même ton (sinon quel intérêt) mais ça joue un peu sur les mêmes zygomatiques.

Merci pour la suggestion! Je m’en vais la commander de ce pas

Ou encore l’exellent “Féréüs le fléau”, de Monsieur le chien. Même s’il n’y a qu’un seul tome paru à ce jour… :cry:

C’est là où on réalise que Asterix est une œuvre qui prône la violance comme solution à tout les problèmes.

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