[Black Fleet][Mille Bornes][Monopoly][Splendor]
Depuis peu les adeptes du grattage virtuel (oui ! Ça existe!) ont pu découvrir un des nouveaux jeux Illiko de la Française des jeux sous les couleurs de Splendor, un des jeux phares du moment.
Suite à un accord entre les Space Cowboys et la FdJ, ce dernier jeux de grattage en ligne ou pour tablettes/smartphone vient rejoindre L’Or des Caraïbes. Rien à voir avec les films de pirates puisqu’il s’agit d’un jeu d’argent avec le look de Black Fleet du même éditeur.
Vous n’êtes pas sans savoir que les gratteurs sont nettement plus nombreux que les pousseurs de pions nous pouvons rêver que certains auront la curiosité de jeter un oeil sur les grands frère dans leurs jolies boîtes.
Le principe est comme toujours très simple : vous achetez le jeu (Splendor c’est 1€) et vous découvrez les petites pastilles et si vous en découvrez trois identiques vous gagnez la somme indiquée.
Concernant Illiko Splendor, les gains vont de 0 à 10 000€.
Pour être plus précis, la FdJ précise qu’un jeu gagnant apparait avec 1 chance sur 3,77. C’est à dire 26,5% de remporter un lot.
Sachant que le prix du jeu est de 1€ :
- Vous avez en fait 16,5% de gagner plus que votre mise
- Vous avez plus de chances (14%) de gagner 2€ que (10%) de gagner 1€ histoire de vous donner envie de rejouer
- Pour 10€ vos chances tombent à 2%
- Pour 20€ elles sont de 0,2%
- Et si vous visez les 10 000€ alors vos chances sont de 0,0002% ce qui revient à jeter un dé à 500 000 faces.
Au final, si l’on prend la chose par l’autre bout cela vous donne 73,47% de probabilités de perte.
Ce qui dans l’absolu en fait plutôt un jeu plus favorable que d’autres de la même gamme du moins pour les petits gains.
Et d’après nos propres calculs, pour une trentaine d’euros, si vous achetez le jeu de société, vous aurez plus de 8 chances sur 10 d’être très satisfaits.
La véritable information que l’on peut également tirer de ceci est de se réjouir qu’un autre jeu de société vienne habiller un jeu à sous autre que le Monopoly et le 1000 Bornes. Preuve s’il en était besoin que le jeu de société s’installe confortablement au delà de la sphère étrange des otakus des plateaux.