Nous vous parlons de temps en temps ici de jeux japonais. Oui le Japon, bien qu’avec un marché encore très jeune est aussi un des pays du jeu avec des joueurs passionnés et des auteurs très créatifs. Preuve indéniable de cette mouvance, la publication en septembre 2013 dans le magazine de prépublictions Shogakukan d’un manga (non traduit à ce jour en français) dont le titre pourrait être « Le club de jeux » et qui narre l’histoire de trois lycéennes de Kyoto (Midori, Miki et Aya) qui s’inscrivent au club de jeu de leur lycée où elles se retrouvent après les cours.
Sur la couverture du premier tome, on peut voir les trois héroïnes pratiquer le jeu « Marrakesh » de Dominique Ehrhard qui a été primé en France comme Jeu de l’Année 2008.
D’après les renseignements qu’on peut trouver sur le net, l’auteur Nakamichi Yudai, agrémente son histoire de détails sur des jeux de sociétés dans le manga sous forme d’un guide.
Par contre je n'arrive pas à trouver d'infos sur la toile (du moins pas dans une langue que je comprends). Je serais preneur de quelques liens en anglais si vous avez ça sous la main.
Au premier éditeur français qui dégaine son adaptation, je promets une présence dans les bibliothèques de mon fils et de plusieurs de ses copains et copines !
Par contre, il n'est plus dispo sur Amazon mais via des revendeurs qui en demandent deux fois le prix. M'en vais trouver ça ! Ca fait des années que je n'ai pas lu de manga.
Je me suis dit que j'allais apporter quelques précisions. J'ai presque terminé la lecture... D'abord, les filles ne s'inscrivent pas à proprement parler dans un club de jeu. Elles le découvrent par l'intermédiaire de leur responsable de classe (Midori) qui travaille après les cours dans un magasin de jeux de société, qui rappelle étonnamment Sugorokuya, que Dr Mops connaît bien, un magasin de jeux à Tokyo ! De fil en aiguille, elles se retrouvent toutes les 3, avec des intervenants extérieurs, à jouer après les cours au lycée.
Ensuite, les explications sont données par le responsable du magasin Sugorokuya :), puisque le magasin "sponsorise" en partie la création de ce manga.
Je m'en vais écrire un ou deux articles sur ce manga, tiens !
