Un jeu de placement d'ouvriers assez complexe avec une idée très originale qui constitue l'attraction du jeu : une roue et des engrenages qui vont symboliser un calendrier Maya !
Autant dire que lors de votre première partie il est difficile de savoir quoi faire mais petit à petit, on se familiarise avec cette roue et cela devient même plaisant de programmer à l'avance ces coups mais attention la roue tourne !
A essayer !
Le jeu typique de pose d'ouvriers avec toutes les contraintes (rouages interdépendants et tournant ensemble, nourriture de ses travailleurs) pour en faire un vrai casse-tête ... addictif !
Découvert sur la toile et pratiqué régulièrement depuis, ce jeu est le meilleur du genre pour moi, il y a un plaisir à enchaîner les bons coups et à s'en sortir lorsque tout fout le camp.
De plus le matériel est beau, coloré et immersif !
J’ai un peu pataugé au début, mais c’est normal, c’est moi !
Eh bien, je suis complètement fan ! J’aime beaucoup de jeux de genres différents, mais j’ai enfin trouvé un jeu qui me passionne autant que Caylus.
Je n’ai qu’une envie c’est d’y rejouer ! Le matériel est superbe et entièrement dédié au thème du jeu, le mécanisme est original, c’est une perle ! Pas d'hésitation à avoir, c'est de la bombe
Que pourrait-on ajouter à tout ce qui a déjà été écrit sur ce jeu?
Presque rien en fait, sinon confirmer qu'il est une merveille de programmation de placements d'ouvriers, au rythme délicieusement palpitant et haletant de cet engrenage qui ne cesse de tendre les fins de parties ....
Tellement riche en possibilités que ça le rendrait pour un peu presque frustrant, tant l'envie de se développer dans tous les domaines se trouve contrariée par les seuls 28 tours de dents (ou moins) que nous avons à crédit en début de jeu.
Alors il faut combiner, et bien combiner, pour optimiser idéalement les actions. Et quel régal alors de réussir un "coup" en trois retraits concomitants d'ouvriers permettant , au hasard, d'avoir la ressource qui permet d'avoir le bâtiment qui permet d'avancer dans le temple qui permet d'obtenir une récompense des dieux plus importante (parce-que là c'était le quart-temps, hein, celui de la récompense justement, et que j'ai brillamment fait en sorte de programmer cette action au bon moment (eh oui, je sais, quel talent))...
Une belle interactivité, un bon thème et de belles illustrations parachèvent ce bijou.
Ce bijou? Ah non! c'est un peu court jeune joueur! On pouvait dire, de ce jeu, bien des choses meilleures! C'est une œuvre d'art, c'est une perle, que dis-je c'est une perle, c'est une jubilation!
Bref... j'aime bien ce jeu. ;-)
Comme le laisse sous entendre subtilement le titre de cet avis, je suis un grand fan de Tzolk'in, et ce pour d'innombrables raisons que je vais tâcher de résumer ici avant que vous ne fuyiez en courant devant la longueur de cet avis.
Mais voilà, comme le dit le dicton, quand on aime on ne compte pas et je vais laisser mes petits doigts s'exprimer sur mon clavier le temps qu'il faudra pour m'extasier devant ce jeu.
Tout d'abord, et cela arrive bien trop rarement pour être souligné, le jeu est bien fournit en matériel. La boîte est suffisamment pleine pour que l'on ne se sente pas lésé dans un rapport volume de boîte / volume du jeu qui sait des fois nous surprendre.
Ensuite, comme bien souvent, l'illustration de la boîte est belle et colle parfaitement au sujet. Mais, lorsqu'on accède au matériel du jeu, c'est tout exactement pareil. Un vrai régal autant d'un point de vue visuel (mouais, un point de vue visuel, superbe tournure de phrase) que qualitatif. Les tuiles du jeu sont épaisses, les graphismes magnifiques, roooo que du bon. Déjà, bien avant de jouer, on prend vraiment du plaisir à dégrapper tout ça et à monter ce beau plateau de jeu et ces roues.
Aaaaaah, ces roues, les pièces centrales du jeu qui en font toute son originalité et toute sa richesse. Même avant de se plonger dans les règles on s'amuse déjà à tourner ces roues/engrenages, et ce sans se douter que le plaisir sera encore bien plus grand lorsqu'on suivra les règles du jeu.
Car le jeu est riche, bien trop riche parfois (non je ne pense pas à certains joueurs trop lents qui perdent encore d'avantage de temps lorsque les possibilités sont multiples), les possibilités et actions nombreuses et les choix difficiles.
La première partie peut d'ailleurs s'avérer un peu difficile à aborder tant il y a de chose à savoir :
Privilégier la nourriture pour nourrir son peuple et surtout pouvoir se placer où l'on souhaite plus facilement (et aussi agir plus efficacement en se placant plus loin), développer ses technologies nous donnant des bonus non négligeables dans toutes les autres parties du jeu, bâtir des édifices qui là aussi nous donnent des bonus plus immédiat, récolter des ressources, S'adonner aux sacrifices, privilégier les temples ....
Raaaaaaaaa, il y a trop de choses à faire, qui plus est souvent imbriquées les unes dans les autres, s'influençant et se servant l'une à l'autre. Et tout cela en un nombre de tours trop courts.
Car oui, Tzolk'in est un jeu à durée déterminée et vraiment d'une durée convenable, ni trop courte, ni trop longue (non, je ne pense toujours pas à ce joueur que nous connaissons tous passant 3h par tour à jouer). Le jeu se déroule en 4 saisons chacune ayant un nombre de tour déterminé et chacune se terminant par une contrainte bizarre : devoir nourrir ses ouvriers !! Non, mais qui est allé imaginer un truc pareil ? Quoi, on doit les nourrir pour qu'il bosse ? Tsssssss.
Bref, Tzolk'in est un jeu frustrant. avec énormément de choses à faire et un nombre trop court de tours nous empêchant de toutes les faire avec en plus la contrainte de devoir garder un peu de bouffe pour nourrir ses ouvriers, contrainte nous empêchant de temps à autre de nous placer comme nous le souhaiterions. Retssssss (oui, le Tsssssss est une de mes tournures linguistiques préférée pour exprimer mon plaisir à être embêté).
Et pourtant, Tzolk'in est un jeu vraiment très simple à jouer. A chaque tour, seulement deux possibilités : je pose des ouvriers (et j'en paie le coût) ou je ramasse des ouvriers (et je fais les actions correspondantes. Et c'est tout. Même pas une possibilité de passer. Soit je pose, soit j'enlève, mais il est obligatoire d'en faire un des deux.
Et là où est toute l'ingéniosité du système, c'est que les pions sont posés sur les cases les plus faibles libres d'engrenages, et qu'à chaque début de tour ces engrenages avancent un peu, plaçant nos pions devant des actions de plus en plus intéressantes à chaque tour. Plus on attend avant de les retirer, et plus les actions qu'ils feront seront intéressantes. Mais ne vous ai je pas dis qu'il est obligatoire de poser ou de retirer ? Alors quand on a plus de pion à poser, et bien il faut en retirer au moins un ! Tsssss, je l'aurais bien laissé un ou deux coups de plus moi ! Encore de la bonne frustration.
Si à tout cela on ajoute le fait qu'un case ne peut être occupée que par un pion (et donc qu'on peu gêner le placement des adversaires ? noooon), que les influences sur les temples apportent des bonus supplémentaires aux joueurs les mieux placés sur ceux-ci en fin de chaque saisons, que le nombre de sacrifices est limité (et qu'ils ne rapportent pas tous autant), vous aurez compris que l'on est pas uniquement dans un jeu où tout le Monde se développe dans son coin mais que nous avons ici une belle interactivité.
Et voilà, en résumé Tzolk'in est un excellent jeu de développement et de frustration, magnifique tout autant visuellement que ludiquement avec tout plein de façon de jouer et de marquer des points et avec juste ce qu'il faut d’interactivité. Que du bon et une note maximale bien méritée.
Enorme : un jeu tendu à souhait, des parties différentes, un jeu parfait quel que soit le nombre de joueurs, un jeu pas trop long dans cette catégorie, un matériel au top... J'a-dooore! Un vrai coup de coeur!
J'avoue être un peu mitigé sur ce jeu car d'un coté on a un jeu avec une idée sympa (La roue, non les roues) mais je trouve qu'il y a des gros défaut : le 1er joueur est souvent très avantagé et c'est vraiment dommage d'être obligé de "perdre" un pion pour le devenir soit-même.
Le 2e est le système de scorage de points que je ne trouve pas du tout performant car en dehors de la roue des crânes bleus, il est bien difficile de marquer des points autrement vu la difficulté de faire des temples ayant des compétences utiles aux scores.
Enfin le système d'icône est pas super clair.
Un jeu qui mériterait d'avoir une V2 corrigée.
Bon, les mayas vivaient sur une grande roue, ça tout le monde le sait...
Maintenant un énième jeu de gestion à points de victoire avec un thème récupéré in-extremis sur la méca, pourquoi pas, mais j'aurais tendance à demander: why?
Bof quoi, on a l'impression que l'on a voulu sur-compliquer un jeu juste pour le plaisir, sans ajouter grand-chose à un genre déjà bien (sur?) exploité.
Les cartes de bâtiment sont mochissimes, le plateau est littéralement recouvert de copiés-collés d'un petit groupe de mayas toujours les mêmes (???). La méca de passage du temps est bien plus efficace et, surtout, thématique dans "Village/Descendance"... Ici, bah c'est sympa a regarder une fois et puis on se dit OK: ça fait avancer les pions quoi... c'est tout...
Il n'y a que l'aspect religion qui soit vaguement rigolo, mais avec les crânes de cristal à récupérer avant d'aller prier, on a plus l'impression d'assister à un cours de master de logistique qu'à une célébration d'un dieu maya...
Alors oui, super, on peut essayer de ruiner les plans adverses en faisant bouger la grande roue deux fois mais bon, ca sert rarement à grand chose puisque l'on ne voit presque jamais de pions adverses être éjectés des roues... à part ça je ne vois pas trop la grande révolution dans cette roue (jeu de mot vaseux...)
Bref... Pour moi cette époque du jeu de société est celle des thèmes forts repris par de belles mécaniques... Là on a un symbole (la roue/calendrier) thématique qui devient une grosse mécanique barbante pour comptables grisâtres une fois mise en jeu...
Sans compter le niveau d'interaction, parmi les plus faibles du genre à mon sens...
Pas folichonne cette épopée maya.
Un petit sacrifice, non?
Non...
C'est intéressant, les créateurs du jeu ont du se creuser les méninges pour développer un nouveau mécanisme, mais sincèrement pour moi ce n'est que le xième jeu de placement avec un thème plaqué derrière et donc la mayonnaise pour moi ne prend plus.
Pas si original que ça donc - tout se concentre sur le mécanisme de la roue, qui ne permet finalement que d'éviter de déplacer les joueurs sur de multiples cases et donc de gagner du temps...
**Tzolk'in est un bon jeu. Bonne qualité pas trop cher.**
**Ces +**
- très bon jeu à 2,
- tactique (je ne reviens pas sur un énième pourquoi),
- assez long (1 à 2 heures facile),
- excellent jeu de gestion,
- possibilités assez large.
**Les -**
- le tour du premier joueur, sorte d'"initiative" qui déterminera probablement l'issue de la partie. Celui qui a le pion premier joueur à un net avantage. S'il l'exploite bien dés le début, il est assez dur à contrebalancer et cela se sent à la fin de la partie ou il a quelques coups d'avance. Cette mécanique (que nous avons essayer sans succès de faire sauter dans une variante) pèse presque trop sur le jeu. Pour contrebalancer cela une variante est possible, celui qui n'a pas le pion premier joueur tire ses avantages de départ non pas sur 4 mais 6 cartes,
- au bout d'une dizaine de partie on maîtrise bien la mécanique du jeu. Il est probable qu'on se cantonne à des tactiques gagnantes aux parties suivantes. Contrairement à ce que j'ai pu penser au départ, on voit rapidement les coups qui rapportent le plus et on à tendance à toujours jouer les mêmes. Donc un jeu limité dans sa durée de vie,
**Conclusion :**
- finalement assez simple de pratique et intuitif dans sa gestion, Tzolk'in a su trouver une bonne place dans ma ludothèque. Je lui reproche au final son manque de fantaisie et de tournants hasardeux qui peuvent remettre en question le cours du jeu. Sa complexité est relative et disparait en 2 à 3 parties.
Génial, le mécanisme central qui sert de décompte des tours de jeu active quatre autres mécanismes.
Un mécanisme orienté bois puis nourriture (prendre une tuile bois libère une tuile maïs, on peut bruler un bois pour prendre directement un maïs mais au prix d'une colère des dieux), un autre orienté ressources (bois, pierres, or et cranes), un orienté technologies et construction de bâtiments, et un dernier consacré aux points de victoire directs (les bâtiments et les temples permettront également d'ne gagner et il faudra veiller à ne pas en perdre en nourrissant nos ouvriers).
On place nos ouvriers sur l'un des mécanismes (ou on retire un ou plusieurs ouvriers, mais on ne peut placer et retirer lors du même tour), et on a le choix entre récupérer rapidement pour un petit bonus ou attendre plusieurs tours pour voir le bonus grandir.
Cette programmation à effet différé est tout simplement géniale (et affreuse pour ceux qui sont déjà fâchés avec la programmation à résolution immédiate).
Testable sur Boiteàjeux.
Encore un jeu de placement d’ouvrier. Mais non. Le thème ici est très bien rendu, et l’originalité réside dans le système d’engrenage des roues d’actions. Il y a différentes roues, pour récupérer des ressources, faire des améliorations ou des sacrifices qui engrangent des points de victoire, avec des actions de plus en plus fortes sur chacune des roues, plus on s’éloigne de la position de départ. Or à chaque tour, on tourne les roues et chaque ouvrier placé accède donc à l’action suivante. La réussite réside donc dans la bonne gestion de sa pose, et dépose d’ouvrier, puisque c’est lorsqu’on enlève un ouvrier de la roue, qu’on exécute l’action correspondante. Beaucoup de stratégies permettent de marquer des points, ils y a des décomptes au niveau des temples, des bâtiments à construire, et surtout des sacrifices, qui peuvent rapporter gros.
**Tzolk'in** est un jeu de placement d'ouvriers exigent, très beau (illustrations comme matériel) et avec un thème sur les Maya parfaitement maîtrisé. Les nombreuses stratégies différentes possibles font aussi sa richesse. Mais la grosse valeur ajoutée c'est bien sûr le système de la roue calendaire. Alors certes elle ne révolutionne pas non plus les mécaniques du jeu de gestion, mais elle amène une approche différente très ludique.
Du très bon kubenboa avec un dispositif original agrémentant le tout: moi je dit oui !
Tzolk'in est un très bon jeu de gestion de ressources et de poses d'ouvriers. Les roues du calendrier apportent une grande originalité. Le reste est classique et ne surprendra pas les joueurs habitués à ce type de jeu. L'ensemble est très cohérent, très agréable, et l'envie de rejouer est là.
Un petit point d'agacement qui n'est pas propre à ce jeu malheureusement : en fouillant sur les forums, j'ai vu qu'une tuile avait une erreur de traduction. De plus, en relisant la règle, on constate qu'il manque certains mots.
L'existence d'internet et la facilité de diffusion des correctifs, mise à jour et autres errata ont-elles éteint le droit du joueur-consommateur d'avoir un produit parfaitement achevé ?
Tzolk'in, c'est avant tout une mécanique originale, tant par son fonctionnement que par le matériel qui la met en oeuvre. Des roues crantées qui bougent toutes ensembles, des ouvriers qui se déplacent sur celle-ci. Un plaisir à observer tout autant qu'à manipuler.
Alors en terme de mécanique, le jeu est bon, voire très bon. Avec un choix on ne peut plus simple (du moins dans sa formulation) à chaque tour : poser des ouvriers ou récupérer des ouvriers.
Malheureusement, on se dit très vite que le jeu n'existe que pour sa mécanique, tout le reste n'étant que prétexte à l'utiliser. On avance sur différents tableaux, on poses des crânes sur des emplacements prévus à cet effet, on achète des tuiles qui n'ont de bâtiments que le nom...
Parcequ'hormis les roues, il faut bien avouer que le jeu est plutôt sobre, voire froid. Bon les crânes sont jolis, certes, mais ça ne suffit pas à nous transporter vraiment. Et c'est dommage, je dirais, au vu des possibilités qu'auraient pu offrir le thème.
Un excellent jeu donc, avec de nombreuses stratégies possibles, qu'on prend plaisir à pratiquer. Mais il lui manque peut être à mon sens ce petit supplément d'âme qui pourrait le faire passer au rang de jeu culte.
Un excellent jeu de placement d'ouvrier au concept novateur.
Les roues permettent de matérialiser l'investissement temporelle dans le rendement des ouvriers (plus on laisse longtemps un ouvrier, plus il rapporte).
Le jeu est très fluide et très agréable.
Cependant, il n'est pas exempt de défauts :
* Le nombre de crânes devrait s'adapter au nombre de joueurs (à la manière du nombre de temple dans Deus). En effet, la stratégie crâne rapporte beaucoup de points et il aurait fallut limiter son impact.
* Les bâtiments sont trop chers. Le rapport qualité/prix ne me paraît pas au rendez-vous (notamment par rapport à la stratégie full crânes).
* La thématisation est un peu faiblarde. J'aurais aimé des dessins de bâtiments (comme dans Caylus) plutôt que juste la visualisation du gain.
Un jeu de gestion des plus classique, l'innovation étant le système d'engrenage faisant avancer vos ouvriers.
Sinon ce jeu n'apporte rien de plus fondamentalement par rapport à un Agricola, Le Havre.
C'est une superbe mécanique, rien à dire, bien équilibrée, pleins d'options, on voit que le jeu a été bien travaillé.
Cependant j'ai un bémol : j'aime les jeux qui me font un peu "voyager" et là, rien. Je ne me suis pas senti dans la peau d'un prêtre maya faisant des sacrifices ou du responsable local essayant de développer sa cité.
On construit des bâtiments sans nom qui donnent des avantages divers, mais on ne sait même pas de quoi il s'agit exactement.
Bref:
les +
superbe mécanique de jeu, bien rodée, bien travaillée, rien à dire. Les amateurs du genre vont aimer.
les -
trop abstrait pour moi, immersion dans le thème insuffisante.
trop long.
Je suis un peu déçu par la « monnaie » du jeu. Le maïs est certes très cohérent avec la région, mais le miel ça aurait été plus drôle. Enfin bref, nous sommes en présence d’un jeu germain de pose d’ouvrier classique dans on schéma « de base » ( stratégies différentes, ressources, conversion en points de victoire), mais pour une fois le matos, superbe et ludique, nous rattache un peu au thème.
Il est diablement bien pensé, peut te triturer salement les neurones, et te laisse parfois l’impression que tu maitrises grave (parce que tu gères bien la faim des ouvriers), mais au final tu finis avec un nombre ridicule de points. Un peu au carrefour d’Agricola et de Caylus, il mérite en tout cas d’être testé, mais vu son positionnement ultra classique kubenboa, il devra de tout temps faire face à la concurrence féroce des jeux du même type, dans le passé, le présent et le futur…
Avec son plateau très original, Tzolk'in intrigue, et sa mécanique est au coeur du jeu.
Original et innovant, Tzolk'in n'en oublie pas pour autant d'étre un jeu de gestion moderne et rythmé.
Chaque partie est différente, chaque voie vers les points de victoire est intéressante.
Indispensable.
Nous avons pu tester ce jeu récemment, étant un peu fan de descendance nous nous sommes dit que ça allait nous plaire. Il faut bien avouer que ce jeu est d'une très grande profondeur. La mécanique est efficace et demandent sans arrêt de revoir ses plans. Notez qu'imaginer ses actions dans 3 ou 4 (voir 5) tours est essentiel ! sans ça, nulle victoire ;)
Le plateau est vraiment super, le système d'engrenage est vraiment agréable. Il faut sans cesse avoir un oeil sur ce que va faire l'adversaire pour éviter d'avoir des actions qui deviennent vraiment trop consommatrices de ressources alimentaires... En gros, c'est un jeu vraiment très technique qui demande plusieurs parties avant de maitriser les mécanismes.