Succeed
settingsNicolas Parriaux, Bruno de Boisgueheneuc, Benoît Tranzer
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| Nombre de joueurs : | 2-6 | ||
|---|---|---|---|
| Age : | 15 ans et + | ||
| Durée de partie : | 180 min | ||
| Langues : | Français | ||
Les avis
Succeed : Succide de jeunesseCe jeu est une sorte de projet de fin d'année d'une promo étudiante d'ESEC. Le thème emprunté au milieu des écoles de commerces, se veut de simuler les début et la carrière d'un cadre commercial de son entrée à l'école jusqu'à sa fortune dans les transactions sur le marché des matières premières. Très chère à sa sortie (450FF) près de 70€ en 1984, alors que cofinancé par de nombreuses publicité dont le jeu est bourré, la boite est très grosse et bien rempli mais le matériel assez commun et pauvre en graphisme. (pour un ordre d'idée un Monopoly se vendait 120FF à l'époque) Le jeu se joue en deux étapes, une première vous fait déplacer sur un classique parcours à la Carrières composé d’école de commerce (pub) et quelque case pour piocher des cartes (re-pub), avec en bonus un parcours pour vos amours, ces différents parcours vous font gagner des heures, indispensable pour passer son examen final dont les questions sont directement issue d'examen niveau BAC (force d'y jouer on connaissait tous les question et les réponses, mais reste accessible). cette partie peut-être très longue car il fallait s’arrêter deux fois sur une école, une fois pour s'inscrire et une autre pour passer son examen, le hasard pouvait vous faire rater à chaque fois votre case et vous refaisiez un tour de plateau. Une fois votre diplôme en poche commence une partie plus intéressante du jeu, vos heures restante sont transformée en billet et vous entamer votre voyage à travers le monde, grâce à une carte d'itinéraire (sponsorisé par une compagnie aérienne) à chaque étape vous aviez la possibilité d'acheter des parts de ressources que le pays produit ou de vendre au cours de la bourse (une feuille écrit en petit avec le cours à chaque lieu) les ressources précédemment acquises. Le premier qui finissait son itinéraire mettait fin au jeu et le gagnant était le plus riche. Bien que jeune à l'époque et plutôt long à jouer, j'ai fais de nombreuse parties et il a longtemps constitué un référent dans mon estimation personnelle de la complexité d'un jeu. Aujourd'hui ses règles me semblent obsolètes, cela reste jouable en proposant au plus jeune un qcm pour les questions de l'examen et en appliquant quelque variante pour raccourcir la première partie du jeu. Sylver
17/06/2016
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