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Boîte du jeu : Spartacus

Spartacus

settingsJohn B. Firer
brushMark Mahaffey
home_workCompass Games, Phalanx Games
local_shippingCompass Games, Phalanx Games
Nombre de joueurs :null-2
Age :12 ans et +
Durée de partie :180300 min
Langues :Français
    8
    Un card driven game dans la lignée d'Hannibal : Rome vs Carthage. 80 Avant JC. La République est au seuil d'une nouvelle ère.[/size] Le dictateur Lucius Cornelius Sulla (celui du jeu éponyme d'Ystari himself) a éliminé les derniers partisans de Marius, renforcé les pouvoirs du Sénat et travaillé à la restauration de la gloire passée de la République - mais en utilisant des méthodes personnelles ... un peu brutales. Ainsi ses réformes ont engendré la violence plutôt que la paix, et la révolte couve. Le premier à s'affranchir du joug est Quintus Sertorius. Chef charismatique et doué, il rallie les tribus de Lusitanie pour conduire leur combat contre la longue oppression Romaine et ses exactions. Déclaré hors la loi pour son rejet de l'autorité de Sylla, Sertorius débarque dans la péninsule et déploie l'étendard des Marii. Avec une armée d'exilés à ses ordres, augmentée des tribus espagnoles qui affluent pour soutenir sa cause, Sertorius commence une guerre qui durera 10 ans. Il va bientôt être connu parmi les tribus sous le nom de « Nouvel Hannibal ». Sur ses talons, nous trouvons le consul Marcus Aemilius Lepidus. Son opposition au Sénat est si grande qu'en 78 avant JC, il lève aussi une armée, cette fois dans le nord de l'Italie – destination : Rome. Le co-consul de Lepidus, Catulus, réussit a arrêter son avance, mais uniquement grâce à l'aide du jeune et ambitieux Pompée, rappelé d'Afrique pour aider à la défense de la Cité. Malgré son échec, les effets de la trahison de Lepidus vont retentir à travers la République pendant de nombreuses années. Deux années plus tard, Sertorius conclut un traité avec Mithradates IV, roi du Pont, qui se soulève aussi – engageant la République sur un second front en Asie Mineure. Peu après, alors que l'ordre s'effondre tant en son sein qu'à l'étranger, Rome subit l'insulte ultime : une révolte d'esclaves, menée par le très compétent gladiateur-général, Spartacus ! Rome est cernée de toute part … La République sera t-elle capable de repousser ces menaces ou, réduite en lambeaux, sombrera-t-elle dans l'anarchie ? SPARTACVS est un jeu pour 2 joueurs piloté par des cartes, à l'instar de Hannibal, Rome vs Carthage, dont il s'inspire (avec un matériel certes beaucoup plus austère). La menace multi-forme représentée par Sertorius et ses avatars affronte la puissance de Rome. Le jeu se déroule sur une carte point à point représentant la péninsule ibérique, la Gaule, l'Italie et l'Asie Mineure. Le but du joueur Sertorien est de détruire les forces vives de la République – en prenant Rome, ses territoires, ou, à force de volonté, en provoquant son écroulement intérieur. Pour prévenir cela, le joueur Romain doit gérer la crise en termes politiques et militaires. Ou, mieux, éradiquer les traitres de la surface de la terre à l'aide de la fureur de Mars. (traduction du dos de la boite) [size=10]

    Les avis

    • boîte du jeu : SpartacusSpartacus : L'Anarchie vaincra ?
      Si longtemps après Hannibal qui est certainement le wargame que j'ai joué le plus, j'ai énormément apprécié de retrouver un système de jeu a fait ses preuves, mariant avec brio le stratégique intello avec le tactique jouissif et excitant. Le matériel est irréprochable, la règle bien traduite. Comme pour son grand frère la grande Histoire y est modélisée avec intelligence et l'assymétrie du propos ne nuit pas à l'équilibre du jeu, même si l'opposant à la République doit éviter quelques grosses bourdes en début de partie s'il veut survivre. De toute façon, les conditions de victoire sont paramètrables, alors... J'ai trouvé original de jouer Sertorius avec l'objectf essentiel de foutre le bordel dans la belle république romaine. De ce côté, le scénario est bien trouvé. Un vrai card-driven pas trop compliqué, mais qu'il faudra jouer 2-3 fois pour bien l'apprivoiser.

      tt-0f3cbeb9423f34a...

      27/10/2018

      8
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    publications

    autres sujets

    [spartacus] ashur et oenomaus[spartacus] ashur et oenomaus
    En y regardant de plus prêt, la traduction est complètement erronée sur 2 cartes complot. "Acheter des secrets" et "pris la main dans le pot de vin" L'effet de ces 2 cartes me semble complètement différente de la version anglaise. A confirmer.

    sissouvic

    03/01/2014

    [Spartacus] Un Hannibal like pour mi-janvier[Spartacus] Un Hannibal like pour mi-janvier
    Posté par l'auteur sur Consimworld: Aspects of Commonality between “Spartacus” and “Hannibal: Rome vs. Carthage” As we approach the publication of “Spartacus” later this month, I thought it might prove useful to discuss those elements that are common to both games. Below find said list, with some comments about slight variances between the two games in the listed areas and other explanatory comments. •Consuls and Proconsuls: There is an annual election of consuls and appointment of proconsuls. However, all consuls between 80 and 71BC are present and can be elected, but only once. Proconsuls are appointed from the current consuls or from a proconsular pool. Special proconsuls are available in the guise of Pompey and Crassus. •Leader Special Abilities: Some leaders have these. •Uses of Strategy Cards: Some additional uses have been added such as conducting individual activations of units and generals on the map, Sertorian use a Strategy Card to Train Troops, and Resource Cards (Each player has five cards, called Resource Cards, which can only be used by their side and can only be played as an event.) •Land and Sea Movement: Some restrictions on Sertorian sea movement. Any card may move one unit or leader only from port to port. •Interception and Avoid Battle: Interception and avoid battle are based upon the leader’s Initiative (Strategy) Rating not a Tactical (Battle) rating. A unit without a leader present may try to avoid. •Combat: Battle cards are available but optional; the primary combat system uses die rolls with modifiers for such things as leader tactical rating, surprise cards, size of opposing forces, etc. •Retreat: A force is routed if they are the loser AND their rout die roll exceeds there tactical rating. •Political Control and Isolation: There is a Surrender Phase which allows free conversion of minor cities. Also spaces can change or lose ownership via fortunes of war, pacification (Republican player) and raids (Sertorian player). •Sieges and Subjugation: Surrender Phase allows siege of major cities and tribal areas. •Winter Attrition: All units subject to this with losses determined by province control, province’s sustaining capability, and number of both sides units in a province. •Victory Conditions: Provinces are important but the game can be won (or lost) by driving the Republic’s crisis level to Anarchy. I believe that a player who is conversant with the HRC system will pick-up on “Spartacus” very easily. While HRC had only the one scenario, “Spartacus” has multiple scenarios which require greater or lesser amounts of time to play. In addition, there are numerous optional rules to enhance (or complicate!) play. …so take advantage of the pre-publication sale which will most likely end with the release of “Spartacus” – time is running out! Regards and I hope you enjoy “Spartacus” as much as we at Compass do, JBF

    7Tigers

    12/01/2009