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Boîte du jeu : Princes of the Renaissance

Princes of the Renaissance

settingsMartin Wallace
brushPeter Dennis
home_workWarfrog
local_shippingWarfrog
Nombre de joueurs :3-6
Age :12 ans et +
Durée de partie :150 min
Langues :Français
    9,1
    La Renaissance ! Incarnez un prince italien et affrontez vos adversaires afin d'augmenter votre influence et votre richesse. Descriptif de l'auteur M. Wallace : Comme vous pouvez probablement le deviner à partir du titre et du dessin de la boite du jeu, le jeu se déroule dans l'Italie de la Renaissance. Chaque joueur prend le rôle de princes condottiere mineur, comme les Gonzagas ou d'Estes. Il y a aussi les 5 grosses cités Venise, Milan, Florence, Rome et Naples. Elles ne sont pas contrôlées directement par les joueurs mais ceux-ci gagneront des "intérêts" dans celles-ci lors du cours du jeu. Chaque cité a 6 figures, la plupart représentant des personnages célèbres tels Lucrezia Borgia or Lorenzo Medici. Chaque figure a ses propriétés spéciales qui sont liés au personnage. Ainsi, Cesare Borgia vous aidera à être un peu plus traître alors qu'un marchand vénitien augmentera vos revenus. Ces personnages rapportent également des points de victoire, en fonction du statut de la cité à la fin du jeu. Le statut d'une cite changera en fonction des résultats d'une guerre. Lorsque deux cités s'affrontent, elles auront besoin d'un condottiere pour se battre à leurs cotés. Les joueurs enchérissent, en utilisant des points d'influence, pour savoir qui représentera chaque cité. L'issue de la guerre dépendra d'un peu de chance et de la taille de l'armée de chaque joueur.. Chaque joueur est aussi payé pour avoir combattu, quel que soit l'issue de la confrontation. Ainsi les joueurs peuvent transformer leur influence en or, qui a son tour peut être utilisé pour acheter plus de figures des cités. Aucun jeu sur la Renaissance Italienne ne serait complet sans des éléments de trahison. Les joueurs peuvent être ouvertement traîtres en achetant des cartes Trahison, qui leur permettent d'effectuer quelques petites actions méchantes comme voler de l'influence, corrompre des troupes ou évincer des joueurs d'une enchère. Cependant, le jeu permet aux joueurs de dévier du droit chemin d'autres façons, qui restent légales. S'assurer qu'une guerre va dans la direction que vous souhaitez est une partie importante du jeu, et ce n'est pas le joueur qui possède la meilleure armée qui finit au combat. Si vous souhaitez qu'une cité perde, hé bien devenez Condottiere pour elle et assurez vous d'avoir une armée réellement mauvaise ou utilisez une carte Trahison pour persuader vos propres troupes de ne pas combattre. A un moment, un joueur deviendra Pape, ce qui signifie qu'il pourra former une Sainte Armée (i. e. se joindre un des adversaires). Si vous voulez être sur que le Pape soit du bon coté, alors pourquoi ne pas le corrompre. Ce que les joueurs peuvent négocier est de leur ressort. Le jeu ne force pas à la négociation et marche très bien sans mais cela reste une possibilité à explorer.

    Les avis

    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : Diplomatie, guerre et trahison
      Cette nouvelle édition (Mercury games - 2016) de "Princes of the Renaissance" est magnifiquement illustrée et le matériel est conséquent. Le jeu est en VO anglaise mais il y a très peu de texte sur le matériel et les règles VF se trouvent sur le site de "ludism" notamment. Le jeu est assez onéreux et ne plaira peut-être pas à tous malgré ses qualités. En effet, ce jeu de Martin Wallace (2003) réhabilite de belle manière les jeux de diplomatie et de guerre avec quelques travers possibles: "kingmaking", part de chance existante (tirage de dés et de cartes). Il nécessite des joueurs fins et retors car les coups tordus sont de mise et l'équilibre est nécessaire comme dans tous les jeux de diplomatie. Il se base sur un système d'enchères avec une double monnaie (les pièces d'or et les jetons d'influence) et un système de batailles simple et efficace. Il existe plusieurs voies stratégiques pour gagner qui seront à adapter selon la famille de Condottieri que vous incarnerez: la voie des armes, la voie du commerce, la voie de la trahison et tout mélange de ces trois grandes orientations. De toute façon vous ne pourrez gagner sans être un minimum diplomate: l'interaction est bien présente et le thème de l'Italie de de la Renaissance est très adapté; cela évoque un peu le vieux jeu Machiavelli (1978) de chez Battleline (mais ça ne nous rajeunit pas...) avec des mécaniques plus modernes. On aurait presque envie de lire ou relire "Le prince" de Machiavel pour préparer sa prochaine partie...

      fknavarre

      24/10/2019

      7.7
    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : Princier, au moins
      Les jeux politiques dans l'Italie de la Renaissance, illustrés par les familles Borgia et Médicis, théorisés par Machiavel et où intervenait le Pape sont ici parfaitement retranscrits. En qualité de Condottiere, il va falloir, trouver des alliances tacites avec d'autres joueurs en contrôlant des membres de familles rivales, s'armer pour éventuellement se lancer dans des guerres qui auront pour effet de rapporter des revenus et de modifier l’échiquier de l’influence de ces familles. Dernière action, celle de manipulations, appelées "trahison", dans le jeu. Elles sont assez jouissives à jouer car elles permettent d'intervenir de manière inattendue avant une guerre ou au cours d'une enchère, par exemple. Elles sont aussi un bon outil de menace. Toutes les actions, sauf cette dernière, sont des déclenchements d'enchères. C'est par ce mécanisme qu'on va principalement devoir gérer ses ressources d'argent et d'influence. Les décomptes des points de victoire sont parfaitement justifiés; il y a pile le bon nombre. Le principal décompte se fait sur le contrôle des familles, ce qui, une nouvelle fois, rend vraiment compte de ce qui est au cœur du jeu. Dans l'ordre de mes découvertes, le *Sylla* d'Ystari montrait déjà ce que pouvait être un bon "jeu politique". Ici, on touche carrément à la grâce. Tous les éléments s'imbriquent parfaitement pour aboutir, de mon point de vue, à un modèle du genre "jeu politique". Je cherche dorénavant un exemplaire. Un éditeur aura peut-être prochainement la riche idée de le ressortir. Ce jeu le mérite. Les joueurs gagneraient aussi à voir les corrections des quelques petites erreurs de l'édition originale et des graphismes revus à la hausse, point faible des éditions *Treefrog*, on le sait.

      Joker75

      24/07/2012

      10
    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : Combat d'enchères
      Voila du Wallace pur jus. Trois heures à prendre part (ou pas) à des enchères plus ou moins tendues pour développer ses revenus, son influence et ses points de victoire dans l'Italie du 15ieme siècle. C'est Kniziaque à la base, avec ses deux monnaies différentes, ses enchères pour être celui qui va défendre (ou pas) une ville pour laquelle vous avez beaucoup d'intérêt (ou pas), ses luttes d’influence, conflit d’intérêt et collusion en tout genre. La touche Wallacienne vient du jeté de dés de combat qui n'a finalement pas beaucoup d'importance. Jeu assez étonnant avec son plateau anecdotique qui sert uniquement de zone de marquage, le centre de gravité du jeu se situe principalement dans l'étalage de tuiles que vous allez vous disputer aux enchères, charge à vous de les faire fructifier dans le futur sans être le seul à les défendre. On trouve ainsi plein de petits fonctionnement assez techniques qui ont été vu par le passé et revus dans le futur et qui sont ici assemblés intelligemment bien que quelques zones de déséquilibre semblent apparaitre. Jeu intéressant quoi qu'un peu abstraie parfois pour un Wallace. A essayer au moins une fois si vous êtes un fan du maitre.

      Pac

      12/05/2009

      8
    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : Tout proche du firmament !
      Et oui, ce jeu fait partie des mes préférés ! Et pourtant à part la splendide couverture on retrouve la laideur caractéristique des productions de l'éditeur, qui atteint ici son paroxysme avec le plateau totalement hideux. Mais ces futiles considérations sont vite balayées face à ce bijou d'originalité, mariant luttes d'influences, enchères et combats forme un cocktail, certes corsé, mais d'une profondeur telle que j'attends toujours avec une terrible soif la prochaine plongée ! Une merveille.

      tt-bf2afd607dfb193...

      25/11/2008

      10
    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : Impérial!
      Constituez une armée, puis: enchères, gestion de ressources, batailles, coups bas, alliances & retournements de côtes de maille! Jeu idéal pour joueurs confirmés.

      tt-b578f7bdda849ff...

      31/05/2008

      10
    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : Sacré Wallace...
      ...toujours le mot pour pas rire. Parce qu'effectivement dans les jeux de Martin Wallace, on est pas vraiment là pour se tailler une franche rigolade. Mais qu'est-ce que c'est intelligent dans la conception... Ce que j'aime particulièrement dans ses jeux, c'est le sentiment de justesse permanent. Tout est calculé au millimètre, on est limite à tout niveau de bout en bout... Sans entrer dans le détail, ce jeu offre, en plus, une panoplie incroyable de stratégies différentes, d'alliances incertaines, de retournements de situation improbables qui font vibrer du début à la fin. Un tout grand jeu, réservé cependant à ceux qui n'ont pas peur de réfléchir, et longtemps encore. NB : on vous l'a sûrement déjà dit, mais le plateau de jeu pique les yeux.

      poifpoif

      30/05/2008

      8
    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : Hautement jouissif !...
      Ah... Princes of the renaissance. Franchement, si au début on est un peu désarçonné (bon, ok, qu'est ce que je fais, là ?), on assimile progressivement la logique du jeu et on se fait de grands, mais alors très grands plaisirs. Quel bonheur de parvenir par le jeu des alliances (investissements dans les différentes villes, guerres...) à faire s'opposer les condottieres adverses à son plus grand profit ! Bien sûr, il faut aimer les enchères, il faut accepter le hasard des jets de dés (néanmoins +/- maîtrisés par les choix qu'on peut faire), mais après, franchement c'est du pur bonheur. En plus les parties sont souvent assez différentes et la subtilité présente à chaque fois. Bref, j'adore !

      Bizniouf

      20/02/2007

      10
    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : De l'Art de la guerre chez les princes
      Contexte de la partie : 4 joueurs Durée : entre 2h30 et 3 heures Résultats : 1er : Julien - Scand1sk (32) 2ème : Ruben (31) 3ème : Jeff - Corwyn59 (26) 4ème : Seb - zico (25) **Matériel** : - On passera sur la qualité et l'intérêt du plateau, pas franchement utile, ni esthétique. En revanche, les tuiles sont de bonnes tailles et de bonnes qualités, en quantité assez importantes, qui, disposées autour de la table, prennent au final pas mal de place. Elles constituent l'essence même du jeu (notamment de part la double fonctionnalité des tuiles politiques : couleur associée à une cité, pouvoir qu'elles apportent) **Le jeu** : Un jeu croisé entre négociations, enchère et un mécanisme type "Impérial/Union Pacific", alliance et guerre, la double monnaie - *Négociations* : chaque joueur incarne un Prince italien à l'époque de la Renaissance. En cela, le thème est bien rendu. Quelques actions sont sujettes a négociation notamment "la guerre entre 2 cités" - *Enchère* : au niveau de l'action "déclaration de guerre", une fois que le joueur actif a désigné les deux cités concernées, chaque joueur se bat, aux enchères, pour contrôler la condottiere de la ville attaquante et de la ville défensive. Enchère également au niveau de l'acquisition des différentes tuiles politiques affiliés aux différentes cités et tuiles événements qui rythment la partie. - *Mécanismes type "Impérial/Union Pacific"* : Les Cartes politiques jouent un double emploi : pouvoir octroyé pour son acquéreur et valeur en PV en fonction du niveau de prestige de la cité associée. Niveau qui varie en fonction des guerres et des tuiles évènements - *Alliance et guerre* : Les alliances apparaissent évidentes dès lors que plusieurs joueurs ont investis dans des tuiles politiques d'une même cité et dont la valeur dépend directement du prestige de la dite cité. - *La double monnaie* : Or et Influence qui serviront à différents moments de la partie pour remporter les enchères successives. Il s'agit donc de disposer des deux tout au long du jeu. Tous ses éléments font des "Princes de la Renaissance" un jeu aux règles simples mais aux stratégies multiples et complexes tant les manières de marquer sont différentes : valeurs des tuiles politiques, lauriers a valeur exponentielle pour chaque guerre remportée, tuiles événements rapportant des PVs, or et influence qui en rapportent tout autant. *Quelques mécanismes m'ont gêné* : - La difficulté de remettre une cité sur les rails du succès dès lors qu'elle a touché le fond et qu'on est seul à y avoir investit. Si les moyens sont multiples, l'entreprise est périlleuse et coûteuse. Cela est compensé par la possibilité de marquer des points par d'autres stratégies. - Les blocs d'alliances définitifs qui se forment irrémédiablement lorsqu'au moins deux joueurs ont des intérêts communs dans une cité. On a alors le sentiment de jouer contre des joueurs associés dès lors que les intérêts de la ville commune sont concernés. - Le chaos généré par les tuiles "trahison" si peu chères a l'achat mais aux effets parfois dévastateurs qui peuvent mettre en branle une stratégie finement élaborée. *Pour bien débuter* : Il apparait essentiel de faire très vite un choix militaire : privilégier une armée très offensive, investir dans des tuiles défensives, voire, occulter son armée afin de faire perdre certaines cités (mais peu de gain de laurier). Le meilleur choix semble l'armée offensive, qui rapporte des lauriers dont la valeur peut s'avérer déterminante. Il convient également de bien gérer son pécule de départ (or et influence) pour acquérir des tuiles clés qui apportent des réductions de coûts : rentables sur le long terme et déterminantes lors des enchères. Eviter le cloisonnement sur une cité ou vous seul avez investit, préférez des tuiles politiques au pouvoir moins intéressant mais ou d'autres joueurs ont des intérêts dans la ville associée à la tuile en question Au final, Les Princes de la Renaissance demeure un excellent jeu difficile à classer : entre enchères et de négociation politique avec un thème fort et prenant.

      tt-a83ec8c181ff690...

      07/02/2007

      10
    • boîte du jeu : Princes of the RenaissancePrinces of the Renaissance : Historique ou hystérique ?
      Cette fois-ci, Wallace nous a pondu un vrai chef d'oeuvre historique où la simulation s'accorde à merveille aux mécanismes. Pour peu que l'on s'attache à ce genre de jeu, on se retrouve téléporté dans l'Italie post-médiévale, à guerroyer pour le plus offrant, à gèrer ses familles, ses artistes... et ses papes. [Plus tard] Cela dit, il faut plus d'une partie pour intégrer le système assez déroutant dès lors qu'on enchérit pour faire la guerre, tout comme un vrai Condotierre. Il vaut mieux savoir en effet que le gagnant sera celui qui aura su guerroyer le plus, et surtout attaquer le plus, puisque cela rapporte à la fois des sous et des PVs. Du coup, cela peut induire un effet "win to win" si les autres joueurs ne savent pas contrer l'envolée du conquérant.Je baisse un peu ma note pour cette raison, en attendant d'y rejouer.

      tt-0f3cbeb9423f34a...

      10/05/2006

      8
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    publications

    autres sujets

    [Princes of the Renaissance] Le cas D'Este[Princes of the Renaissance] Le cas D'Este
    fafix dit: AMHA, Baglioni est avantagé dans cette config. Sa stratégie est simple: faire un max de combats et s'il possède une cavalerie et une artillerie, il va engranger beaucoup de lauriers ce qui peut être trop déterminant par rapport aux autres joueurs qui n'auront pas beaucoup de lisibilités sur les villes victorieuses. Deuxième partie hier et je confirme... Si Baglioni parvient à cumuler Cavalerie + Artillerie, il va au combat plus facilement que les autres grace à son pouvoir (d'autant plus que la cavalerie lui donne pour un prix modique 2 points d'influence en plus à la 2ème et à la 3ème ère...) avec une force de frappe de +7 en deux tuiles qui lui garantira beaucoup de victoires sans forcer. Baglioni doit donc comme le préconisait Fafix jouer dernier dans toutes les configs afin que les autres joueurs puissent lui piquer les cavaleries (le meilleur corps d'armée pour ses capacités offensives et ses 2points d'influence offerts à chaque tour). On a donc un début un peu obligé qui est de piquer les cavaleries à Baglioni (de toute manière, on n'a pas grand chose de mieux à faire au premier tour). Je vais rectifier ma variante en stipulant que Baglioni doit jouer dernier dans toutes les configs.

    palferso

    17/04/2009

    [Princes of the Renaissance] Tuiles: trahison, action, Cesar[Princes of the Renaissance] Tuiles: trahison, action, Cesar
    Oui, oui, tu l'avais plastifié... Je suis en train de me faire une partie en solo pour voir....pas de nouvelles questions pour le moment....

    Le Zeptien

    18/03/2009

    [Liberté-Princes of the Renaissance] Les regles en FR ???[Liberté-Princes of the Renaissance] Les regles en FR ???
    Haa, galere, ton site etait un peu ma reference, mega boules :'( Si tu veux j'ai un provider en Italie qui propose dans les 24-29 euro an : Espace web illimité, nom domaine, email. Pour la doc de Renaissance, merci, j'ai recu ce matin. Mais si vous avez une version illustrée, je veux Pour Liberté, je devrais l'avoir ce soir, mais je ne l'ai pas encore. Merci et tous et surtout, repar ton site, j'adore Stef

    tt-0af1eeb68c01931...

    08/10/2008

    [Princes of the Renaissance] Mise[Princes of the Renaissance] Mise
    Ben étant le boulet hier soir c'est effectivement ce qui s'est passé Et on a aussi opté pour cette solution. Le boulet montre la somme d'argent qu'il a et l'enchère recommence sans le dit boulet

    tt-aaf118ebcd79bef...

    27/07/2005

    prince of the renaissance, précisionsprince of the renaissance, précisions
    attention tu as des bonus qui te permettes de payer 0...(si tu gagnes le condottière à 1 et que tu as un de réduction...)

    tt-559073ddac0e232...

    17/02/2004

    [Prince of renaissance]Des questions....[Prince of renaissance]Des questions....
    Bon, ben alors il me tarde de tester avec les vrais regles ! Ca doit etre bien une artillerie et un cavalerie , je me ferais bien une artillerie et un cavalerie , moi ...

    Drax

    09/12/2003

    PRINCES OF RENAISSANCE : LE PAPEPRINCES OF RENAISSANCE : LE PAPE
    deepdelver dit: J'ai testé Maka Bana, c'est assez quelconque. C'est un peu vrai

    loïc

    08/12/2003

    [Prince de la Renaissance] Defausse armée + Engagement[Prince de la Renaissance] Defausse armée + Engagement
    Je reste convaincu que ça puisse être utile à l'une ou l'autre occasion, et je donne un exemple: Tu as une tuile traitrise de guerre. Tu as beaucoup d'influence, ce qui te permet de raisonnablement penser emporter une des enchères en tant que condottierre, mais peut-être pas du côté que tu veux. Tu défausses une tuile fortification, puis tu déclenches une guerre entre une cité que tu veux favoriser et une autre cité que tu veux voir perdre du statut. Si tu ne peux (ou ne veux) prendre que le rôle du défenseur, tu minimises les risques de gagner le combat, ce que tu ne voudrais absolument pas...Et c'est d'autant plus intéressant que maintenant, tu es peut-être celui qui a la défense la plus faible entre tous les joueurs, ce qui permettra peut-être à la cité que tu veux voir gagner de s'élever de 2 cases statut, et l'inverse pour la cité que tu veux voir perdre...Et en plus tu prends du pognon ! Voilà, mais je suis certain qu'il y a d'autres exemples où cela peut être intéressant, bien que ça puisse sembler tiré par les cheveux.

    tt-7a6bd88c0cf4afd...

    12/11/2003