**B**onjour à toutes et à tous.
Nous parlerons ici de Parsely.
Commencer critique.
Faire critique constructive.
Être content de critique.
Utile.
Bref vous l’aurez compris Parsely est un jeu extrêmement simple où un joueur doit guider les autres afin de les mener à la réussite. Enfin non, il ne les guide pas, les joueurs choisissent leur commande et l’ordinateur (un maître du jeu) s’exécute. Que cela soit dit clairement, acheter le livret pour 6 euros ne vous servira en fait à rien si vous avez vu la TTTV sur ce jeu. Cela vous donnera juste 2 scénarios à jouer car les règles sont parfaitement inutiles. Ceci étant dit, disons clairement aussi : il faut acheter ce livret de jeu, ne serait-ce que pour le caresser (car oui, il faut caresser vos jeux de temps en temps pour qu’ils aient le poils bien soyeux) ou pour demander à vos joueurs à quoi leur fait penser le petit dessin sur la couverture.
**Prix**: On le trouve pour 6 euros, ce n’est pas cher du tout, mais bon en même temps, le contenu du livret est aussi assez pauvre. C’est à vous après d’inventer vos scénarios ou d’aller consulter ceux qui sont sur un site prévu à cet effet.
**Matériel** : Un petit livret de 16 pages très correct.
**Règles** : Simplissime. Tout le monde pourra y jouer et n’importe où. Ça, c’est bien.
**Difficulté**: Simplissime. Il suffit de savoir dire des mots comme « prendre », « aller » ou « princesse ».
**Durée** : Assez court. Un des problèmes du jeu c’est que ça peut devenir assez répétitif. Le joueur qui fait l’ordinateur doit être motivé car il faut répéter tout le temps les mêmes choses. Attention à l’extinction de voix.
**Rejouabilité** : On ne rejouera pas deux fois un même scénario avec les mêmes joueurs au risque de s’ennuyer. A l’heure actuelle, il y a une quinzaine de scénario jouable.
**En résumé** Parsely est un bon petit jeu très accessible et tout public qui pourra vous faire
passer de bons moments.
On ne pourra cependant pas en faire son jeu favori pour deux raisons. De un, c’est toujours un peu le même principe : aller quelque part, prendre un objet, aller autre part. De deux, une fois qu’un scénario a été fait on ne peut plus le refaire au risque de se lasser (ou alors le refaire dans 2 ans quand tout le monde a oublié), sauf en tant que maître du jeu. Mine de rien, ça limite bien le jeu. Notez aussi que quand on commence maître du jeu, on perd automatiquement le plaisir d’être joueur comme dans un jeu de rôle classique en somme. Pensez-y. Moi qui les ai presque tous fait en tant qu’ordinateur j’ai regretté parfois de n’avoir pas commencé en tant que joueur… Sur ces sages paroles, je ne dirais que deux mots, pour finir :
« Arrêter critique. »