Soit vous étiez le chasseur de vampire...soit Dracula!
NOTE : Autant j'ai pu adorer les livres dont vous êtes le héros, autant je trouve que ca a pris un coup de vieux.
Suis je un vieux con? :-p
La seule chose qui m'avait intéressé dans ce LDVELH est qu'on pouvait jouer l'aventure tantôt du côté de van helsing, tantôt du côté du conte... Le système de découverte d'information sur les lieux était sympa.
Un volume qui a certe quelques atouts (deux histoires en une) mais une fluidité et une difficulté trés mal gérées plombent le tout. Le chateau est trés petit et impossible à concevoir avec une géomètrie classique. Dommage! Le tout n'est pas catastrophique mais ce volume est plutôt à éviter. J'ai été obligé de passer outre de nombreux combats et décisions par jets de dés pour réussir à le terminer. C'est plutôt dommageable! Moi j'accroche pas!
La série horreur est une déception car elle fourmille de bonne idée : on peut jouer les deux antagonistes dans deux aventures séparées, l'idée d'avoir un lieu qu'on peut visiter dans n'importe quel ordre casse la linéarité, le personnage principal a des pouvoirs et alliés spécifiques.
Hélas la sauce ne prend pas , on tourne en rond, il y a peu de rebondissement, bref on s'ennuye.
Dommage...
Pétri de bonnes idées, ce livre vaut davantage pour les intentions que pour la réalisation finale. Première originalité, il laisse au lecteur-joueur la possibilité de choisir le personnage qu’il veut incarner : Harker, le chasseur de vampire, ou Dracula lui-même, le sinistre comte. Ce système incluant deux aventures en une, est en fait assez simple : les numéros de paragraphe pairs sont réservés à l’aventure du chasseur, les numéros impairs à celle de Dracula.
Cette originalité, finalement assez basique, n’est pas la seule ni la meilleure du livre. Ce dernier est surtout intéressant par son système de navigation, plus libre et plus inventif que dans un ldvelh classique. Le lecteur a la possibilité de se déplacer à sa guise, de revenir sur ses pas, d’explorer comme il le veut le château de Dracula. Les descriptifs des pièces et lieux à visiter se trouvent dans des paragraphes à part, que l’on peut consulter (mais qui n’apportent pas grand-chose, il faut bien le dire, à part un peu d’ambiance). De plus, il existe plusieurs passages secrets, qu’il faut avoir l’idée de chercher, car rien dans le livre n’indique leur présence.
Tout cela amène une interactivité un peu plus grande, un côté « jeu de rôle en solitaire », qui n’est pas pour me déplaire. Mais cela rend aussi l’aventure plus fouillie, plus bordélique, et on a parfois l’impression de tourner un peu en rond en repassant dans des lieux déjà explorés. L’histoire en elle-même n’a rien d’effrayant. C’est plutôt une promenade assez sympathique dans un grand château et son parc (car la majeure partie de l’aventure se déroule à l’extérieur) où l’on fait des rencontres et des découvertes parfois insolites, parfois utiles pour la suite, mais qui n’ont pas de quoi faire frémir. L’auteur a pris le parti de traiter le sujet de manière humoristique et décalé, plutôt que de créer une aventure vraiment angoissante qui aurait collé au thème. Bon, c’est un choix, ça se discute mais ça ne m’a pas trop dérangé.
La vraie limite de ce bouquin, c’est que, malgré les quelques bonnes idées et innovations apportées, l’histoire devient vite répétitive, sans frissons, et la grande difficulté est finalement de ne pas décrocher. On est loin, très loin, du *Manoir de l’Enfer*, chef d’œuvre du ldvelh à la sauce horreur, dans la série Défis fantastiques.
Les + :
Deux aventures en une ; un système de déplacement et d'exploration assez intéressant, qui renouvelle le genre ; une plus grande liberté laissée au joueur ; un style décalé et un peu humoristique assez sympa
Les - :
Les règles et le système de navigation rendent l'aventure un peu bordélique ; pas d'ambiance vraiment angoissante, comme on aurait pu l'attendre ; immersion dans le thème assez faible ; histoire répétitive, parfois lassante ; niveau de difficulté trop faible
Le château de Dracula ( à l'instar de Frankenstein le Maudit), avait quand même la particularité de pouvoir incarner à chaque fois soit le vampire, soit Harker, par conséquent la possibilité de refaire une fois l'histoire (enfin pour ceux qui en avait le courage !)
Je le trouve pas si nul que ça. Attention je ne dis pas qu'il est bien non plus mais j'aimais bien l'idée d'avoir deux histoires : une avec dracula, l'autre avec un chasseur de vampire. Il devait avoir un système de porte secrete dans celui là d'aprés mes souvenirs, bref il y a bien pire comme LDVELH que celui là.
L'idée de départ est sympa : dans un même lieu bien conçu que l'on peut visiter de fond en comble (le château de Dracula), on nous propose 2 aventures différentes selon que l'on joue le chasseur de vampires ou le vampire en question.
Si l'on joue le chasseur, l'ambiance est sombre avec tous les morts-vivants qui rôdent et tous les pièges tendus. Si l'on joue Dracula, il s'agit plutôt d'une chasse aux trésors car on doit retrouver plein d'objets éparpillées dans le château.
Mais dans les deux cas, le plaisir du jeu et de la lecture est gâché par les règles, catastrophiques. Bien trop lourdes, elles imposent de constants lancers de dés à chaque paragraphe parcouru. Les combats sont longs et meurtriers et les morts idiotes très nombreuses ; ça pourrit tout le livre.
Après, reste l'humour absurde de l'auteur qui tourne en dérision les poncifs de l'horreur. Cet aspect est sympa pour peu que l'on y soit réceptif.
James Herbert Brennan est un de mes auteurs préférés. Il sait mêler l'humour aux livres dont vous êtes le héros.
Néanmoins cette série en 2 volumes n'atteint pas la qualité des quêtes du graal.
Sur le papier l'idée était bonne: possibilité de jouer avec 2 personnages différents, et les descriptions des lieux visités figurent à un même endroit dans le livre.
Le problème c'est qu'en pratique on tourne beaucoup en rond et qu'on s'ennuie un peu..
Par le même auteur que le cycle **Loup Ardent** : donc pas un gage de qualité, loin de là ! Décevant, dans la mesure où il s'attaque à des références énormes du fantastique : Dracu, Frankie... Seule originalité : le choix d'incarner le Bien ou le Mal, le "chasseur" ou la "proie" (enfin, qui est vraiment le chasseur et qui est vraiment la proie ?).
et pourtant j'adore les Livres dont vous êtes le héros, la preuve ma bibliothèque en compte une cinquantaine! mais j'aborrhe l'humour British.
Celui-là est vraiment nul.
Vive le Roy (pas celui d'Angleterre!)