moi j'aime ce jeu qui est simple dans son approche mais qui nécessite de cogiter tout de même.
On lui reprochera le coté aléatoire des cartes Sphinx, mais comme tout aléatoire cela se gère.
le plateau est superbe. Evidemment il n'y a pas de version française et cela oblige à imprimer les cartes version française mais c'est un détail. J'hésitais un peu à acheter ce jeu à cause de cette note pas si bonne.
Et bien il faut franchir le pas ! Du tout bon qui ouvre avec facilité la porte de ce type de jeux à des jeux rebutés par des jeux plus complexes.
jeu de worker placement, où les "workers" sont les bateaux, en charge de récupérer à différents endroits du fleuve des cartes à effet permanent (une fois par tour) ou unique :
- des pierres taillées, utiles à la construction d'obélisques, de pyramides, et autres bibelots antiques
- de la nourriture, pour nourrir ces fainéants d'esclaves
- de la force de travail, pour construire encore plus de bibelots antiques
- des bonus divers et variés éparpillés tout le long du fleuve
il faut faire des choix, car on ne peut que descendre le Nil, avec nos 8 bateaux disponibles (d'où 8 actions maxi), et une case ne peut être occupée que par un seul bateau
>> par conséquent si on est pressé de se réserver une action spécifique qui est plus en aval du fleuve, on se prive de toutes les actions qui sont représentées en amont...
en cours de jeu il est assez difficile de prévoir qui va gagner, car les cartes sphinx que l'on a éventuellement récupérées demeurent secrètes jusqu'à la fin et comptabilisent des points de victoire significatifs si la condition est remplie (comme les cartes prestige dans *Les princes de Florence*)
c'est donc un joli jeu de gestion, agréable à jouer (sans être vraiment novateur), et assez tactique
D'aucuns diraient qu'il n'y a rien de nouveau côté mécanique si ce n'est l'interdiction de faire une pose de bateau en amont du dernier bateau posé.
Oui mais... justement ça change tout !
On serait tenté de croire qu'aller vite poser loin en aval nous enlève beaucoup trop de possibilités alors qu'en fait si on le fait à bon escient ce sont les autres qui vont devoir changer leur approche. S'ils trainent trop c'est vous qui avez le terrain libre pour faire votre marché sur les derniers emplacements.
Du coup le jeu est très vivant avec une interaction qui très stimulante.
J'ai été très agréablement surpris par l'équilibre général qui se dégage du jeu. C'est fluide et très bien ficelé.
Le tout pour une partie d'une heure et demi j'avoue que c'est du très bon.
Heureusement qu'un Ludopathe avisé a décidé de sortir au club ce jeu passé quasiment inaperçu en France !
Le jeu était joli, les commentaires plutôt bons, et pourtant que la partie fut longue !
Les règles sont assez rapidement assimilées, mais on se rend assez rapidement compte qu'une case est obligatoire si l'on ne veut pas finir dans les oubliettes du classement : la case Sphinx !
En fin de partie, le différentiel de points entre le joueur ayant pris (et choisi) des cartes sphinx et celui ayant négligé cette stratégie est tout simplement énorme ! Autant dire que tout le monde doit se ruer dessus. Ces cartes donnent en effet des points de victoire en fonction d'objectifs, donc plus tôt on les connait, plus tôt on peut adapter sa "stratégie" (stratégie entre guillemets car on peut tout à fait marquer 30 points de victoire grâce aux constructions réalisées par les adversaires :o )
On pourrait se dire : à la limite pourquoi pas ? Sauf que... chaque tour, un joueur est dans l'incapacité de jouer le sphinx... et comme l'ordre des tours est fixé par le classement, un joueur avec un bon départ pourrait être privé des cartes objectifs sur le reste de la partie. Quel est l'intérêt ?
Le jeu en devient à mes yeux assez médiocre, la stratégie ne résultant pas de choix, ou de placements intéressants, mais provenant majoritairement de l'ordre du tour et du hasard pur et simple.
Je ne sais pas trop ce que ça veut dire, mais j'ai vraiment aimé le jeu en tout cas. Déjà l'Egypte, depuis que j'étais gamin, je ne m'en lasse pas. Il y en a pourtant, des jeux sur l'Egypte. Avec la Mésopotamie, c'est le thème tarte à la crème de beaucoup de JDP pour les créateurs qui cherchent un thème un peu sexy pas prise de tête et joli à illustrer. Le plateau déjà, est réussi, dessiné à l'allemande, c'est à dire un peu enfantin pour un jeu qui lui, ne l'est pas du tout.
Le mécanisme n'est pas courant, puisqu'on choisit des possibilités de développement le long d'une ligne (le Nil) en se plaçant toujours en aval de son choix précédent. Ca déjà, c'est futé. En plus on ne peut construire qu'en trois endroits, donc grosse concurrence pour l'acquisition des précieux PVs. Il faut choisir entre se développer ou construire, tout en gérant finement la force de travail de ses ouvriers, la nourriture (!) qui dépend de la météo, et surtout l'approvisionnement en pierres. Le tout est fluide, agréable, on attend son tour avec impatience. Le parfait compromis entre ludisme et réflexion.
Si vous en avez assez de poser de petits bonhommes pour construire /récolter des trucs qui vous feront gagner des points, passez votre chemin ! Mais finalement la sauce prend vraiment bien et la tension et le plaisir de jeu sont vraiment bien là. La petite originalité du nil que l'on descend sans retour ajoute juste ce qu'il faut de fraîcheur !
Bon, le seul petit défaut vient peut-être du fort aléa des cartes sphinx (obfectifs, quoi) mais pour l'instant cela n'a pas gâché mes parties le moins du monde.
un énième jeu de placement d'ouvriers, une sorte de caylus light.
Bon, ça prend, c'est très bien conçu, on s'y croit, la grande astuce est cette descente du Nil en bateau, on ne pourra plus choisir une action une fois passé le lieu ; du coup une très bonne carte se présente vers le bas : si on la prend de suite, on perd les précédentes ; si on ne la prend pas de suite, quelqu'un d'autre sera intéressé ?
C'est la trouvaille de ce très bon jeu qui à part cela n'offre rien de bien nouveau. Sauf que le jeu est très bien réglé, plutôt réussi graphiquement et permet des petites crasses puisque toutes les cartes (à part celles du sphinx) sont visibles. Beaucoup de manière de marquer des points, il faudra soit se focaliser sur quelques points, soit au contraire essayer de tout faire "un peu" ; attention les cartes "Sphinx" sont essentielles car elles donnent des bonus puissants : c'est à la fois un plus et un moins du jeu ; le plus c'est l'intérêt d'essayer secrètement de réussir les objectifs définis et donc de "diriger" votre façon de jouer en conséquence, le moins est que la malchance peut jouer et vous pouvez sans le savoir faire réussir des contrats à vos adversaires, l'inverse n'étant pas toujours réalisé !
Enfin le jeu est en allemand, et pour les premières parties, il faut sans cesse vérifier les cartes, cela peut gêner, même si très rapidement, on comprend grâce aux pictogrammes l'ensemble des cartes.
Un très bon jeu sur des mécaniques mille fois rebattues, mais l'ensemble est cohérent et le jeu très agréable à jouer !
Excellent jeu de placement.
Il faut gerer ses ouvriers et leur force afin de les placer le long du Nil mais seulement de l'amont vers l'aval pour prendre du matériel, nourrir et construire des monuments.
4 phases seulement mais d'innombrables possibilités, on peux aussi bloquer les adversaires, bref c'est du tout bon a l'allemande certes, qui ne laisse aucune place au hasard mais il reste vraiement tres agréable...belle reussite !!
Egizia est beau, rapide et efficace.
Il n'est ce pendant pas original dans ses mécanismes puisque il reprend le système de pose d'ouvrier qu'a initié Caylus. L'originalité ICI c'est qu'il est impératif de suivre le Nil et de le descendre. Impossible de revenir en amont pour poser son bateau ce qui donne donc des choix cornéliens.
Dois je prendre l'emplacement que toute le monde convoite et renoncer à plein d'autres actions en amont du Nil ?
Les cartes sphinx (sorte d'objectif à la Prince de Florence en beaucoup plus simple à réaliser) semblent très puissantes, faire l'impasse est synonyme de défaite.
Si vous ne possédez pas un jeu à pose d'ouvrier / route, celui ci est tout à fait excellent.
Edit : Je passe ma note de 4 à 5 après une demies douzaine de parties.
Nombre de parties: 7, dont une en ligne.
Un grand jeu que ce Egizia.
Dans la lignée de l'âge de pierre, il propose pour une durée assez similaire de gérer au mieux ses priorités, en s'octroyant des cartes, en pensant à nourrir ses ouvriers et à les faire évoluer.
Bien entendu, il faudra construire aussi et récupérer assez de pierres sera une autre de vos priorités.
Le jeu est cependant plus exigeant que son homologue préhistorique, mais il procure tout autant de plaisir.
et comme la sensation ludique est différente, et les mécanismes assez lointains pour ne pas faire doublon non plus, on ne se privera pas d'avoir cette petite perle ludique à la maison.
Beau, bon, riche et pas inaccessible, Egizia réussi le carton plein. Bravo!
Egizia est un jeu de placement et de majorité qui reprend pas mal de mécaniques initiées par Caylus, mais qui a néanmoins le mérite d'apporter quelques nouveautés. Ainsi, lors du tour du placement des bateaux sur les cases le long du Nil, cases qui confèrent certaines actions, il y a une restriction qui oblige à poser chaque bateau en aval de ses bateaux précédents. L'idée de ne faire travailler qu'un ouvrier sur chaque site de construction est également bien vue, tout comme le fait de pouvoir associer à un des ses 3 ouvriers l'aide d'un ouvrier spécial.
Pour autant, Egizia n'est pas un jeu où on peut construire une réelle stratégie, le joueur fonctionne surtout par réaction, opportunisme. Les tours sont en outre assez répétitifs, même si les cartes et leur disposition le long du nil les renouvellent un peu. Surtout, le passage par le sphinx semble indispensable pour engranger beaucoup de points en fin de partie.
Egizia reste cependant un bon jeu, agréable et assez familial.
On retrouve les mécanismes des Piliers de la terre ou de l'Age de pierre, tout en étant un peu plus diversifié et donc plus complexe que ce dernier. Pour moi, il y a trop d'options ou de choix. En plus, on base sa stratégie ou ses choix de cartes bonus en fonction de ce que font ou vont faire les autres. Malheureusement, si vous avez mal deviné, c'est perdu ! Cela signifie qu'on ne maitrise pas tout.
En plus, je n'aime pas trop les jeux à tours limités, et dans ce cas, 5 tours c'est vraiment peu, même s'il y a plein de choses à faire. La conséquence est que si on se rate sur un coup, la partie est perdue. C'est encore plus navrant quand c'est le premier tour, on regarde alors les autres avancer en tête, sans trop d'espoir.
Attention, avis après 1 seule patie à 3 joueurs :
Très bonne première impression, pour ce énième jeu de pose d'ouvriers.
C'est classieux, bien huilé, avec des choix constants, en essayant notamment d'anticiper les coups qui intéressent vos adversaires et les cases qu'ils pourraient peut-être vous laisser...
Il y a les traditionnelles phases de nourrissage, de production et de construction, et 50 façons de marquer des points.
Bref, on est en terrain connu, mais Egizia arrive à dégager sa personnalité propre.
J'ai vraiment envie d'y rejouer mais je doute tout de même qu'il devienne un must incontournable.
En effet, il me semble qu'il sera bien difficile de dégager un semblant de stratégie sur le long terme, même en connaissant bien le jeu.
J'ai aussi peur que les parties se ressemblent un peu, le passage par le Sphinx me semblant inévitable par exemple. Mais bon, après une seule partie (3ème sur 3 d'ailleurs !...), je vais pas m'improviser Grand Statège d'Egizia ! J'ai envie d'y rejouer !
Après avoir entendu de bons echos sur ce jeu lors du salon d'Essen, il a bien fallu que je m'y intéresse lorsque l'occasion m'en fut donnée. Et autant le dire tout de suite, si je trouve ce jeu bon, je n'envisage pas pour autant de lui faire rejoindre ma ludothèque.
Thème : Aaahh, l'Egypte. La descente du Nil, les ouvriers en pagne sous le soleil, les pyramides. Ca fait rêver... Enfin, ça fait rêver les autres, surtout. Parce que moi, les thèmes egyptiens, c'est le gros bof, fait trop chaud pour moi là-bas.
Matériel : On est dans le grand classique d'aujourd'hui. Plateau joliment illustré, quelques jetons en carton et des pions en bois qui auraient pu aussi bien être des cubes mais ont eu le bon goût de prendre une forme un peu différente, ce qui n'y change cependant pas grand chose... Le style graphique utilisé et les couleurs fondent littéralement ce jeu dans l'ensemble de la production actuelle...
Mécanismes : Egizia est un jeu de *placement d'ouvriers*, genre abusivement surexploité depuis que Caylus en a lancé la mode. Ici les ouvriers sont des bateaux qui occupent des places le long du Nil, et c'est là que l'on a un petit peu d'originalité : ils doivent être placés dans un certain ordre : du haut du fleuve vers la mer. Comprenez par là que si une action vous intéresse particulièrement, vous pouvez vous jeter dessus, mais vous vous limitez alors de façon importante dans le nombre d'actions que vous effectuerez alors dans le tour puisque vous ne pourrez pas remonter au-dessus de votre nouvelle position. A l'inverse si vous attendez trop pour profiter des actions situées au-dessus, alors vous prenez le risque qu'un autre joueur ne prenne avant vous cette action qui vous est si chère. C'est simple et malin.
Le décompte des points : On en marque à plein d'endroits. Trop d'endroits : ça aussi c'est très à la mode. On en marque tellement partout que finalement on en aura quasimment quoiqu'on fasse. Tout au plus les cartes bonus que l'on peut obtenir au sphinx en font-elles gagner plus si on a un tout petit peu de chance.
En conclusion, ne boudons pas notre plaisir. Egizia est plaisant à jouer, et bien équilibré en complexité comme en durée (comparables à Yspahan par exemple). Mais en dehors de cela, on reste dans le déjà vu. C'est juste un nouveau titre pour renouveler ce que l'on pose sur la table, mais on conserve les sensations et le gameplay que l'on a déjà pu obtenir à de nombreuses reprises ces dernières années. Dans le style "rien de neuf mais ça tourne bien" je préfère très largement le dépaysement différent de Diamonds Club dont le matériel présente une identité bien plus marquée.
Excellent jeu, les règles sont assez riches et demandent un (ou deux) tours de jeu pour bien cerner le mécanisme.
8 bateaux maximum à poser pour déterminer les actions que l'on fera ce tour :
- Rive droite du nil les champs (pour développer la force des travailleurs) et les constructions (pour faire travailler, ben les travailleurs)
- Rive gauche les cartes de nourriture (plus les travailleurs sont forts, plus ils sont affamés), de production de pierres, et de bonus divers et variés.
La participation aux constructions est récompensée en points de victoire, et les cartes objectifs du sphinx apportent des points de victoires supplémentaires si les objectifs sont réalisés (pas de malus sinon). Et cet élément est déterminant à la fin du jeu (5 tours). Il faut savoir que le dernier au début du tour 5 a remporté la partie au final.
Très bon jeu, mais difficile de construire sa victoire.
un très bon jeu de placement, des actions à effectuer (construction de pyramide), vos ouvriers à booster, récupérer de la nourriture, des pierres (votre "force" de construction) des objectifs différents à récupérer au fur et à mesure de la partie, qui permettront de gagner des points de victoire...
bref, c'est riche, c'est dense (trop pour des joueurs néophytes!)... les cartes spéciales sont très diversifiées et certaines sont très fortes.
alors pourquoi ce 4/5? parce que le jeu étant en allemand et qu'il y a pas mal de texte sur les cartes spéciales et d'objectif, on passe donc pas mal de temps le nez dans la traduction...
Un jeu de gestion pas trop lourd, ou il faut à la fois bien réfléchir mais sans avoir à se faire des gros nœuds au cerveau. Cela se traduit par des tours de jeu tendu mais rapide. Pour moi c'est un gros plus par rapport aux gros jeux de gestion classiques, à l'allemande, ou chacun doit optimiser jusqu'au derniers de ses sous et de ses ressources, à chaque phase et du coup on attend son tour un quart d'heure.
Ici le jeu n'est pas trop long. Le mécanisme est vraiment bien fichu et les choix de placement à faire sont tendus à souhait. Il y a pas mal de manière de scorer des points de victoires.
En résumé un jeu complet, riche et pas trop complexe, un jeu ou je me régale.
Voila un jeu dont j'étais passé à coté à Essen car trop de textes et aucune règle en francais qui expliquait son fonctionnement.
Donc un ami qui comprend l'allemand et qui nous a fait une belle aide jeu nous a fait découvrir ce superbe jeu.
Une règle limpide comme une eau de source, un matos simple mais agréable comme un bon pain, une petite préparation de 20 min et vous deguster un plat connu mais au combien délicieux.
Pour moi Egizia est la recette idéale d'un bon jeu, on voit que les auteurs ont piocher un peu partout pour faire leur jeu, ils ont trouvé un moyen pour que chaque joueur arrive a prendre des points un peu partout sans jamais etre vraiment distancé. Tout le monde reste dans la course malgré les choix difficiles mais rapide pendant les 5 tours du jeu.
On ressort du jeu avec une envie d'en remanger très vite surtout s'il sort à la Sauce Française.
Ps: je remet encore la pression sur Sophie et son équipe pour nous en faire une version bien francophone....
En attendant c'est l'un de mes jeux préférés d'Essen 2009 avec Vasco De Gama
Pas forcément attendu, ce jeu a été mon plaisir ludique sur cet Essen 2009, à tel point que je l'ai acheté en v.o.
Le jeu se déroule en 5 manches et il faudra avoir le plus de points à l'allemande.
Tout d'abord le matériel, fidèle à l'éditeur HIG., un plateau pastel au graphisme très agréable, des cartes petit format, des bateaux et des ressources au couleur des joueurs et un plateau individuel.
Coté jeu, voici les différentes phases :
- On place nos pions en descendant le nil en se plaçant sur des emplacement du plateau ou sur des cartes bonus aléatoires. L'idée sera alors soit de muscler ses esclaves, de cultiver des champs pour nourrir ses hommes, de se placer sur des chantiers pour construire des monuments, de diminuer ses pénalités en cas de manque de nourriture, d'obtenir des faveurs sur la carrière, avoir des cartes bonus etc..
- On nourrit ensuite ses troupes et on récolte ses pierres.
- on construit selon son placement dans les chantiers et on obtient d'éventuels bonus.
- on définit le nouveau tour dans l'ordre décroissant du score.
Et à la derniere manche, on dévoile en plus les cartes bonus obtenus lors des constructions et donnant des points finaux selon des objectifs secrets.
Voilà en gros la mécanique. Le tout a des faux-airs d'un age de pierre ou d'un caylus mais parfaitement fluide et plaisant à jouer. J'ai trouvé çà fin, subtil, les possibilités stratégiques sont nombreuses et la thématique n'est pas surfaite.
Je vais vite avoir envie d'y rejouer