search
S'inscrire
Boîte du jeu : Drako - Starter

Drako - Starter

settings
brush
home_workPeoleo
local_shippingPeoleo
Nombre de joueurs :1-2
Age :11 ans et +
Durée de partie :20 min
Langues :Français
    0
    Un jeu de cartes à collectionner en réalité augmentée. Le jeu comporte plusieurs aspects. Pour faire simple on peut distinguer la partie jeu de plateau de la partie jeu de cartes. Partie jeu de plateau Dans la partie jeu de plateau qu’est-ce qu’on a ? Une carte à jouer qui représente notre Drako (une sorte de chimère… Il y aura 3 classes au lancement du jeu, au total 6 classes sont prévues pour l’année 2012 : un Drako lion style « paladin – clerc » / un Drako gorille façon « guerrier » / un Drako caméléon qui privilégie les feintes de frappe et la défausse de cartes). Le Drako est le personnage combattant (le combat est fini lorsque sa vie tombe à zéro). Il combat dans « l’arène » : toute surface plane sur laquelle repose un PC connecté à internet et une webcam fait l’affaire. Il peut s’agir d’un petit bureau avec l’ordinateur dessus : l’arène est de toute façon limitée en taille par le champ de la caméra. On peut donc décrire cette partie du jeu comme un « Monster Battle PvP » avec les créatures des deux joueurs qui combattent dans une arène. Donc lors d’une partie lambda j’ai devant moi : -Mon bout de table (qui sert d’arène) -Ma carte Drako (posée quelque part dans l’arène = le champ de la caméra) -Mon écran et ma webcam (inclinée vers la table qu’elle transforme en arène) …et à l’écran je vois : -mon bout de table avec moi au bout. -ma carte et son Drako dessus (une créature animée en 3D, qui se gratte l’oreille, remue la queue etc. en attendant de trouver mieux à faire – à noter que le programme prend en compte l’éclairage pour orienter l’ombre du Drako et X autres paramètres pour faire en sorte qu’il s’intègre le plus naturellement possible au décor). -ET le Drako de mon adversaire… positionné face au mien en début de partie : les deux créatures se jaugent l’une l’autre, prêtes à en découdre. -ET ENCORE : un tas d’informations utiles : barre de vie, points de mana, etc. Nous y reviendrons plus tard. Une fois que le combat commence : les Drakos se jettent l’un sur l’autre… ou pas. En fait, chaque mouvement a son importance. Sauf cas particulier, les Drakos sont invités à se déplacer une fois par tour. À l’écran et au début de leur tour, des cercles concentriques apparaissent pour illustrer leurs possibilités de déplacement (déplacement plus ou moins cher en fonction du nombre de cercles franchis). Or, chacun de leur déplacement à ses conséquences. Selon la manière dont les Drakos s’orientent, la distance qu’ils parcourent, l’angle d’attaque qu’ils choisissent (s’il y a attaque) différents bonus et malus s’enclenchent. Selon les mouvements de l’adversaire au tour précédent, les options de mouvement du Drako dont le tour commence ne sont donc pas les mêmes (afin d’éviter un phénomène de répétition). On peut aussi imaginer que des séquences de mouvement particulières puissent déclencher des bonus spéciaux (combo/katas). À ajouter à cela, chaque Drako possède une attaque courte portée et une attaque longue portée (puissante mais pas toujours disponible) qui implique, encore une fois, de se positionner en connaissance de cause. À prendre en compte aussi le fait qu’au début de chaque tour, des sphères de mana apparaissent au hasard de l’arène (= de la table) et qu’elles peuvent conduire à des choix stratégiques difficiles : le joueur préfère-t-il renforcer son stock de mana (le mana permet tout à la fois de payer les coûts de déplacement, les attaques et le coût des cartes) au risque de ne pas pouvoir attaquer ? Chaque type de Drako ayant ses propres capacités spéciales, l’enjeu du placement est véritable, au cours du jeu, et les stratégies variables d’un adversaire à un autre : selon la classe du drako joué et selon le style de jeu du dragonnier (= le joueur). Ceci dit… tout cela n’est pas si compliqué puisque les paramètres sont gérés par l’ordinateur : un joueur débutant peut déplacer son Drako n’importe où et attaquer n’importe comment sans avoir besoin de calculer les tenants et les aboutissants de son mouvement. Partie jeu de cartes On joue avec un deck de 40 cartes, 7 cartes en main maximum. Les cartes ont un coût de mana, on peut jouer autant de cartes qu’on veut par tour tant qu’on peut en payer le prix. On collecte du mana soit dans l’arène (comme décrit plus haut) soit en se défaussant d’une carte en fin de tour. On gagne de plus, automatiquement, un certain nombre de points de mana au début de chaque nouveau tour. Il y a plusieurs types de cartes : des sortilèges (attaques directes, bonus instantanés), les cartes qui déclenchent l’attaque longue portée du Drako (qu’on appelle la « furie), des équipements pour booster les compétences du Drako (arme, armure, tactique, furie), des cartes « amélioration d’équipement » pour booster les équipements qui boostent les compétences du Drako… (chaque carte équipement ayant plusieurs niveaux), des cartes « interruptions » qui sont jouées comme des « contre » et peuvent en plus interrompre le tour de l’adversaire… À l’écran, dès que j’abats une carte, mon Drako réagit en fonction : on peut crier tout haut « par la furie de Diudgkjdsb !! » (si son Drako s’appelle Diudgkjdsb ) balancer la carte et boum : le Drako crache immédiatement le feu en réaction (tous les Drakos ne crachent pas du feu ceci dit : chacun a sa propre animation). Grâce au DRAKO-ENGINE, la reconnaissance des cartes est instantanée, le jeu est super fluide (pas besoin d’orienter la carte de manière particulière : elle est reconnue dès qu’elle entre dans le champ de la caméra). Ce qui est intéressant dans la partie « cartes », c’est surtout la gestion des decks. Tout est sécurisé : notre programme sait quelles cartes sont dans le deck de chaque joueur et dans quel ordre elles vont sortir : en début de partie chaque joueur mélange son deck devant la caméra en suivant les indications du programme (coupe ton jeu à gauche, coupe à droite, etc) pour garantir qu’il n’y ait pas de triche. En revanche, il sera possible en jouant sur ordinateur, de connaître à l’avance les cartes qui vont sortir (rien n’empêche au joueur d’ouvrir son deck et de le regarder). C’est ce qu’on appelle le « mode libre ». On envisage trois modes a priori : le mode libre (via internet), le mode fermé (le joueur ne sait pas quelle carte va sortir) le mode tactique (le joueur sait quelles sont les trois prochaines cartes à venir – applicable en tournoi). Parce qu’il sera bien sûr possible de jouer à Drako sans ordinateur ni caméra, même s’il est certain que la réalité augmentée ajoute au fun du jeu et facilite le décompte des points de vie, mana, et la gestion des déplacements : tout est géré automatiquement à l’écran ou les infos de bases sont clairement affichées, d’autres infos plus tactiques étant accessibles en un seul clic. Quid si je photocopie des cartes ? Pourrais-je jouer avec ? Eh bien non, ce ne sera pas possible car nos cartes seront distribuées en circuit fermé : achat sur internet et livraison à domicile. Ça n’empêchera pas au joueur de les échanger ! Mais il devra déclarer cet échange..

    Les avis

      publications

      autres sujets

      Drako : Le jeu de cartes à collectionner en réalité augmentéeDrako : Le jeu de cartes à collectionner en réalité augmentée
      @Xavier2 je en suis pas défenseur de la RA mais je ne vois pas en quoi ton imagination serait plus bridée par la RA que par une image 2D imprimée sur la carte... Le jeu en mode texte, c'est ça le secret :D

      Atanaheim

      08/07/2011