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Boîte du jeu : Delphi

Delphi

settingsGünter Burkhardt
brush
home_workHeidelberger Spieleverlag, Nürnberger Spielkarten Verlag
local_shippingHeidelberger Spieleverlag
Nombre de joueurs :3-4
Age :10 ans et +
Durée de partie :30 min
Langues :Français
    4,2
    431 avant JC, la guerre du Pélonnèse éclate. En 431 av JC, la guerre du Péloponnèse éclate. Pendant 30 ans, Athènes, Sparte, Corinthe et Thèbes vont s’entre-déchirer. A la tête d’une de ces Cités, vous allez devoir gérer vos Guerriers, vos Héros et savoir en appeler aux Dieux pour pouvoir remporter la victoire finale. La guerre sera longue et seule la Pythie en connaît son dénouement. Préparation Les 9 cartes Oracles sont mélangées et forment une pile face cachée. On pose de côté les 3 cartes Parade. Chaque joueur prend les 25 cartes d’une Cité et garde la carte Passe en main puis mélange les 24 autres pour former une pile face cachée devant lui. Déroulement de la partie Une partie se déroule en 3 Parades. Au début de chaque Parade, on pose au centre de la table la carte Parade correspondante (d’abord la 1, puis la 2 et la 3) face visible : celle-ci indiquera les points de victoires gagnés à la fin de chaque Marche (1ère ligne : 1ère Marche ; 2ème ligne = 2ème Marche…). De plus chaque joueur pioche 8 cartes de sa pile qu’il ajoute à sa carte Passe déjà en main : il ne pourra piocher 8 nouvelles cartes qu’au début de la Parade suivante qu’il ajoutera aux cartes restantes de la Parade précédente. Une Parade se divise en 3 Marches. Pour commencer une Marche, chaque joueur choisit une de ses cartes et la pose face cachée devant lui. Toutes les cartes jouées sont révélées simultanément. Le joueur ayant l’étalage le plus faible doit décider entre se retirer de la Marche (et donc écarter son étalage du jeu) ou jouer suffisamment de cartes pour ne plus être le joueur le plus faible. Dans les 2 cas, le joueur alors le plus faible doit faire de même et décider entre jouer des cartes pour ne plus être dernier où se retirer. Si plusieurs joueurs sont égalité dernier, ils jouent chacun une carte face cachées qu’ils révèlent simultanément. La Marche continue ainsi jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un seul joueur en lice : celui-ci est le vainqueur de la Marche et l’in distribue les points de victoire comme indiqué sur la ligne correspondante de la carte Parade : - le joueur s’étant retiré en 1er prend le malus indiqué en 1er dans la ligne. - L’avant dernier joueur en lice reçoit la 2ème valeur. - Le dernier joueur en lice reçoit la 3ème valeur. - A 4 joueurs, le 2ème à se retirer ne gagne ni ne prend rien. La carte Passe jouée face cachée signifie que l’on se retire. Si plusieurs joueurs se retirent en même temps, chaque joueur considère qu’il est le seul à se retirer (ex : si les 2 derniers joueurs se retirent simultanément, ils gagnent chacun le bonus de l’avant-dernier). Les scores sont notés et toutes les cartes jouées durant la Marche sont écartées du jeu, sauf la carte Passe que l’on reprend toujours en main. Après 3 Parades, le joueur avec le plus grand nombre de points de victoire est le vainqueur. L’étalage L’étalage est constitué par l’ensemble de cartes jouées par un joueur durant une Marche. Elles sont posées en ligne de gauche à droite, toutes visibles, au fur et à mesure de leur apparition. Leur ordre ne peut être changé et une carte écartée ne peut être remplacée : le trou laissé est comblé en rapprochant les cartes se trouvant à droite et à gauche. Même les Dieux et les Oracles restent dans l’étalage. La valeur de son étalage est la somme de ses Guerriers et de ses Héros avec une exception : 2 Guerriers identiques posés l’un à côté de l’autre vient leur valeur se multiplier entre elles (ex : 2 Guerriers 4 côte à côte comptent comme une Guerrier de valeur 16) et ne comptent plus que pour un seul Guerrier pour les Dieux suivants : - Apollon « x2 » : Double la valeur du Guerrier/Héros le jouxtant à sa gauche. - Arès « x² » : Multiplie par elle-même la valeur du Guerrier/Héros le jouxtant à sa gauche. - Héphaïstos « x » : Multiplie la valeur du Guerrier/Héros le jouxtant à sa gauche par celui le jouxtant à sa droite. Ces Dieux et les cartes influencées par elles forment un tout considéré comme un seul Guerrier/Héros, et donc pouvant être à nouveau influencé par un autre Dieu (ex : le groupe 4 Héphaïstos « x » 5 suivant de Ares « x² » vaut (4x5)² soit 400 !). Si ces Dieux ne jouxtent par de Guerriers/Héros, ils sont sans effets. - Neptune « ½ » : Chaque joueur adverse voie la valeur de leur échange divisée par 2 (jusqu’à la fin de la Marche). Si plusieurs joueurs jouent Neptune, on ne divise pas par 4 ou 8 mais par contre tous les joueurs voient leur score divisé par 2. - Hades : Toutes les cartes Achille présentent dans les étalages (même le sien) sont écartées du jeu. Les cartes Achille qui apparaissent après Hades ne sont pas concernées. - Moires : Comme Hades mais pour les cartes Prométheus. - Héra : Comme Hades mais pour les cartes Heraklès. - Zeus : Permet d’écarter la carte de son choix de l’étalage de son choix (même du sien). - Oracle : Permet de piocher une carte Oracle et de la lire à haute voix à tous les joueurs. Si cet Oracle ne plaît pas au joueur l’ayant tirée, il peut la glisser sous la pile Oracle et piocher un nouvel Oracle qu’il est, cette fois, obligé de suivre. Si plusieurs joueurs jouent un Oracle en même temps, l’ordre de piochage est : Athènes, Thèbes, Corinthe et Sparte. Une fois pris en compte, un Oracle est écarté du jeu. Fin de partie Le joueur ayant le plus grand score à l’issue des 3 Parades est déclaré « Fort comme un Grec »…

    Les avis

    • boîte du jeu : DelphiDelphi : un peu d'anticipation et beaucoup de stratégie ! comme j'aime.
      Un jeu qui malheureusement n'est plus édité !

      tt-a92edbc79d49718...

      18/09/2007

      10
    • boîte du jeu : DelphiDelphi : Oracle, ô désespoir ?
      Assez simple, assez rapide, explicable en 2 minutes. Du bluff, de la psychologie et des péripéties. Son petit défaut structurel: de la poilade façon mathématicien allemand. Difficile dans ses conditions d'entraîner dans le délire le gros des troupes non-joueurs... et non-mathématiciens. J'exagère à peine. Mais oubliez ces petits signes qui font peur et plongez-vous pour quelques minutes dans l'allégresse antique. Quelques petits réglages supplémentaires en auraient sûrement fait un très très bon jeu. On peut regretter un manque de cartes de soldats simples: quelques unes seulement. Il n'est pas rare de se retrouver fort démuni à la 3e parade. Ou alors, il y a trop de cartes de contre... La pioche aléatoire fait penché *Delphi* du côté des jeux trop chaotiques. Ça, on peut y remédier en choisissant ses cartes; mieux, en faisant une pioche semi-aléatoire: 4 cartes choisies, 4 au hasard. Il a manifestement inspiré *Iliade*, et pas seulement pour l'univers...

      Joker75

      29/01/2007

      6
    • boîte du jeu : DelphiDelphi : Un must... pour Rain Man !
      Les cartes à texte sont traduites en 3 langues, anglais, français et allemand. Pis, pour le positif, ben c'est tout. Ceux qui trouvait pénible de compter sans cesse à Camelot, là, ils vont se pendre au 2ème tour, c'est sûr. Il n'y a aucun rapport entre le jeux et le thème, et pour y trouver un intérêt, faut jouer entre profs d'algèbre. Faut pas abuser ! Autant Thor et Korsar sont excellents, autant Delphi, c'est 9€ de perdu. Hein, quoi, un bug dans Delphi ? :)

      mickey.bar

      23/11/2005

      2
    • boîte du jeu : DelphiDelphi : Vas y attaque
      Bon il est vrai que ce jeu n'est pas LE jeu de l'année, ni de la décennie. Mais avec des règles basiques il permet de passer un petit moment de 3 à 4. En attendant les joueurs retardataires pour se lancer dans un jeu plus ...

      tt-b0b161ad82bfad9...

      14/11/2005

      6
    • boîte du jeu : DelphiDelphi : 9x2 + (5x5)² = ?
      Qu'on se le dise, Delphi est un jeu de calcul. Oui, du calcul comme 1 + 1 = 2, pas du calcul du genre : si je joue ça, mon adversaire va jouer ça et je pourrais contre-attaquer en jouant ça. Si vous acceptez de compter un peu, vous pouvez vous lancer dans ce jeu. Mais comment qu'on compte notre étalage ? Et bien sa valeur est la somme de ses Guerriers et de ses Héros avec une exception : 2 Guerriers identiques posés l'un à côté de l'autre voient leurs valeurs se multiplier entre elles. Ainsi un étalage de 2 ; 5 ; 5 vaut 2 + 5 x 5 = 27 points. Ajoutez à cela la possibilité de jouer des cartes Dieux (genre, on double le total, on élève au carré la carte précédente ou on divise par deux l'étalage d'un autre joueur) et vous avez un aperçu du jeu. Bon comme vous l'avez compris Delphi est un jeu de calcul. La chance est assez présente car on doit se débrouiller pour les 3 Manches avec notre tirage initial de 8 cartes. Du coup le jeu est un peu trop hasardeux pour du calcul. Mon avis est mitigé. Celà reste bon pour faire travailler les priorités opératoires à mes élèves (oui je suis prof de maths) ! Un ovni à essayer avant d’acheter !

      _Gg

      08/12/2004

      6
    • boîte du jeu : DelphiDelphi : Trop mathématique
      Quand je sors un jeu, c'est généralement pour me détendre, ou faire travailler mes neurones, passer un agréable moment avec des amis, ou tout simplement m'amuser. A part calculer ce qu'il y a sur la table et dans la main, j'ai rien fait d'autre durant la partie. Trop mathématique pour pas grand chose en définitive.

      Gorthyn

      14/12/2003

      2
    • boîte du jeu : DelphiDelphi : Delphi, c'est fini
      Ma première partie à trois joueurs n'étaient pas déjà pas bien terrible et nous nous étions dis que cela devait surement venir de la table des score qui nécessite de vraiment jouer à 4. Ma seconde partie à 4 joueurs n'a fait que confirmer ma déception. Une sorte de mélange de pétanque (pour le mécanisme du joueur le plus éloigné qui continue de jouer tant qu'il est dernier) et de calcul mental. Le problème c'est que cela ne fonctionne pas : - trop de hasard (surtout avec les Oracles qui chamboulle totalement le jeu). - trop de hasard dans la pioche des cartes qui ne permet pas de monter une stratégie. Autant Korsar m'a totalement bluffé par la mécanique diablement efficace, autant mon exemplaire de Delphi finira au placard.

      tt-b07fc89178e8bd2...

      10/11/2003

      2
    • boîte du jeu : DelphiDelphi : Un jeu qui n’est pas Delphi-ni…
      Oh que je partage le désarroi de l’avis de Smokan ! Ce jeu est difficile à saisir dans un premier temps : la traduction est comment dire… absconse ! La résolution des égalités est plus que laborieuse… Il est en effet écrit dans la règle : « Si plusieurs joueurs sont égalité dernier, ils jouent chacun une carte face cachée qu’ils révèlent simultanément ». Mais comment faire lorsque les deux joueurs n’ont que des cartes Dieux et Oracle en main ? Comment arriver à les départager ? La seule petite étincelle dans ce jeu réside dans la gestion de ses cartes Guerriers/Héros : il faut en effet en garder suffisamment (et même ses meilleurs comme Zeux, Oracle…) pour la dernière Parade afin de pouvoir gagner plus de points que les autres… Sinon, je suis d’accord avec Smokan lorsqu’il affirme que le jeu se résume à une trituration de l’esprit au calcul mental… C’est donc un jeu vraiment bof bof qui aurait pu être bcq mieux s’il n’avait été plus travaillé. Rémy-lee

      Rémy-lee

      11/08/2003

      2
    • boîte du jeu : DelphiDelphi : Au secours!!!!
      Alors là, je suis halluciné par ce jeu. Alors que les deux autres de la série sont vraiment bien (Korsar et Thor) , celui-ci est d'une nullité déconcertante. Le jeu se passe en trois manches comportant chacune trois tours. Tout les joueurs possèdent une main de huit cartes à chaque tour. Chacun pose donc simultanément une carte valant de 1 à 10, puis le plus faible d'entre tous doit surenchérir ou se prendre un score négatif... Le truc, c'est que les cartes en question se multiplie entre-elles lorsque elles ont la même valeur et peuvent être agrémentées d'autres multiplicateurs… Et au final, on obtient ce genre de calcul : j'ai mis un 9 et un autre 9 ce qui me fait 81, multiplié par 7 le tout au carré et multiplié par 5x5 !!!! Harggg... Ce jeu on dirait un jeu d'initiation au mathématique : vous savez ce genre de jeu qu'on vous donne le premier jour de classe en 6eme pour vous faire croire que les maths, c'est sympa... Je ne parle même pas du thème qui est inexistant. En résumé, un jeu à fuir!!!!

      tt-071581bdc4503e6...

      14/06/2003

      2
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    le message ci dessus est de moi david lefebvre

    tt-17fbab97bb80b75...

    24/04/2003