Vin d'jeu: si l'avis complet de De Vulgari Eloquentia sur Vin d'jeu vous intéresse, c'est par là: <https://www.vindjeu.eu/2019/09/30/de-vulgari-eloquentia-deluxe-version/>
Vu qu'il y a des votes pour j'aime ou j'aime pas les commentaires et que je n'adhère pas à un tel système, je ne me prend plus la tête à commenter ou à noter.
Le jeu c'est j'aime ou j'aime pas.
Donc j'aime De Vulgari eloquentia.
EDIT: Ma petite provoc (certes inutile mais qui me fait rire) a révélé 2 ou 3 tric traciens toujours bloqué au Moyen Âge. De l'éloquence en langue binaire des J'aime ou J'aime Pas.
En tout cas, De vulgari eloquentia, même si la mécanique n'est pas révolutionnaire, est un excellent jeu. Certains risquent de ne pas aimer les graphismes et les icônes mais après quelques parties tout va bien.
Cet avis pour contrebalancer l'avis précédent qui m'a un peu hérissé le poil de l'avant bras...
Et oui, dans un monde du vite déballé, vite joué, vite oublié, dans un monde où l'on poste un avis après une seule partie sans avoir compris le jeu et donc qu'on le fusille d'un injuste 1/10 blasphématoire... J'avoue vivre dans une parfaite incompréhension...
Certains jeux demandent un tant soit peu d'investissement, de temps pour les appréhender, et c'est alors qu'on découvre leur richesse et leur sainte jubilation ludique... Mais non, ici, si le plaisir n'est pas immédiat, l'orgasme assuré, l'ère du satisfait ou remboursé, du fast food du vite consommé, le jeu fini aux oubliettes, lynché par le profane...
De vulgari eloquentia est l'un de ces jeux, qu'on apprend à aimer...
C'est un peu comme si on foutait une guitare dans les mains d'un débutant et qui capte rien au manche et aux cordes, et qui sait pas bouger ses doigts dessus parce que tu sais, c'est dur... et puis qu'il te balance, laisse tomber, la guitare c'est nul...
Pour moi qui suis fan de Moyen Âge et de tout ce qui touche à la chrétienté, ce jeu est un must !On est un peu effrayé à la première lecture des règles, mais au final rien que de très compliqué - juste énormément de possibilités d'une part, et plein de petits trucs à ne pas oublier en cours de route de l'autre...Pour résumer, un thème très original, immersif, et un mécanisme qui tourne comme du papier à musique.Vraiment de la belle ouvrage !
Je tiens à préciser que je n'ai fait qu'une seule partie tant les règles étaient rebutantes avant de commencer l'aventure...
Ce jeu est ignoble .. les règles sont d'un compliqués en plus d'être mal traduites. (Oui, sur quelques points de règles, il y a des contradictions).
On débute sans trop savoir ou aller, quoi faire, tellement il y a de pistes sur lesquelles jouer. Pour les persévérents, le problème s'efface mais bon, encore faut-il donner l'envie de voir une partie de plus (dans mon ca,s partie à 5, verdict unanime)
On se retrouve à piocher dans les règles pour chacune des pistes ou l'on veut placer un pion (...)
Il n'y a aucun fun, on ne peut pas embêter ses adversaires (ou alors personne n'a saisi comment ....)
Le plateau est terne au passage, ça ne donne pas envie.
Points positifs:
Absence de hasard.
Durée de vie énorme (dommage que la moitié doit se faire lors de l'aprentissage)
C'est le genre de jeu qu'il faut jouer deux ou trois fois pour piger comment gagner ; il y a plein de règles avec des conditions pour l'exécution des actions auxquelles il faut bien prêter attention si on veut éviter de se faire bananer. Il faut traverser l'Italie pour ramasser des points de savoir, ce qui permet ensuite de prendre des parchemins de valeurs de plus en plus élevée. Il faut également ramasser de l'or pour voyager plus vite et pour acheter les voix des électeurs ; il faut aussi être placer au bon endroit au bon moment pour collecter des petites tuiles de bonus ou pou initier des cantiques du soleil. Il faut être calculateur et aussi savoir saisir les opportunités. Le jeu est bon à trois ou à quatre joueurs; Il a le défaut d'être un peu long.
Bon jeu, le système des actions est agréable, certains mécanismes comme le repos sont très intéressants et le jeu est bien pensé certes mais il
contient de si nombreuses façons de marquer des points
ou de récupérer de la connaissance pour récupérer des livres pour récupérer des points
ou de récupérer des cubes pour les convertir en vote pour pouvoir récupérer des points ou pour devenir pape
mais sinon si on reste marchand et qu'au 11e tour on se trouve à Florence on peut aussi appeler le messager de Bologne pour récupérer des cubes afin d'aller à la bibliothèque du Vatican mais pas avant le 10e tour.
une sauce bien lourde pleine de condiments, épices et autres ingrédients de bonnes qualités, mais à la fin le plat est plutôt sans saveur et un peu lourd et limite prétentieux.
Comme en cuisine, avoir de bons ingrédients c'est important mais cela ne suffit pas à avoir un bon plat.
et pour continuer dans les poncifs (pour le pape), je dirais que le plus est l’ennemi du mieux !
ce jeu radote encore et encore sur les milles manières obscures pour faire des points, c'est lisse, fade et terne autour de la table
PS : pour une jeu sur une langue, il est dommage que la règle soit si mal écrite
Un jeu de gestion portant sur le thème linguistique, c'est vraiment pas banal et c'est ce qui m'a poussé à m'y plonger.
Déjà même si certains trouveront les couleurs ternes et dans les thèmes "marrons" typiques des jeux austères "à l'allemande", je trouve qu'au contraire ça lui donne un certain cachet. Car entendons nous bien, le plateau et les tuiles ont un style particulier mais sont vraiment superbes.
C'est l'un des rares jeux où toutes les stratégies sont viables mais attention car une action mal calculée peut coûter très cher voire même la partie. Les actions devront être mûrement réfléchies avant d'être jouées et il faudra être aussi bien opportuniste que d'avoir une lecture irréprochable sur ce que vont faire les adversaires et donc ne pas se laisser prendre de court.
Terminer bon dernier alors que l'on a le statut de Pape en dit long sur les stratégies proposées.
Bien étudier la langue, voilà la clé du succès !
Cela faisait bien longtemps qu'il ne m'avait pas été donné de jouer à un jeu aussi abstrait avec un thème aussi grossier.
En effet, le thème avait tout pour plaire, de par son originalité surtout, mais aussi de par la difficulté qu'il y avait justement à rendre jouable l'évolution d'une langue. Un véritable défi.
Mais le soufflé est bien vite retombé. De Vulgari n'est qu'un jeu de plus, et pas un jeu qu'on a envie d'avoir en plus dans sa ludothèque. Il se contente de compiler paresseusement entre dix et quinze mécanismes différents permettant d'engranger des PV. Un excès de complexité qui ne peut s'expliquer que par une volonté de surenchère dans le "je vais voir combien de mécanismes je peux mettre dans un seul jeu". Rajoutons donc à cela un thème extraordinaire mais vite bradé, et vite oublié dès l'entame du jeu. Un plateau de jeu et des composants d'une laideur sidérante, tout y est gris et triste. Une aide de jeu que Champollion aurait adoré posséder. Et surtout, une iconographie sur le plateau particulièrement ratée: aucun des dessins ne vous aide à vous souvenir à quoi peut bien servir cette case, si d'aventure vous aviez décroché après 45 minutes d'explication de règles.
L'intérêt de ce jeu est à peu près identique à celui que représenterait l'étude des entrailles d'un bulot. Et quand ça dure trois heures...
De Vulgari Eloquentia est un jeu de gestion qui séduit dés la première partie par son thème attractif et des mécanismes plutôt bien intégrés qui le servent.
Le matériel est de très bonne qualité. Le graphisme bien qu'un peu austère est agréable à l’œil et colle parfaitement au thème.
Le premier contact avec le jeu n'est pourtant pas des plus rassurant. Le règles sont assez difficiles à appréhender d'autant plus qu'il existe quelques erreurs dans l'édition. Impardonnable ! Une traduction approximative n'aide pas à déchiffrer des mécanismes assez touffus et le plateau de jeu n'est pas des plus lisibles...
Tout cela aurait pu présager du pire... En réalité il suffit de quelques tours pour que le système de jeu devienne beaucoup plus clair dans les esprits. Le jeu reste en effet relativement fluide pour peu que les joueurs autour de la table ne soient pas atteint de paralysie mentale. Il faut compter tout de même 3 heures pour boucler une partie de 5 joueurs.
De multiples actions sont proposés qui se révèlent plus ou moins attractives en fonction de la position des joueurs sur la piste des connaissances. Les joueurs sont amenés à choisir entre deux alternatives en cours de partie : embrasser une carrière de marchand ou rentrer dans les ordres religieux. C'est un des aspects très plaisant du jeu car il faut saisir le moment opportun pour choisir l'une ou l'autre de ces deux possibilités qui oriente le jeu jusqu’à la fin. Dans les 2 cas les joueurs vont s'efforcer d'évoluer dans leur hiérarchie ce qui confère des avantages divers et conséquents selon les personnages choisis. Être élu Pape, en dehors du prestige que pourra apprécier le joueur, procure de nombreux bénéfices en fin de partie mais ne suffit pas pour garantir la victoire. Les points récoltés au cours de la partie sont tout aussi déterminant comme l'acquisition de manuscrits. L'interaction n'est pas en reste avec une course aux tuiles constantes et de multiples « tables » où les joueurs sont mis en concurrences en fonction de leur dépenses en actions et en argent. L'ordre de jeu lui-même est ajustable selon l' avancement des joueurs sur une piste spéciale où il fait toujours payer chèrement sa progression en dépensant des actions.
De Vulgari Eloquentia est un jeu riche et très abouti. Il faut chercher à développer une stratégie à long terme sans négliger les opportunités offertes à certains moments clefs. On se doit de choisir avec soin son cheminement à travers les régions italiennes qui offrent pour certaines au passage du premier visiteur des récompenses substantielles.
L'originalité de son thème et sa profondeur couplés à l'élégance du matériel contribuent à faire de De Vulgari Eloquentia un jeu de gestion plaisant et attractif. Il faut passer outre son côté un peu austère et ses règles peu intuitives pour découvrir un jeu de cubes en bois pour une fois bien ancré dans son thème et non conformiste dans ses mécanismes. C'est suffisamment rare pour le souligner et pour attirer ma sympathie.
De Vulgari Eloquentia, qui tire son titre d'un texte de Dante Alighieri, est un jeu atypique. Si sa filiation avec le jeu de gestion à l'Allemande ne fait aucun doute il s'en distingue par une personnalité hors du commun et une générosité ludique un peu brouillonne mais indéniablement passionnée et qui ne laissera pas indifférent. Son originalité s'exprime dès son thème - l'utilisation à l'écrit de la langue vulgaire à la place du latin dans l'Italie médiévale - et l'envie évidente de lui laisser présider à tous les aspects du jeu, en particulier l'identité graphique et la mécanique ludique. Il en résulte un foisonnement de détails qui rend le jeu difficile d'approche, à la fois par manque de lisibilité immédiate (l'iconographie et la nature des actions proposées n'ont rien d'évident à mémoriser) et sur la durée d'une partie (plusieurs filières de jeu sont possibles et il est difficile d'appréhender a priori leur validité). Mais c'est cette richesse - à peine entachée de petites imperfections qui contribuent paradoxalement au charme du jeu - qui fait tout l'intérêt de De Vulgari Eloquentia, au prix d'une courbe d'apprentissage plus longue qu'à l'ordinaire. En particulier trois idées très séduisantes se trouvent au cœur du système :
- chaque joueur dispose à son tour de cinq jetons pour jouer ses actions. Mais contrairement à un jeu de pose d'ouvriers standard seules les ressources sont limitées puisque le joueur suivant reprend du plateau les cinq jetons pour les utiliser lui-même à son tour. Les emplacements disponibles permettent en fait de limiter le nombre d'actions d'un même type qu'un joueur peut réaliser dans son tour (et de prendre en considération une éventuelle majoration du coût).
- chaque joueur *incarne* un personnage qui se déplace en Italie. Certaines des actions du jeu sont ouvertes ou fermées selon la région dans laquelle on se trouve. Et certains événements particuliers - connus par avance - prendront place à un tour précis dans une région spécifique. Comme se déplacer consomme des jetons d'action il est donc nécessaire d'anticiper au mieux son itinéraire tout au long du jeu.
- les joueurs commencent comme simples marchands mais peuvent choisir en cours de jeu d'entrer dans les Ordres, d'abord comme Frère puis comme Cardinal, le choix étant irrévocable. Chaque rôle dispose d'avantages spécifiques (et parfois interdépendants, en particulier en ce qui concerne la richesse) et d'une condition particulière - plus ou moins difficile à satisfaire - pour marquer des points de victoire en fin de partie. A cela il faut ajouter qu'il existe de nombreux moyens de marquer des points de victoire en cours de jeu et que le jeu propose un équilibrage complexe entre ces différentes filières et les ressources et moyens dont disposent les joueurs en fonction des rôles qu'ils occupent.
Ce dernier aspect contribue à mon sens à faire de De Vulgari Eloquentia un jeu passionnant et à part, qui mérite que l'on s'investisse dans des règles touffues et pas nécessairement présentées de la manière la plus judicieuse qui soit et que l'on fasse abstraction du matériel peu lisible.
Vu de loin , bof , on se rapproche, ça mas l air du trés lourd . J ouvre la boite , lis la règle '' au secours"" . J insiste mais c est pas possible on vas y passer la nuit . On met en place le jeu . Une partie pour rien à trois, au bout d une heure on recommence tout, on est deux a avoir pigé . Ils nous a fallut deux bonnes heures avant de cerner l ensemble du jeu . Il se fait tard , on a recommencé le lendemain soir , trois heures de jeu à trois . Enfin le jeu etait devenu limpide .
Je conseille à tous de regarder l explipartie sur ce site , ça vous enlève une sacré épine du pied.
Tout cela pour dire que ce jeu est un concentré de multiple stratégies, difficile à contenir au début, puis par la suite, au bout de six parties, il s avère que ce jeu est finalement simple et trés agréable .
Avec son design vieillit. son plateau sentant l époque, on est litteralement transporté en plein début de la renaissavce.
J adore .
Un jeu avec une courbe d'apprentissage exceptionnelle, mais c'est peut-être aussi du à son manque de clarté. Après 3 parties j'ai toujours du mal avec l'iconographie et la confusion qui en découle.
Malgré cela j'adore ce jeu et prend vraiment plaisir. A 3 ce n'est pas idéal, à partir de 4 c'est beaucoup mieux, le top étant à 5 joueurs.
Je ne mets pas la note maxi à cause de l'iconographie déplorable. J'aime pourtant les illustrations, on manque seulement de repères, de références.
@v@
Tout a déja était dit sur ce jeu je pense.
Un Kubenboi particulier, qui a une ame et qui fait vivre une aventure (c'est pas courant)
C'est un jeu stratégique, j'entends par la qu'il faut prévoir des le début sa ligne de conduite pour être efficace et ca c'est assez rare pour être noté.
Un plateau tres joli mais pas fonctionnel, il manque clairement des symboles ou une aide visuel.
Une regle de jeu pas forcement claire non plus.
De vulgari donne envie de rejouer, il donne envie d'approfondir et d'essayer de nouvelle voie.
De vulgari est un grand jeu.
4/5 a cause du plateau et des regles pas claires sinon 5/5
Voici un éditeur surprenant, avec des thèmes totalement improbables. En tout cas, il ne laisse personne indifférent. Au regard des avis sur ce jeu, aucun juste milieu : on aime ou on déteste, avec quand même une majorité d'opinions positives. Dans le même ordre d'idées, certains trouvent le jeu très abstrait et le thème totalement plaqué ; d'autres considèrent au contraire le thème comme particulièrement immersif. alors, où se trouve la vérité ? Il appartient bien-sur à chacun de se forger sa propre opinion
Il est clair que ce jeu ne se présente pas avec un abord évident. La multiplicité des actions à réaliser avec nos 5 pions d'action, jamais assez nombreux, offrent à chaque tour un choix cornélien. Une fois compris l'importance des points offerts dans 2 domaines incontournables (l'achat des parchemin et l'obtention d'un titre à la fin, soit environ 60% des points de victoires), une grande liberté stratégique s'offre au joueur et on s'aperçoit, en fin de partie, d'un petit aspect addictif : "je tenterais bien une autre stratégie".
J'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à jouer à ce jeu, tout en lui adressant tout de même 2 reproches : on navigue beaucoup à l'aveugle sur la situation des autres joueurs, particulièrement à la première partie, et le manque de lisibilité du plateau de jeu (couleurs, iconographie) malgré un certain esthétisme.
Alors, si vous aussi souhaitez tenter l'aventure, sachez que l'hypothétique fumée blanche qui sortira du Vatican ne donnera pas obligatoirement le nom du futur vainqueur.
C'est un bon jeu mais il demande de l'investissement car les actions sont nombreuses et le plateau ne nous aide pas forcement pour la compréhension intuitive. L'ensemble est fluide après quelques tours. Le jeu aurait mérité plus d'attention pour la finition (règle, plateau).
Très bon jeu. La règle est un peu lourde, surtout avec les petits détails qui nous obligent à jeter un oeil de temps en temps sur celle-ci. La première partie n'est pas évidente car nous avons le résultat de notre stratégie au décompte final.
De mon point de vue, je trouve le thème très original et bien rendu. Un jeu pour les initiés et très riche. On peut choisir de postuler au poste de pape ou pas. En tout cas moi chuis pas pape.
A la lecture des règles, des aides de jeu, des sites web relatant le jeu, on reste perplexe. Cela parait complexe et alambiqué.
Après il faut expliquer les règles aux amis. Ce n'est pas rien : c'est long et on trouve le jeu de plus en plus complexe.
Et on commence à jouer. Et là, tout s'éclaire. C'est fluide, on a beaucoup de degrés de liberté dans les actions possibles, c'est tendu, le jeu colle bien au thème, les stratégies gagnantes sont nombreuses et l'ambiance graphique du jeu est excellente.
Effectivement, les parties sont longues et je ne trouve pas toujours de copains motivés pour y jouer. Néanmoins, cela reste un des must de ma ludothèque.
De Vulgari est un jeu à apprentissage. On nage completement à sa première partie tant les mécanismes sont nombreux et les choix multiples. C'est un jeu de haut vol, exigeant mais très prenant. Le fait de pouvoir changer de carriere (marchands ou religieux) et de se développer sur différentes lignes de points de victoires permet à De Vulgari d'etre une véritable course entre les joueurs. Chacun optimise ses déplacements et ses actions.
Dans tous les cas chaque partie est bien différente tant les choix possibles sont nombreux et avec une fin de partie qui arrive aléatoirement dans les derniers tours, la tension est extreme pour réussir à faire tout ce qu'on s'est donné pour objectif