Cap Horn est un bon jeu mais les règles sont particulièrement ardues et subtiles.
Il faut comprendre le principe de la carte des vents et ça demande un peu de pratique pour poser les cartes correctement mais une fois tous cela assimilés ça devient un jeu de bonne qualité et très varié contrairement à ce que l'on pourrait croire même si le hasard joue un grand rôle.
J’aime l’aspect course de bateau et le coté carte des vents sur le plateau même si c’est vrais que le plateau est pas top et peut en rebuter plus d'un.
Toutefois, nous y jouons ponctuellement depuis près de 10 ans donc c’est tout à fait valable comme jeu. C’est un jeu de programmation (il faut aimer) et comme souvent avec ce genre de jeu y jouer trop régulièrement nuit à la santé mais c’est un jeu correct qui permettra de varier les styles dans votre ludothèque et de permettre à ceux qui débute d’avoir plus de chance de gagner contre des joueurs avertis.
Je viens donc de découvrir un BUG: "Les tuiles ne peuvent pas être recouvertes si on peut s’y déplacer dans le tour et non l’inverse comme l’indique la règle"
Effectivement ça change tout!! On a eu tout faux pendant nos parties!! D'ailleurs cette nouvelle règle va peut être améliorer la course et la rendre plus compliqué-intense. Je vais essayer!
J'allais mettre la moyenne 3/5 mais là je ne met que 2/5 car on a jamais joué comme il fallait ! GRRRRRR! Merci TRIC TRAC pour l'info!
Course rapide de voilier. Pas de difficultées pour apprendre les règles.
Il y a très peu d'interactions entre les joueurs, mais le suspens reste présent jusqu'à la ligne d'arrivée.
A réservé pour ceux qui adorent les jeux de courses.
Il faut poser ses cartes pour anticiper le déplacement de son bateau. Ce jeu est original, très sympa mais on a tendance à poursuivre son cap sans trop regarder les autres.
Ben vi, j'ai une version allemande. J'avais été attiré par le thème...
C'est pas que c'est pas bien, c'est juste que c'est pas top beau et dans le volume de jeux existants, cela ne ressort pas comme indispensable.
Cap Horn avait tout pour me séduire. Dès le départ, une course de grands voiliers, l’écume qui me saute au visage… Je me voyais déjà hurler « Hissez-haut ! » au visage de mes adversaires éberlués.
C’était les pions qui m’intriguaient. Pas terrible ses petites flèches. On ne peut pas dire que le matériel est esthétiquement à l’avenant de la jolie illustration de la boite.
Après quelques tergiversations sur les règles, nous voilà parti au large du Cap Horn.
Le système de programmation des mouvements est plutôt malin et allie construction de sa propre stratégie avec des coups fourrés. Certaines tuiles n’étant visiblement là que pour faire suer les autres.
On retrouve un jeu où l’aléatoire est correctement dosé pour fournir des parties différentes.
Mais la relative sécheresse du jeu apparaît assez vite. On est bien dans un jeu abstrait avec un thème un peu artificiel qui n’arrive pas à s’imposer. Plutôt que de m’imaginer sur un voilier, je n’ai pu m’empêcher de croire que je construisais un réseau neuronal.
Le jeu est donc bien foutu mais assez sec. Il manque ce petit quelque chose qui aurait pu éclairer les parties d’un aspect plus convivial.
Cap Horn est un jeu de programmation. Il faut placer des tuiles avec des flèches pour aller d'un point A à un point B. Ce n'est pas plus compliqué que cela. Il faut avoir un peu de chance aux tirages des plaques, et encore. Si vous ne vous débrouillez pas trop mal, cela se jouera toujours à pas grand-chose. Avec des joueurs de même niveau, la victoire risque d'appartenir à celui qui commence.
Il n'y a pas vraiment de stratégie, vous faites avec ce que vous avez, c'est tout. Je veux dire par là que votre intelligence pure ne sera pas mise à l'épreuve. L'interaction avec les autres est vraiment limitée et si vous perdez du temps à freiner un adversaire, vous allez vous faire prendre un tour (ou un déplacement) par un mesquin en embuscade. Très peu de retournement de situation donc.
De plus je n'aime pas le matériel, le jeu fait vieillot. Je sais, ça fait snob, mais je n'aime pas, je n'aime pas... Ça compte l'esthétique aussi, et les couleurs, ça ne se discute pas.