Bumbesi n'est pas une révolution dans le jeu de cartes mais ses graphismes sympas et son côté 6 qui prend avec un thème lui permet de plaire à un très large public et de distraire le temps de 2 ou 3 parties. C'est fluide,simple et très réussi donc ça mérite de rester dans la ludotheque dans la catégorie petits jeux pas prise de tête. Avec Mow il sera un remplaçant idéal de Lobo 77 ( trop mathématique) et du 6 qui prend (trop abstrait)
Un jeu de cartes futé, avec des bestioles drôles, qui ne dure pas longtemps, qui permet de prendre sa revanche immédiatement, qui permet de maudire le mauvais sort. Une entract idéale entre deux gros balourds de jeu... pas d'hésitation, découvrez ces animaux qui (se la ) pète(nt).
Voici un petit jeu qui sortira souvent.
Il s'apprend en 2 minutes et les parties s'enchaînent rapidement. Très simple à jouer.
Il fait un peu penser à 6 nimmt, mais en plus vivant car il n'y a pas de temps mort où chacun cherche quelle carte il va jouer.
Rien de stratégique ou très peu. Des graphismes sympathoches et petit goût de reviens-y. Tout cela donne un jeu qui plaira à tout le monde. Assurément.
Ammateurs de stratégie pure, passez votre chemin.
Les + :
Règles simples et vites expliquées
Jouable avec presque tout le monde
Parties rapides
Bonne ambiance
Les - :
Le thème (animaux qui pètent)
Répétitif
Ressemble un peu trop à Mow
Donc :
Bumbesi fait double emploi avec Mow mais si vous aimez l'un, vous aimerez l'autre.
S’inscrivant dans la famille de jeux qui s’inspirent de 6 qui prend, Bumbesi réussit à nous séduire par sa fluidité et sa simplicité. Les joueurs se débarrassent de leurs cartes s’ils peuvent les poser dans un des deux espaces qui sont ouverts. Deux cartes nommées « limites » posées sur la table régissent des espaces dans lesquels aucune carte supérieure ne peut être posée. De plus, lorsqu’une carte est posée, elle interdit également toute valeur inférieure à cette carte. Un exemple valant mieux qu’un discours, si la carte limite est 57 et la dernière carte posée 43, seules les cartes comprises entre 44 et 56 peuvent être posées.
Lorsqu’un joueur ne détient pas une carte valable, sa seule issue est de se servir d’une carte spéciale qui lui permet soit de monter la limite, soit de changer le sens de jeu, soit encore de voler une carte chez un adversaire. A défaut, il doit prendre toutes les cartes d’un espace, ce qui lui vaudra autant de points négatifs en fin de partie. La règle de jeu s’apprend en un, deux, trois et ne pèche par aucune ambiguïté.