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Boîte du jeu : 18 Lapins

18 Lapins

settingsPatrice Vernet
brushPatrice Vernet
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Nombre de joueurs :2-4
Age :12 ans et +
Durée de partie :90 min
Langues :Français
    8,5
    Un jeu sur la civilisation Maya et en téléchargement sur internet. Personne ne sait ce qui a causé le déclin de la civilisation Maya. Sécheresses, déforestation, catastrophes, invasions, décadence ?... ou peut-être que quelques rois (de 2 à 4) se sont affrontés, poursuivant des objectifs purement personnels, montant les mayas les uns contre les autres, et les précipitant sans vergogne dans la guerre et les sacrifices de masse ? Le plateau représente une épaisse forêt de la péninsule du Yucatan, le pays des Mayas anciens. Cette forêt contient plusieurs sites, sur lesquels des rois rivaux (les joueurs) bâtissent des cités, qui vont produire des richesses de différents types. Une partie de ces richesses sera collectée pour bâtir d'autres cités ou soutenir l'effort de guerre, mais une autre partie devra être sacrifiée sur les temples pour satisfaire les dieux et apporter de la gloire aux rois. Les rois accumuleront aussi de la gloire lorsque leur peuple remportera des tournois de pelote. Au terme de la partie le roi le plus glorieux deviendra le premier Empereur du Yucatan, celui-là même qui n'a jamais existé. Les Mayas exploitent leurs territoires, qui peuvent produire 5 types de richesse : le maïs, les coquillages, le cacao, l'obsidienne et le jade. Une sixième richesse existe : les prisonniers. On ne les cultive pas, on les capture lors des guerres. Ces richesses peuvent être utilisées de 3 manières : -1- Approvisonner les caisses des rois (imposition). Elles serviront alors de monnaie pour acquerir des sites, bâtir des cités, financer des attaques, ou faire de la divination. -2- Être stockées par les mayas, en vue de répondre à des besoins ponctuels (ex: pouvoir passer une période de sécheresse) -3- Être sacrifiées dans les temple, pour apporter de la gloire aux rois Les Mayas peuvent bâtir dans leurs cités 9 types de bâtiments, aux coûts et fonctions variables. Bien sûr, c'est au roi de financer ces constructions, en utilisant les richesses issues des impôts. Les villages produisent Les palais collectent les impôts Les temples font les sacrifices Les garnisons attaquent et défendent. Les réserves stockent les richesses Les marchés influencent les cités voisines Les observatoires permettent la divination Enfin, les terrains de pelote entraînent des joueurs, qui pourront ramener de la gloire lors de grands matchs. En plus des guerres que les rois font les uns contre les autres dans le but de ramener des prisonniers, les Mayas doivent subir des événements divers. Certains sont positifs, mais d'autres sont de véritables catastrophes. Les prêtres peuvent faire de la divination, pour tenter de les éviter, mais cela n'est pas toujours suffisant. Pour pouvoir "esquiver" efficacement une catastrophe, il faut laisser au peuple quelques richesses, qu'ils stockent dans leurs réserves. Le maïs leur permettra, par exemple, de passer une période de sécheresse sans encombre. Autre exemple, le sacrifice de prisonniers est très efficace pour calmer les dieux, et il est prudent d'en garder quelques uns à portée de machette. Descriptif issu du site de l'auteur

    Les avis

    • boîte du jeu : BalamBalam : Bama Lama Bama Loo*
      J'ai eu la chance de tomber sur ce jeu sur le stand d'une brocante, un peu comme Tintin dénichant la maquette du navire au début du Secret De La Licorne. Joli jeu ma foi, joli matériel quoique les tuiles semblaient un peu fragiles (c'est de l'autoédition), et règles courtes. Tout invitait à s'asseoir autour d'une table pour essayer la bête. Emballé était donc pesé et je repartais avec ma boite sous le bras en sifflotant cet air bien connu de Little Richard\* ! Les règles, bien que courtes, furent un peu délicates à saisir. Plusieurs lectures ont été nécessaires, et une partie de découverte afin de bien comprendre comment les choses fonctionnaient. En effet, les phases de fin de tour, entre autre, ne sont pas évidentes à interpréter : ce qui va à la banque comme taxe, ce qui revient dans notre réserve... Quelques coquilles dans la rédaction ne facilitèrent pas les choses. Mais une fois les choses assimilées, on réalise que l'on a affaire à un gros jeu. Il y a mine de rien beaucoup de petits détails à retenir : chaque séquence de jeu possède son ressort propre. La séquence d'attaque par exemple, complexe, pas évidente à comprendre à la lecture, et pas forcément bien expliquée, se révèle vraiment intéressante et tendue, même si une part de chance pointe le bout de son nez avec un tirage de dés. On y voit déjà plus clair au cours de la première partie, et finalement tout devient progressivement plus fluide. Les événements néfastes tels que les catastrophes, peuvent surprendre par leurs effets réellement dévastateurs. Aussi convient-il de bien les expliquer avant de jouer afin que chaque joueur sache à quoi s'attendre et puisse en tenir compte au cours de la partie. Il semble ainsi primordial de développer son jeu en ayant ces paramètres dans un petit coin de sa tête. Balam est vraiment bon, et très agréable à manipuler. Je dirais que son plus gros défaut est qu'il faut le sortir régulièrement au risque de devoir remettre le nez dans les règles avant chaque partie. Malgré cela, j'aime ce jeu charmant à souhait, respirant l'originalité, à la fois complet ludiquement parlant (commerce, guerre, blocage...) et complexe son déroulement. C'est mine de rien un bien joli coup de coeur et une très belle trouvaille. J'ai désormais hâte de me lancer dans la confection de Tabernacle, autre jeu du même Patrice Vernet qui m'a tout l'air d'être une autre petite pépite.

      tt-e5e446e6b25b3e4...

      17/12/2014

      8.6
    • boîte du jeu : BalamBalam : Un jeu qui mériteraient une place près des hit ludiques
      Amis joueurs, voilà un jeu unique pour votre ludothèque. Un thème fort: Une vaste jungle humide attend votre arrivée pour y mettre un peu d'animation. D'une première installation, votre empire Maya va petit à petit prospérer, vos villes s'agrandir, ramenant obsidienne, maïs, jade et cacao au Palais. Problème : D'autres cités se développent, elles-aussi et l'espace des bonnes terres n'est pas infini. De plus, les dieux veulent du sacrifice et du sang, sinon c'est l'éruption volcanique assurée par insatisfaction. Alors, les différents empires arment leurs soldats de lances d'obsidiennes et partent faire des prisonniers dans les autres royaumes. Il faut les ramener et les sacrifier sur les temples pour apaiser les dieux. Le monde maya est dur et cruel. Les saisons (Katun) peuvent être sans pitié et dévaster des cités entières. La nature est hostile, alors il faut construire des observatoire pour tenter de prédire les catastrophes. La course à la connaissance est sans merci pour diminuer l'incertitude. Au delà de cette course à la survie par le mécanisme implacable des sacrifices sanglants, les rois luttent pour le prestige. Moment sacré, les cités se retrouvent pour s'affronter sur des matchs de pelotes, le gagnant y gagne souvent le prestige qui fera de lui le plus prestigieux des rois. Le jeu propose des facettes très nombreuses à un thème fort, celui de l'établissement et du developpement des empires mayas. C'est l'équilibre Gestion/Guerre qui rend ce jeu assez unique. Les règles de bases sont simples et s'assimilent rapidement. L'aléatoire existe, mais il fait tout l'intéret du jeu car un des objectifs est alors de se prémunir contre l'aléatoire (stocker des prisonniers pour apaiser les dieux, construire des observatoire pour éviter les Katun défavorables). Cette aléatoirité fait tout le charme du jeu, et retraduit fidelement la précarité de l'établissement d'un empire dans un milieu hostile. Au delà de ces mécanismes, le jeu est d'une richesse infini. Les règles forment une sorte de jeu d'échec dans la jungle. Le jeu n'est malheureusement plus édité, mais il doit être possible de trouver quelques boîtes d'occasion. Pour moi c'est un must qui a sa place au même niveau qu'un Caylus. Vivement une réédition.

      tt-164132c62736e0b...

      27/07/2013

      10
    • boîte du jeu : BalamBalam : un petit jeu tranquille ... et tout à coup ...
      Qui ne s’intéresse pas aux Mayas ? Sacrifice, pyramide, astrologie, combat aux épées de jade, cacao brûlant offert à Cortes… toute la mythologie de la conquista est présent dans Balam, sauf les espagnols… En tout cas Balam est un jeu passionnant qui ressemble, comme le dit si bien Bruno Faidutti, à un petit jeu tranquille à l’allemande, façon Colons de Catane : je construis des bâtiments qui me donnent des pouvoirs, j’amasse des richesses, et mon petit empire maya prend forme, et tout d’un coup, ton adversaire sort des dés et dit « Je te pète la gueule! » Et là tu tombes dans le bon vieux jeu de baston, façon Cyclades… Sans compter les terribles cartes Katun qui t’infligent catastrophe sur catastrophe, ou, si les dieux sont cléments, bonne récolte ou fête du cacao ! Tu n’échapperas pas au hasard dans Balam, mais au contraire tout ton travail est de t’en protéger… en sacrifiant quelque esclaves, ou en montant une bonne équipe de juego de la pelota…

      paul moud ubid

      28/10/2012

      8
    • boîte du jeu : BalamBalam : Ici gestion et là pain !
      Ce jeu qui nécessite quelques heures de patience pour voir le jour, et maintenant disponible aux non bricoleurs. Il fût pour ma part un très bonne surprise, il associe de la gestion, du conflit et une petit dose d'aléa qu'il nous est possible de contrôler en construisant tel ou tel bâtiment. Un plateau modulable accentuant la rejouabilité, des ressources plus ou moins rares font de ce jeu une petite pépite ludique. Alors le fait de sacrifier quelques heures pour la construction du jeu ne nous rend-il pas un peu gaga malgré nous...après l'enthousiasme premier passé je ne crois vraiment pas. C'est un jeu équilibré alliant intelligemment la gestion et le chaos.

      ozoeau

      07/02/2012

      10
    • boîte du jeu : BalamBalam : un bon jeu qui vaut la peine qu'on se donne
      18 lapins est un jeu de placement avant tout, son mécanisme est sympa et fonctionne bien avec un systèmes de cartes à piocher qui pimente bien le jeu par contre jouer jusqu'à la 3ème carte "match de pelote" me semble vraiment suffisant du moins à 4 car on est rapidement l'un sur l'autre et il ne reste que les combats pour pimenter la partie. Juste un petit reproche, le manque de commerce.

      tt-70a0fc53286b5f8...

      16/05/2011

      8
    • boîte du jeu : BalamBalam : Superjeu
      Dans notre club on joue à Balam régulièrement, tellement on est passionnés.

      tt-e5681b40a9b71e2...

      14/02/2011

      10
    • boîte du jeu : BalamBalam : original mais déséquilibré
      ça m'a rappelé les vacances. original. mais ludiquement, avec "pas de chance" on peut s'ennuyer ferme !!!

      tt-5a59962ad51b372...

      18/02/2010

      6
    • boîte du jeu : BalamBalam : Une boite bien remplie !
      Ça faisait un petit moment que j'avais déjà imprimé les éléments du jeu, mais il me restait l'essentiel: le cartonnage et la fabrications de tous les pions en Fimo, et il y en a pas mal. Je me retrouve donc avec une boite remplie façon "Agricola" ! Côté jeu: les premières parties peuvent être redoutables pour vos petits Incas qui auront bien du mal à faire face aux événements (cartes Katun) la plus part désastreux. Par la suite, c'est du plaisir garanti. Pour ma part, j'ai intégrer les quelques modifications de jeu qui on été apportées avec les règles de Balam (même jeu dans sa version plus "aboutie"): combat, sacrifices, volcans, éclipse… sa ajoute un peu de difficulté (encore?) mais c'est que du bon. Merci M. Patrice Vernet.

      tt-f6c86e887044793...

      13/03/2009

      10
    • boîte du jeu : BalamBalam : On comprend mieux pourquoi la civilisation Aztèque a disparu
      "Balam" est une production originale, il n'y a pas à dire. Le matériel étant artisanal, nous avons des pions, des matériels et des matériaux que nous n'avons pas l'habitude de côtoyer. Cela induit un sentiment de fraicheur envers le jeu même si la durée de vie des tuiles est malheureusement limitée. A noter que je trouve l'illustration de la boite très bien sentie. Le matériel en lui même aborde le thème aztèque avec un style qui lui est propre. Je ne retrouve pas la même ambiance que les « Tikal » et autre « Mexica » du maitre « Kramer » et c'est très bien. Cela donne un cachet certain au jeu. Ensuite, au niveau des mécanismes nous avons du classique et du moins classique. Le classique est allemand avec un système de production de ressources qui vont être transformées en points de victoire par des bâtiments. Les ressources vont devoir respecter des règles de déplacement vers les bâtiments, règles elles mêmes dictées par la présence d'autres ... bâtiments. Bref, ici c'est allemand dans le style jeu de gestion. Par dessus tout ceci, vont être rajoutés un certain nombre de mécanismes assez malins. Le système de cartes d'événement, points d'action (avec des ressources) et le système d'observatoire est très bien vu. Ensuite, une mécanique de guerroyage assez agressive va casser la belle mécanique de gestion pour induire de l'aléatoire et des combats permettant de gagner la ressource la plus lucrative à sacrifier qu'est "le prisonnier". La encore c'est très bien vu. Ensuite, je trouve que l'esprit de la civilisation aztèque est très bien rendu. Vous avez des villes prospères avec des rois qui ne sont pas foutus de s'entendre et qui vont essayer d'être les derniers à disparaitre (en substance). Il y'a du développement et des mécanismes que je qualifierais de "romantiques" qui côtoient des sacrifices humains, des guerres fratricides et des catastrophes naturelles. Rien d'etonnant que cette civilisation se soit éteinte. Si leur vie était aussi chaotique que dans le jeu, il fallait avoir un minimum de chance pour survivre (d'ou les dés ;o)) Donc, il faut accepter le hasard, ou alors solliciter les oracles pour le maitriser et dans tous les cas accepter les résultats des dés. Ceci fait (et c'est mon cas), le jeu se passera agréablement. Pour finir, les défauts majeurs du jeu sont selon moi la difficulté de remonter un certain retard et le risque de disparaitre totalement de la carte. Aussi quelques fonctionnements me paraissent bizarres comme le fait que l'obsidienne ne serve à rien de particulier dans le trésor du roi. Je n'ai pas non plus très bien compris l'intérêt de l'éclipse (le fait de gagner deux mais gratuits me semblait pouvoir permettre à quelques retardataires de ne pas trop galérer sur la fin de partie). Enfin bref, un ensemble de petites choses qui laissent entendre que le jeu mériterait encore quelques petits réglages. A l'arrivé, nous avons un jeu original par sa juxtaposition de mécanismes de gestion, de combats et d'évènements aléatoires ainsi que par son thème et la manière avec laquelle il est traité. Une bien belle histoire en tout cas...

      Pac

      07/03/2008

      8
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    Je n'ai pas joué depuis très longtemps... Mais à la lecture des règles c'est bien : 1) pour commencer son tour payer 1 richesse au choix 2) PUIS pour construire payer le coût du bâtiment construit (p 7 des règles). Donc on paye toujours 2 fois. Cordialement, Laurent

    laurent36

    21/10/2017

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    Schastar dit: Hello, Pas tout-à-fait, Fredm, mais il faut reconnaitre que c'est assez arbitraire. Le tour n'est pas fini, donc la production commence par le joueur qui a retourné la denière carte. La main passe au joueur suivant à la fin de la manche. [Déterrage de topics sur Balam 2] OK, une réponse à une question que je me posais. Merci

    stanymi

    22/01/2010

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    tt-889302ea960a314...

    13/03/2007

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    copyright

    18/10/2006

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    Schastar dit: On ne met pas de pyramide sur les cenotes, uniquement sur les cités. De toutes manières, si tu mets un marché à coté, tu contrôles probablement le chemin vers la cenote... Oui en fait ça paraît logique, les cenotes ont deux chemins, si tu ne contrôles qu'un côté de la tuile, l'autre chemin doit rester libre.

    elv

    13/09/2006

    [Balam] Attaque avec la meme cité sur 2 tours ?[Balam] Attaque avec la meme cité sur 2 tours ?
    Pareil, une attaque par tour, si la manche dure 15 tours, tu peut faire 15 attaques, et en plus, c'est pas cher, une ressource, pourquoi s'en priver !!!!! Ces informations ont été tirés du guide stratégique secret et criptés sur Balam (dites moi tout, mes 18 lapins) Eric

    tt-dd9f312a12e700f...

    29/08/2006

    [Balam] 9ème et 10ème cartes[Balam] 9ème et 10ème cartes
    Surprenant, j'aurais plutôt pensé l'inverse, le ou les premiers joueurs se réservant les meilleurs emplacements En fait, l'avantage du premier joueur est d'être assuré de jouer au moins deux fois lors de la manche, même si tout le monde tire des cartes. Ca lui permet de choisir de construire en premier ou de tirer une carte et de s'assurer ainsi que quelqu'un pose avant lui (si personne ne pose, il pourra toujours tirer une 2e carte et mettre fin au tour). Le choix dépend de l'idée que tu as en tête : si tu es sûr de vouloir un emplacement, jette toi dessus, sinon, tu peux patienter.

    tt-cc7618d6d62fa95...

    11/08/2006

    [Balam] Nbr de garnisons en défense[Balam] Nbr de garnisons en défense
    Ah, ben, ça va mieux Oui, bon, je sais, je me suis un peu compliqué la vie mais bon Merci les gens pour ces explications et pour ce super jeu

    Oliv

    20/07/2006