[Shogun]
Jusqu'ici, tous ceux qui m'ont esspliqué la règle m'ont affirmé haut et fort que lorsqu'on mate une révolte, on enlève les marqueurs de révolte dans la région...
J'ai acheté Shocun récemment, j'ai donc lu la règle et... 
Tel le dessinateur de mon avatar, je dis "HUM"
Dans le chat pitre sur le révoltes paysannes, on lit quelque chose comme
Si les paysans gagnent [...] on retire tous les marqueurs de révolte du territoire
Si le joueur gagne... Aucune mention de quelque nature que ce soit parlant de retirer les marqueurs de révolte du territoire
Donc j'aurais tendance à dire : si on les mate, les samouraïs survivants restent sur place pour surveillér les paysans, mais ceux-ci restent toujours fachés et prêts à ressortir les fourches à la première occase.
Ca m'explique aussi pour quoi la règle dit "une révolte éclate si on met un marqueur de révolte dans une région où il y en a déjà un ou plus". Si on les retire après combat victorieux, il ne pourrait jamais en avoir plus d'un.
En somme la seule chose qui calme le paysan... c'est l'hiver. Quand ils se gèlent les meules, ils pensent moins à tuer du samouraï.
Y a-t'il un esspert es Shogun pour trancher mon dilemne?
Bin apriori on t'a clamé haut et fort une connerie.
On n'enlève pas les marqueurs Révolte/Trouble si on matte la rébellion. Au contraire on en ajoute un.
Page 8 (+ exemple page 12) :
If no revolt occurs, or if a revolt is successfully put
down, 1 revolt marker is placed in the province.
Je ne cite pas la règle française qui est imprécise (elle indique, à tort, de placer de suite un marqueur révolte).
sanjuro dit:Ca m'explique aussi pour quoi la règle dit "une révolte éclate si on met un marqueur de révolte dans une région où il y en a déjà un ou plus". Si on les retire après combat victorieux, il ne pourrait jamais en avoir plus d'un.
Euh ??
Cette phrase veut juste dire que la premiere fois que tu fous un marqueur (par exemple t'as pompé de l'or ou du riz), ya pas de revolte. La seconde fois, ya revolte.
En revanche, des le premier marqueur, tu n'as plus le soutien des paysans en cas d'attaque du territoire.