Quel jeu a déclenché en vous le virus du jeu de société moderne ?!? Le jeu dans votre vie.

Moi c'est au Canada, (à Québec plus précisément) en voyage, que j'ai découvert le jeu de société moderne !
Avec Citadelle et surtout Agricola.
Et depuis je me suis pas arrêté, soirée jeux, asso', animateur pour le festival de Toulouse...
Rencontre, partage et découverte ludique.

Au-delà des prédispositions familiales et des vacances - tout aussi familiales - qui se passaient à jouer à Risk, au Scrabble et au Nain jaune, il y a eu de la curiosité après des parties de Oh les nains !, Guillotine ou Il était une fois, une boutique à Bruxelles, un catalogue de jeux édités par Descartes et de longues après-midi passées chez mes futurs beaux-parents à jouer à la belote...

Les premiers achats, vers 2002 (j'ai 28 ans), un peu à l'aveuglette : César et Cléopâtre, Ballon Cup et, surtout, Colons de Catane pour deux joueurs (dans la gamme Kosmos Tilsit pour 2 joueurs) et même Méditerrannée. Puis, en cadeau de mariage de la part d'un couple magyaro-allemand joueur, Carcassonne. Un autre achat qui compte : Alhambra. Et enfin, pour compléter le trio de tête, de très nombreuses parties de Cités perdues ou, du moins de son mécanisme adapté à un jeu de 52 cartes.

Là, après ça, tout a basculé : inscription sur Trictrac + fréquentation quotidenne du site et participation sur le forum ; BGG et jeuxsoc ; achats réguliers de jeux ; les titres plus connus en allemand qu'en français ; intrusion du jeu comme sujet de conversation courant... On est en 2003 ; je commence à noter les parties que j'ai jouées... (et j'en suis toujours là !).


Aujourd'hui, le jeu est clairement une dimension entière dans notre vie de famille : on joue presque tous les jours et les enfants sont mis à contribution ; deux soirées jeux ont lieu chaque semaine avec des partenaires différents ; on pense à l'avance aux jeux qu'on emportera en vacances ; je continue d'acheter des jeux régulièrement (c'est mon budget loisir le plus important) et tous mes amis savent que je suis passionné de jeux (mêmes les invités de passage ont en général l'occasion d'apercevoir le kalax 5x5 qui regorge de JDS).

Il y a une quinzaine d'années, au cours d'un week-end entre amis, l'un d'eux nous propose de passer la soirée autour de quelques-uns des jeux de société qu'il a apporté : "Linie 1", "Samourai" (Knizia), "Lowenherz" et "San Marco". Je fus contaminé et le virus ne m'a plus quitté depuis ! Dans moins d'un mois, j'en serai à mon 15è ou 16è "Essen Spiele" !

bonjour a tous

si ma memoire est bonne, j'ai commnce vaec des classics
Monopoly, scrabble   puis est arrive une vague avec globetrotter - risk
ensuite MAGIC est arrive,
avec les copains on voulait chnager un peu et sont arrives les jeux de cartes petits format
  pirates des caraibes / illuminati / elixir

et un jour PUERTO RICO ...

cela fait donc 25 ans que je fais du jeu de societe

Patard ca me rajeunit pas tout cela 

Mes 2 vraies premières claques furent puerto rico, trone de fer (c'te claques !) et Decent 1er en Améritrash (suivi de près après horreur à Arkham).. Oui je digresse (un peu)

Les jeux sur les étagères du magasin de jeux de rôles de mon patelin (oui j'étais jeune à l'époque) ont toujours titillé mon imagination (Dune, Blood berets, et ensuite Full metal planet). 
Plus tard, une partie des Colons de Catane achèvera mon passage du côté obscur 

Le premier JDS "moderne" auquel j'ai joué c'est Les colons de Catane, en 2000, avec Elixir, Jungle Speed et Citadelles dans la foulée immédiate.
Mais le début de la fièvre (et de la constitution de ma ludothèque) c'est bien plus tard, avec l'irruption de Puerto Rico et Caylus, en 2005-2006 je pense.

Pour moi, ça a commencé avec les classiques de supermarché, dont Risk et Richesses du monde ont été mes préférés et les plus joués. Puis ça a continué avec des jeux (en A), comme Armada, Ambition, Amiraute et Ambush avant de brutalement chuter le temps des études et des premiers pas dans la vie professionnelle. Et puis en 2000 je tombe sur une annonce d'un jeu s'inspirant de Risk et Richesses du monde. Je veux parler de Maître du monde, un jeu pas très bien foutu mais qui aura eu le mérite de réveiller ma flamme. Car, plus d'une centaine de jeux plus tard, je suis toujours accro.

Je pense que le virus a été implanté par Magic pendant mon adolescence. Et quand je suis parvenu à m'extirper de cette drogue, j'ai sombré dans une addiction au jeu vidéo .
Quelques années plus tard , quand cette phase autiste m'a lassé , j'ai à tout hasard fait une recherche pour vérifier si le progrès ludique avait permis d'inventer quelque chose présentant un tant soit peu plus d'intérêt que l'archaïque Monopoly .

Je suis tombé sur Citadelles, j'ai pris une belle gifle.

Ça m'a forcément donné envie de creuser un peu plus et j'ai découvert Race for the Galaxy. En faisant ma première partie, j'ai pris conscience que je vivais là un grand moment. Piqure de rappel de Magic avec ses effets combinatoires, et tout cela dans une seule et même boîte avec un set de cartes fixe. Absolument épatant.

Bref, j'ai découvert une nouvelle drogue. Je ne vous remercie pas Mr Faidutti et Mr Lehmann.

J'ai bcp joué dans les années 80.

Mais en "moderne" en 99 ou 2000, ce sont Kahuna et  Les colons de Kätäne les principaux responsables (suivi de Vinci).

Je vais paraître vieux, mais mon premier jeu "moderne" (hors monopoly et risk pratiqués plus jeune encore) fut le wargame Cry Havoc en 1988. Depuis je n'ai pas arrêté de jouer aux jeux "modernes" et n'ai plus touché au monopoly :)
J'ai connu des longues soirées à space crusade, space hulk v1, heroquest, bloodbowl v1 à v3,civilisation et ses 12h de partie, britannia v1...

Mon premier jds moderne a été les colons de catane en 2001. Puis plus rien (la faute aux études et à Confrontation, un jeu de figurines) jusqu'à la découverte de novembre rouge, des chevaliers de la table ronde et de l'âge de pierre.

Bonjour,
Pour répondre à la question, aucun jeu n'a déclenché en moi le virus des jeux de société moderne car... :

Cinquième d’une famille de six enfants, aussi loin que je me souvienne j’ai toujours joué. Monopoly et Cluedo naturellement mais j’ai surtout le souvenir de parties de Long cours et d’Ascott. Deux jeux avec un superbe matériel et j’aimais particulièrement « Ascot » avec son plateau à deux faces : une partie entrainement des chevaux et une partie pour la course. Puis j’ai le souvenir de nombreuses parties de cartes. Notamment le Gin Rami.

Plus tard, habitant à Paris, je fréquente plusieurs boutiques spécialisées dans les jeux que l’on ne trouvent pas dans le circuit traditionnel. Jeux Descartes, L’Oeuf cube, Jeux thèmes, et un magasin, dont le nom m’échappe au moment où j’écris cela, qui vendait les figurines et les jeux Games Workshop. Je lisais avec curiosité une rubrique dans le magazine « Science & vie » consacré aux jeux de sociétés. En 1974 un ami avec lequel je jouais régulièrement me parle d’un nouveau jeu, sans gagnant ni perdant ! Très intrigué par ce nouveau concept, je file à L’oeuf cube acheter ce nouveau jeu. Son nom: « Dungeons and Dragons ». Première surprise : une grosse boite avec pas grand chose dedans. Un livre de règles, un module d’aventure, une série de dés bizarre. Le tout en anglais. Le désir de jouer étant le plus fort, je décide de tout traduire alors que je ne parle quasiment pas cette langue. Je me revois sur la table de la cuisine de ma maman, le stylo à la main avec le livre de règles et un gros dictionnaire anglais-français. Finalement je m’en sors avec quelques contre-sens mais cela nous permet de jouer. Et là, nous allons jouer… Je ne ferai que quelques parties en tant que joueur car, de fait, c’est moi qui connais le mieux les règles. Et j’adore « masteriser ». Je vais très vite, même si j’achète plein de modules, écrire mes propres histoires.

En janvier 1980 la revue « Science et vie » lance, ce qui est au début appelé un supplément, le magazine « Jeux & stratégie ». D’emblée je suis emballé par cette revue. Des analyses de jeux, des problèmes de jeux classique et surtout, ce qui me plaît le plus, un jeu en encart. Pour ce premier numéro un wargame (fallait oser) : « La guerre des Ducs ». À propos de wargame, le premier auquel j’ai joué était « Kroll & Prumni » de la société International Team. Notre première partie à durée 7 heures et nous ne l’avons pas terminée ! De façon amusante, « Jeux & stratégie » l’a mis en couverture de son deuxième numéro. Quelques mois plus tard, en avril 1980, paraît le journal « Casus belli »qui était centré jeux de rôles et wargames. J’ai également acheté tous les numéros de « Runes » lancé en janvier 1983 et « Graal » dont le premier numéro paraît en 1987.

Au fil du temps je continue à jouer à « Dungeons and dragons » puis à « ADD » dont j’achète les premiers livres lors de vacances en angleterre. J’essaierai aussi d’autres jeux comme « Runequest », « Call of Cthulhu », « James Bond », « Star wars »… Côté wargames, ce sont les jeux des sociétés « SPI », « Avalon hill », « Victoty games » qui remplissent mes étagères. « Games Workshop », « Ravensburger », « West end games », « Mayfair games », « Milton Bradley », « Eon », « Yaquinto » complètent pour les jeux de sociétés.

C’est grâce au magasin « Oya » que je découvre réellement l’étendue de la production allemande. J’ai l’occasion de me rendre en Autriche où je découvre une quantité impressionnante de jeux dans les grands magasins. Un ami, suite à une période passée aux États Unis pour ses études, me parle d’un jeu qui venait de sortir. « Il a l’air très bien mais je n’en ai pas acheté car c’était trop cher » me dit-il. Il s’agissait de « Magic, the gathering ».

Le hasard aidant, j’ai pu joindre l’utile à l’agréable en travaillant pour des magasins de jeux. Dans l’ordre chronologique : « Jeux Descartes » au 40 rue des écoles dans le 5ème arrondissement de Paris; « Game’s » dans le centre commercial du Forum des Halles et « Le monde des jeux » Boulevard Brune toujours à Paris. Bien plus tard, j’ai ouvert ma propre boutique « Des jeux et des joueurs » cette fois-ci en Bourgogne.

Pour en revenir à « Magic », je travaillais chez « Game’s » lorsque le jeu est sorti (1993). J’en avais entendu parlé mais j’ignorais de quoi il s’agissait. Un jour, deux clientes américaines viennent chez « Game’s » et achètent « In nomine satanis ». Puis elles me demandent si je connais « Magic, the gathering ». Je leurs réponds que j’en ai entendu parlé mais c’est tout. L’une des deux ouvre son sac et me donne un paquet de cartes et deux autres paquets plus petit. J’apprendrais plus tard que l’on appelait cela respectivement « Starter » et « Booster ». « Nous sommes de la société « Wizards of the coast » et nous vous les offrons ». Rentré chez moi j’ouvre le tout et je ne comprends pas car le bord des cartes est blanc dans le gros paquet et noir dans les deux petits. Il s’avère que les boosters sont de l’édition Alpha de « Magic »!

Finalement « Game’s » va vendre le jeu et je vais me mettre à y jouer régulièrement même si je ne tomberai jamais dans la folie que j’ai vu en tant que vendeur. Cependant, un peu comme le reste, je vais essayer pas mal d’autres jeux qui sortent. Car devant le succès de celui-ci, tout le monde s’y met. Et il y aura beaucoup, beaucoup de cadavres.

Lors de mon séjour en Autriche, mon meilleur ami m’offre, pour mon anniversaire, la boite « International Collector » de « Magic, the gathering ». Il s’agit d’une boite regroupant l’intégralité des cartes de la première édition avec le « Black lotus », les « Mox », etc.
Depuis, je n’ai jamais cesser de jouer.  Jamais je n’aurai imaginé, bien des années plus tard, jouer à « Talisman », « Cosmic encounter », « Magic, the gathering », etc. avec mes enfants.

Aujourd'hui je me retrouve avec plus de mille jeux et le plaisir de jouer n'a jamais cessé. J'ai la chance d'avoir une compagne qui aime autant que moi les jeux ainsi que des amis à qui j'ai transmis ce "virus". Et, pas plus tard qu'hier, un ami de passage que je n'avais pas vu depuis deux ans débarque avec une boite de Blood rage pour une partie improvisée à trois !

Joueur un jour, joueur toujours !

En 2011 je découvre des petits jeux marrants : 6 qui prend, Dobble, Perudo...
Mais c'est Carcassonne en 2012 qui m'a vraiment fait passer du côté obscur de la force.

Agricola ....

Le premier d'une longue série ensuite ......

Zargo's Lords, je dirais autour de 1985 la date exacte est flou mais j’étais encore gamin et peut on vraiment encore en parler comme d'un "jeu de société moderne".
Mon 1er achat fut Blood bowl 1er édition.

BoT dit :Zargo's Lords, je dirais autour de 1985 la date exacte est flou mais j’étais encore gamin et peut on vraiment encore en parler comme d'un "jeu de société moderne".
Mon 1er achat fut Blood bowl 1er édition.

 

Ah Zargos Lord, qu'est ce qu'il m'a fait rêver ce jeu quand j'étais mino (pourtant jamais joué). Ça me faisait penser à la Bd "le grand pouvoir du Chnikel"

Comment les jeux de société moderne se sont installés chez nous, ou une histoire en 9 actes...

Acte 1 : l'enfance - les origines 1
Pas de frères et sœurs.
Des cousins beaucoup trop jeunes ou trop vieux.
Des parents avec pas beaucoup de temps mais une certaine envie de jouer.
Nous nous contentons donc des classiques de l'époque, risk, cluedo, scotland yard, monopoly.
Mais celui auquel nous jouons le plus et que je devrais donc nommer LE premier jeu, c'est richesses du monde.
On y joue vraiment beaucoup.

Acte 2 : l'adolescence - les origines 2
Mes parents n'ont plus assez de temps (et je suis moins souvent avec eux).
Mes copines ne sont pas intéressées.
Je ne joue presque plus.
En parallèle, celui qui deviendra mon mari tombe dans le jeu de rôle et, de manière annexe, commence le jds avec des jeux comme junta, tempête sur l'échiquier, formule dé,...

Acte 3 : le jeune couple - le premier pas
Mon copain, qui deviendra mon mari, m'emmène en Allemagne chez des amis de sa famille.
Nous sommes en 1996.
Impossible de passer à côté : nous mettons donc le premier pied dans le jds avec ... les colons de Catane !!!

Acte 4 : le couple - les prémices
Notre couple se développe, nous nous marrions.
Nous sommes jeunes, avons du temps, des amis joueurs, des bons boulots et de quoi financer quelques jeux.
Notre collection commence doucement : colons de catane en premier, bien sur.
Puis suivent Carcassonne, Tikal, Magier von Pangea, Alhambra, Compatibility, Inkognito (intrigues à Venise), la guerre des moutons, metro,...
Ainsi que des jeux pour deux (colons de Catane, les cités perdues).
Mais les jds ne sont encore qu'un amuse-gueule.
Notre vraie passion de l'époque, ce sont les bandes dessinées.
C'est d'ailleurs pour la BD que nous nous rendons pour la toute première fois à Essen.
Ce n'est pas banal, lol, d'aller à Essen pour des BD...
C'était en 2002 : j'étais enceinte de notre premier.

Acte 5 : la jeune famille - la pause
Nous déménageons et ne voyons plus les amis aussi facilement.
Nous avons de jeunes enfants qui accaparent beaucoup notre temps.
Nous avons acheté un  appartement dont la rénovation monopolise tout notre argent et le peu de temps qui nous reste.
Nous déménageons encore plus loin (en Allemagne).
Nous avons vendu l'appartement et acheté une maison dont la rénovation monopolise encore tout notre argent et le peu de temps qui nous reste.
Les jeux de société sont stockés à la cave dans des cartons de déménagement même pas ouverts...

Acte 6 : les enfants - le réveil
Lentement nous vidons nos cartons.
Notre aîné a environ 6 ans.
Il tombe sur le monopoly, est intrigué, veut absolument faire une partie.
Il se prend une raclée dans une défaite cuisante qui a donné lieu à une colère mémorable.
Mais ça a ouvert la voie : il y a mieux que le monopoly !!!
Sortons les de la cave et donnons leur une deuxième jeunesse.
Nous initions nos grands aux colons de Catan et à Carcassonne, tout en commençant à acheter des jeux pour les petits (piratissimo, l'escalier hanté, le petit bois hanté,...).
Nous retrouvons le bonheur de jouer.

Acte 7 : l'aîné - la révélation
2012
Les enfants ont grandi.
L'aîné a 9 ans et est devenu un master des jeux que nous avons.
Sa logique et son intelligence cumulés à une insolente chance aux dés lui font adorer les jeux de société.
Il fait preuve de stratégie incroyable pour un gamin de son âge.
Il en veut plus.
Nous décidons d'aller à Essen avec les trois grands.
C'est la révélation pour l'aîné : il est tombé dans son élément.
Depuis ce jour-là, sa liste au Père Noël ne se compose que de 3 mots : jeux de société.
Idem pour son anniversaire.
Le premier jeu qu'il aura, pour Noël 2012, sera... les aventuriers du rail (LADR - Deutschland).

Acte 8 - la famille : l'explosion
L'aîné nourri sa passion des jeux de société et embarque les frangins avec lui.
Chaque enfant réclame des jds, tant pour Noël que pour son anniversaire.
2013 : retour à Essen avec les 2 grands et des amis.
Le Père Noël arrive même à y faire ses achats en toute discrétion (3 énormes sacs : trop fort ce Père Noël !!!).
2013, 2014, 2015 : c'est la folie du jds.
Au moins une bonne centaine de jeux à dû arriver à la maison sur ces 3 années là.
Les enfants sont à fond.
Ils adorent jouer avec nous.
Ils embarquent tout le monde avec eux et font des parties acharnées avec mes parents dès qu'on arrive à les voir.
On part en vacances avec 3 ou 4 sacs pleins à craquer de jds.
Même les plus petits (7 ans) sont maintenant de la partie et sont capables de jouer avec nous à n'importe quel jeu.
Il devient difficile de trouver des jeux pour jouer tous ensemble.
Mais c'est un vrai partage familial.

Acte 9 - l'entrée dans l'adolescence : la maturité
Une forme de routine s'installe.
Les enfants jouent de plus en plus entre eux ou avec des copains.
Un bon jds au retour de l'école, c'est classe.
On s'est aussi trouvé des copains joueurs donc on a une soirée jeux un vendredi sur deux avec un groupe et moins régulièrement avec un autre couple et on va faire une première journée jds avec un autre couple rencontré récemment.
Des gens rencontrés grâce aux enfants.
Bien sur il reste aussi tous les bons moments passés en famille.
C'est moins facile car les enfants sont souvent pas monts et par vaux chez des copains.
Mais ça reste toujours un super moment de se faire un bon jds en famille (Arcadia Quest pour le week-end dernier).
En revanche, on a tellement de jeux qu'on commence à avoir du mal à tous les sortir.
Alors je me calme un peu sur les listes d'achats.
Et puis l'aîné a déjà prévenu qu'il emportera ses jeux avec lui quand il quittera la maison.
Donc il faut que je feinte : pour Noël je prévoie de m'offrir plus de jeux à moi-même ou en cadeau commun pour les cinq.

Alors oui, bien sur, je pourrais résumer notre entrée dans le jeu de société moderne en 3 noms : richesses du monde, les colons de Catane et les aventuriers du rail.
Mais au final, je trouve ça beaucoup trop restrictif et pas assez à l'image de notre famille...








 

Pour moi c'est Battletech (Edition Descartes), et je pleure encore aujourd'hui de l'avoir perdu!

alyogali dit :Comment les jeux de société moderne se sont installés chez nous, ou une histoire en 9 actes...
...
Alors oui, bien sur, je pourrais résumer notre entrée dans le jeu de société moderne en 3 noms : richesses du monde, les colons de Catane et les aventuriers du rail.
Mais au final, je trouve ça beaucoup trop restrictif et pas assez à l'image de notre famille...








 

Superbe histoire !