[Polis : fight for the egemony] : équilibré ?

[Polis: Fight for the Hegemony]

A la lumière de mes 3 misérables parties ( misérables car peu nombreuses et peu couronnées de succès, donc c'est juste une impression peu étayée), il me semble que Athènes (les bleus) soient plus difficile à jouer que Sparte. De par les positions de départ et les caractéristiques militaires, il existe certes une asymétrie, mais les 2 fois où j'ai joué Athènes j'ai éprouvé les pires difficultés. Ma seule victoire l'a été avec Sparte où j'ai eu l'impression d'avoir plus eu les coudées franches.
Avez-vous aussi cette impression ?
Est-ce un parti pris de l'auteur ?
Cette impression sera-t-elle lissée au fur et à mesure des parties enchainées ( en gros, quand je jouerai mieux :lol: ) ?
Avez-vous des conseils pour permettre au joueur Athénien de mieux résister ?

De mémoire, je m'étais fait rouler dessus à ma dernière partie par Athènes qui a pris très vite Corynthe et dominé les mers.
Je ne me souviens pas avoir vu la dernière époque de la partie :shock: :kwak:

Le jeu est bien équilibré. J'ai gagné et perdu avec les deux camps.
Par contre, il faut jouer sur ses forces. J'ai l'impression qu'Athènes perd souvent quand elle se laisse aller à une lutte terrestre, sans jouer sur sa puissance navale pour générer des blocus.
Evidemment, c'est l'inverse avec Sparte.
Et oui, Corinthe est essentiel. Ca vaut le coup de s'en emparer le plus vite possible en payant avec son proxénos.

Du haut de mes 4 parties (toujours contre le même adversaire). j'ai gagné 3 fois avec Spartes et 1 fois avec Athènes (évidemment, mon adversaire veut en refaire une pour gagner au moins une fois).
Bon déjà, j'adore ce jeu. Très fin, équilibré entre gestion, développement, contrôle terrestre et combat.
J'ai l'impression que les deux sont très équilibrées, avec des avantages et des défauts. Mais je pense que Sparte est plus facile à jouer (conquête terrestre et taxation). Et c'est un jeu où un mauvais deuxième ou troisième tour plombe bien.
Pour Athènes, l'objectif selon moins est de bloquer l'extension terrestre de Sparte et l'empêcher d'avoir du blé pour sa croissance. Du coup, il lui faut aussi empêcher d'aller vers la sicile (grosse pouvoyeuse de blé).
Pour Athènes, il ne faut pas hésiter à jouer sur ses avantages (faire bp de commerce, blocus maritime pour empêcher Sparte d'aller en Sicile, ne pas hésiter à acheter des villes avec son proxenos) et faire qq coups pour bloquer Sparte au milieu de la carte pour que la taxation soit plus compliquée et coûte cher.

Alexandre

Quelqu'un pour répondre à mon interrogation postée sur un autre sujet du jeu?
Bonjour à tous,
Je suis l'heureux possesseur de cette merveille de jeu qu'est Polis : fight for the hegemony, que j'ai acquis voici quelques mois dans sa nouvelle édition de la fin de l'année 2014.
J'ai pu y jouer 2 parties à ce jour et quelques interrogations me viennent :
Est-il possible de créer un marchand à partir d'une cité dont la mer côtière est sous contrôle ennemi ? En effet, un marchand déjà créé ne peut pas commercer si la mer est contrôler par l'ennemi, mais la cité peut-elle néanmoins en créer, considérant qu'il patiente dans le port (la zone d'attente)?
Dans le cas des cités d'Epidame et d'Abdera, dont il est dit que le joueur qui les contrôle peut librement commercer avec l'Illyrie et la Thrace, est-ce que cela suppose que ces cités doivent créer un marchand pour ce faire, ou bien la proximité fait que l'on place juste un nouveau marchand dans la zone de commerci si on s'y livre, mais sans avoir à en créer (en payer le coût)? Ou bien peuvent-elles en prendre un existant, déjà créé par une autre cité? En effet, au moment de récupérer les marchands ayant commercé, à la fin du tour, on les replace non pas dans la cité "créatrice" mais dans les zones idoines, marquées du symbole du joueur, n'est-ce pas? Donc les marchands de ces deux cités doivent-ils eux aussi retourner dans ces zones ou dans la cité d'Epidame ou de Abdera, et donc faut-il en créer?
J'espère avoir été clair...Merci aux joueurs éclairés qui sauront me répondre.