L’UEJ (Union des Éditeurs de Jeux) s’associe à La Société des Auteurs de Jeux, au GBL - Groupement des Boutiques Ludiques et au Réseau des cafés ludiques pour alerter le gouvernement sur le besoin de reconnaissance des jeux comme produits culturels.#jds #essentiel #culture #jeudesociété.
Si cela a été reconnu pour les jeux vidéos, il n’y a en effet pas de raisons.
Je ne pense pas qu’il y ait débat sur la question ici mais on peut tout attendre du forum 
Ok pour le besoin de reconnaissance mais quel rapport avec la crise sanitaire ? Dire que les boutiques restent fermées car le jeu n’est pas reconnu comme produit culturel, c’est très bancal comme raisonnement. A l’heure actuelle, j’ai quand même beaucoup plus de facilités à acheter un jeu qu’à aller au cinéma, au théâtre, à un concert ou même au restaurant puisque la gastronomie est citée comme faisant partie intégrante de notre culture. Je peux me fourvoyer mais ce paragraphe hors-sujet me donne l’impression que le but réel de ce communiqué est d’obtenir une dérogation, pas de donner à ces métiers le prestige mérité, c’est dommage !
DuncanIdaho dit :Ok pour le besoin de reconnaissance mais quel rapport avec la crise sanitaire ? Dire que les boutiques restent fermées car le jeu n'est pas reconnu comme produit culturel, c'est très bancal comme raisonnement. A l'heure actuelle, j'ai quand même beaucoup plus de facilités à acheter un jeu qu'à aller au cinéma, au théâtre, à un concert ou même au restaurant puisque la gastronomie est citée comme faisant partie intégrante de notre culture. Je peux me fourvoyer mais ce paragraphe hors-sujet me donne l'impression que le but réel de ce communiqué est d'obtenir une dérogation, pas de donner à ces métiers le prestige mérité, c'est dommage !
ah mais c'est l'unique but de ce communiqué : que les ludistes restent ouverts.
PédroLeRoiduTango dit :DuncanIdaho dit :Ok pour le besoin de reconnaissance mais quel rapport avec la crise sanitaire ? Dire que les boutiques restent fermées car le jeu n'est pas reconnu comme produit culturel, c'est très bancal comme raisonnement. A l'heure actuelle, j'ai quand même beaucoup plus de facilités à acheter un jeu qu'à aller au cinéma, au théâtre, à un concert ou même au restaurant puisque la gastronomie est citée comme faisant partie intégrante de notre culture. Je peux me fourvoyer mais ce paragraphe hors-sujet me donne l'impression que le but réel de ce communiqué est d'obtenir une dérogation, pas de donner à ces métiers le prestige mérité, c'est dommage !ah mais c'est l'unique but de ce communiqué : que les ludistes restent ouverts.
et baisser la TVA peut-être ?
PédroLeRoiduTango dit :Ok, et donc quel est l'argument recevable pour rester ouvert ? Les libraires ont le droit donc pourquoi pas nous ? C'est un peu léger et je ne vois pas le rapport avec une quelconque reconnaissance artistique.ah mais c'est l'unique but de ce communiqué : que les ludistes restent ouverts.
Tous les jours, des corporations demandent des dérogations pour compenser leurs très réelles difficultés. La semaine dernière, les oenologues demandaient à être prioritaires à la vaccination parce qu'ils ne peuvent pas pratiquer en cas de perte d'odorat. Bref, tout le monde tire la couverture à soi mais où sont les arguments sérieux ?
Aquasilver dit :PédroLeRoiduTango dit :DuncanIdaho dit :Ok pour le besoin de reconnaissance mais quel rapport avec la crise sanitaire ? Dire que les boutiques restent fermées car le jeu n'est pas reconnu comme produit culturel, c'est très bancal comme raisonnement. A l'heure actuelle, j'ai quand même beaucoup plus de facilités à acheter un jeu qu'à aller au cinéma, au théâtre, à un concert ou même au restaurant puisque la gastronomie est citée comme faisant partie intégrante de notre culture. Je peux me fourvoyer mais ce paragraphe hors-sujet me donne l'impression que le but réel de ce communiqué est d'obtenir une dérogation, pas de donner à ces métiers le prestige mérité, c'est dommage !ah mais c'est l'unique but de ce communiqué : que les ludistes restent ouverts.
et baisser la TVA peut-être ?
Et faire payer un droit pour l'utilisation des jeux dans des cafés ludiques,pour mieux rémunérer les auteurs ?
Comme c'est le cas pour la musique,le sport , les livres (un livre est payé plus cher par une bibliothèque, même si elle n'a pas de but lucratif).
D'ailleurs la Société des Auteurs de Jeux et certains cafés ludiques militent dans ce sens.
DuncanIdaho dit :PédroLeRoiduTango dit :Ok, et donc quel est l'argument recevable pour rester ouvert ? Les libraires ont le droit donc pourquoi pas nous ? C'est un peu léger et je ne vois pas le rapport avec une quelconque reconnaissance artistique.ah mais c'est l'unique but de ce communiqué : que les ludistes restent ouverts.
Tous les jours, des corporations demandent des dérogations pour compenser leurs très réelles difficultés. La semaine dernière, les oenologues demandaient à être prioritaires à la vaccination parce qu'ils ne peuvent pas pratiquer en cas de perte d'odorat. Bref, tout le monde tire la couverture à soi mais où sont les arguments sérieux ?
"Ok, et donc quel est l'argument recevable pour rester ouvert ? Les libraires ont le droit donc pourquoi pas nous ?"
Oui exactement.
" C'est un peu léger et je ne vois pas le rapport avec une quelconque reconnaissance artistique."
C'est justement parce que l'argument du "et pk pas nous alors ?" est un peu léger qu'il faut arguer que c'est un bien culturel essentiel, qui est un motif retenu par le droit administratif pour laisser ouverts certains secteurs.
C’est quoi la définition d’un produit culturel?
PédroLeRoiduTango dit :DuncanIdaho dit :PédroLeRoiduTango dit :Ok, et donc quel est l'argument recevable pour rester ouvert ? Les libraires ont le droit donc pourquoi pas nous ? C'est un peu léger et je ne vois pas le rapport avec une quelconque reconnaissance artistique.ah mais c'est l'unique but de ce communiqué : que les ludistes restent ouverts.
Tous les jours, des corporations demandent des dérogations pour compenser leurs très réelles difficultés. La semaine dernière, les oenologues demandaient à être prioritaires à la vaccination parce qu'ils ne peuvent pas pratiquer en cas de perte d'odorat. Bref, tout le monde tire la couverture à soi mais où sont les arguments sérieux ?"Ok, et donc quel est l'argument recevable pour rester ouvert ? Les libraires ont le droit donc pourquoi pas nous ?"
Oui exactement.
" C'est un peu léger et je ne vois pas le rapport avec une quelconque reconnaissance artistique."
C'est justement parce que l'argument du "et pk pas nous alors ?" est un peu léger qu'il faut arguer que c'est un bien culturel essentiel, qui est un motif retenu par le droit administratif pour laisser ouverts certains secteurs.
C'est la stratégie globale de la https://www.societedesauteursdejeux.fr/, faire rapprocher le jeu du livre.
Ca avance tout doucement pour les auteurs.
Il me semble que l’argument, c’est la prolifération des jeux dans les librairies. Donc, possibilité d’acheter des jeux en librairie mais pas chez son ludicaire. Pourquoi ?
Après, la vraie problématique, c’est que le gouvernement n’a aucune vision et ne fonctionne que par effet d’annonce, ce qui ne facilite pas la mise en place de mesures adéquates et donc équlibrées. Mais bon, c’est un autre débat.
Je pense, aussi, que le but est de fonctionner “à l’envers” : si on arrive à avoir une reconnaissance culturelle grâce à la crise sanitaire, ce sera plus facile de l’étendre ensuite.
Prince-Baron dit :C'est quoi la définition d'un produit culturel?
Tout d’abord, la complexité du produit culturel vient de sa faible fonctionnalité : sa fonction est avant tout intrinsèque et réside dans son contenu. Cette valeur repose sur des dimensions symboliques, hédonistes et esthétiques.
La première typologie des produits culturels par activités est celle donnée, en 1987, par le « Ministère de la Culture et de la Communication », qui définit quatre ensembles principaux d’expression, de production et de diffusion artistique : – Les services culturels (patrimoine, musées et arts plastiques, spectacle vivant), – La filière de l’écrit (édition de livres, presse), – La filière son (édition de phonogrammes, radio), – La filière de l’image (cinéma, télévision).
(...)
https://www.institut-numerique.org/3-la-notion-de-produit-culturel-52fc9bab27dc2
loïc dit :Il me semble que l'argument, c'est la prolifération des jeux dans les librairies. Donc, possibilité d'acheter des jeux en librairie mais pas chez son ludicaire. Pourquoi ?L'inverse est vrai également : le magasin de jeux de mon centre-ville est actuellement ouvert parce qu'il a aussi un rayon mangas.
Je reposte alors mon mécontentement sur les rééditions des jeux alors …
Les BD, DVD, CD, Livres modifient-ils la création de base d’un produit afin d’y introduire une stratégie commerciale ?
On remarque des préfaces, des bonus faceB, du contenu divers dans la production et distribution des autres produits culturels… mais aucun ne modifient la création initiale.
Pourtant dans le jeu de société, ça se fait : correctif, design différent, mais surtout gameplay modifié semblent être un outil de stratégie marketing… Basé donc sur des formes d’addictions à nos jeux déjà couteux…
C’est très très bien de corriger et d’ajouter du contenu, mais c’est quand même déplacé je trouve. Le minimum serait de proposer alors ces correctifs et réajustement aux anciens…
Pas bien sûr de voir le rapport avec ce communiqué mais bien sûr que si l’oeuvre originale peut être modifiée dans tous ces cas : les albums remasterisés, les livres dont la traduction est revue, les films au montage modifié… Et on ne m’a jamais offert le remplacement ! 
DuncanIdaho dit :Ok pour le besoin de reconnaissance mais quel rapport avec la crise sanitaire ? Dire que les boutiques restent fermées car le jeu n'est pas reconnu comme produit culturel, c'est très bancal comme raisonnement. A l'heure actuelle, j'ai quand même beaucoup plus de facilités à acheter un jeu qu'à aller au cinéma, au théâtre, à un concert ou même au restaurant puisque la gastronomie est citée comme faisant partie intégrante de notre culture. Je peux me fourvoyer mais ce paragraphe hors-sujet me donne l'impression que le but réel de ce communiqué est d'obtenir une dérogation, pas de donner à ces métiers le prestige mérité, c'est dommage !
Cinémas, salles de spectacle et restos sont fermés, non pour leur absence de culture,mais pour leur aspect social (au sens de la rencontre). Dans les cafés-restos, en +, on enlève son masque. Au cinéma, dans l'obscurité, impossible à contrôler qui a son masque.
Au titre de l'aspect culturel, ou juste sur le fait qu'on peut y acheter le produit sans rester 1 plombe et en gardant son masque + qu'il faut bien s'occuper quand on est confinés et/ou couvre-feu-isés, les librairies sont utiles.
Le jeu entre parfaitement dans ces critères.
Le boom de l'an dernier prouve en outre la pertinence du jeu en période de confinement.
Le lobby du jeu étant peu puissant , très peu médiatique et son unité étant très relative, je ne miserai pas un cube d'or ou de bois sur le succès de l'initiative.
D'autant que ce soir, Manu parle. Je doute que ce soit pour nous souhaiter bonnes Pâques !
J’ai été élu 2 fois wallon picard de l’année en catégorie culture. On avance 
Fraisdeau dit :DuncanIdaho dit :Ok pour le besoin de reconnaissance mais quel rapport avec la crise sanitaire ? Dire que les boutiques restent fermées car le jeu n'est pas reconnu comme produit culturel, c'est très bancal comme raisonnement. A l'heure actuelle, j'ai quand même beaucoup plus de facilités à acheter un jeu qu'à aller au cinéma, au théâtre, à un concert ou même au restaurant puisque la gastronomie est citée comme faisant partie intégrante de notre culture. Je peux me fourvoyer mais ce paragraphe hors-sujet me donne l'impression que le but réel de ce communiqué est d'obtenir une dérogation, pas de donner à ces métiers le prestige mérité, c'est dommage !Cinémas, salles de spectacle et restos sont fermés, non pour leur absence de culture,mais pour leur aspect social (au sens de la rencontre). Dans les cafés-restos, en +, on enlève son masque. Au cinéma, dans l'obscurité, impossible à contrôler qui a son masque.
Au titre de l'aspect culturel, ou juste sur le fait qu'on peut y acheter le produit sans rester 1 plombe et en gardant son masque + qu'il faut bien s'occuper quand on est confinés et/ou couvre-feu-isés, les librairies sont utiles.
Le jeu entre parfaitement dans ces critères.
Le boom de l'an dernier prouve en outre la pertinence du jeu en période de confinement.
Le lobby du jeu étant peu puissant , très peu médiatique et son unité étant très relative, je ne miserai pas un cube d'or ou de bois sur le succès de l'initiative.
D'autant que ce soir, Manu parle. Je doute que ce soit pour nous souhaiter bonnes Pâques !
Juste pour nous sonner les cloches? 
Fraisdeau dit :Ca dépend. Si le but est d'être reconnus comme acteurs du paysage culturel français, c'est possible (quand la ministre de la culture aura une autre préoccupation que sortir de l'hôpital bien sûr). Si le but est d'obtenir une dérogation en situation de confinement, nettement moins, d'où ma question initiale sur le but recherché par ce communiqué !
Le lobby du jeu étant peu puissant , très peu médiatique et son unité étant très relative, je ne miserai pas un cube d'or ou de bois sur le succès de l'initiative.
Comme j'ai eu l'opportunité de le dire dans un autre topic dont tu étais l'auteur, je pense que la seule raison qui pousse le gouvernement à laisser les libraires et disquaires ouverts, c'est de couper l'herbe sous le pied d'amazon autant que possible. Je doute que la concurrence d'amazon soit aussi brutale dans le secteur du jeu.
Pourquoi essentiel ?
Pour être classé dans ce qui ne ferme pas, reste accessible en supermarché ?
Mes chaussettes me semblent tout autant essentielles sinon plus.
A moins que… Non… Ce ne doit pas être ça…
Le JdS serait-il un consommable, doté d’une durée de vie limitée à la hype qu’il dégage à sa sortie ?
Et donc… Jetable, oubliable voire à obsolescence pré programmée ?
Oui, dans ce cas là, je comprends que ce soit essentiel de vendre rapidement une boîte toute juste sortie de son conteneur asiatique avant que l’embellie ne refroidisse.
Attention, hein, ne vous méprenez pas. Il y a certes un peu de troll inside mais ouvrons un peu les yeux. Ça pullule de partout, les jeux. Je n’arrive même plus à suivre tellement il en sort. Nous avons tous nos classiques, inoubliables au chaud dans nos coeurs et nos esprits Et ceux là ne sont pas concernés par ma critique.
C’est comme les livres, il en sort… Mais faut pas me raconter que tout est une mine d’or.
Alors, à part l’intérêt économique et donc mercantile, je ne voir guère ce qui est essentiel d’aller s’évader chez son libraire ou son marchand de meeples.
On se rattrapera une fois tout ce merdier terminé.
En attendant, il ne vous reste rien à lire ou à jouer ?