Ça se tient
Agnès s’est rendue au Casino, afin de rechercher le Docteur Francis Morgan.
Elle s’est autorisée quelques verres puis un sbire de la pègre a fait son apparition dans le bar, il la fixait mais gardait ses distances.
Elle s’est ensuite rendue dans la salle de jeu, au début la chance n’était pas de son côté mais elle a fini par tourner.
De retour au Lounge, le chef de salle commençait a montrer une certaine nervosité, Agnès décida de prendre les devants. Elle fit appelle aux forces mystiques à 2 reprises, s’infligeant des blessures mentales, mais infligeant par la même occasion des blessures au chef de salle. Elle profita du fait qu’il soit hébété, pour tenter une attaque, effectivement, il ne pu la parer.
Agnès n’avait plus les capacités mentales pour blesser une nouvelle fois le chef de salle, elle décida donc de fuir, une ruade assez violente car le chef de salle s’étala à terre et ne pourrait jamais plus se relever.
Il était temps d’avancer, le sbire de la pègre allait très certainement refaire son apparition prochainement.
Dans le couloir obscur un malfrat l’attendait et l’attaqua par surprise, mais ayant récupérer ses forces mentales, elle le réduisit au silence assez rapidement. Elle chercha, le Docteur Morgan dans la galerie d’art, mais il n’y était pas.
Le sbire n’était pas loin, elle l’entendait, elle en était sûre maintenant, il la suivait. Agnès décida de “discuter” avec lui, en réalité elle réussit à entrer dans son esprit, le sbire persuadé de se tromper de cible quitta les lieux.
Au quartier VIP, Agnès trouva enfin le Dr Morgan, il semblait en pleine torpeur.
Elle décida, qu’il était vraiment temps de partir. Dans le couloir obscure une abomination fonça sur elle et le professeur. Elle ne voulut pas perdre de temps et préféra fuir par la ruelle.
O’Bannion a un compte à régler avec les investigateurs
les investigateurs ont secouru le Dr Francis Morgan
Victoires 4 → 4 xp
In : 2 Peter sylvestre
Out : Clarté de l’esprit
Aujourd’hui, Agnès Baker s’est rendue à l’Université Miskatonic, afin de retrouver le professeur Warren Rice.
Une fois n’est pas coutume, elle est partie sans arme (ni hâche, ni batte “ben oui pourquoi ?”) et sans sort d’attaque (“oh c’est bon là !!!”), mais heureusement, une nouvelle fois sa connaissance interdite lui sauva la vie (notamment en aidant à tuer un observateur Yithien qui trainait par là)
Peter Sylvestre, qui l’accompagnait aujourd’hui, fut également d’un grand soutien. Il l’aida à s’échapper de “l’expérience” (elle sentait moyen moyen la confrontation) et du “sbire de la pègre” qui avait refait son apparition et qui cette fois l’attaqua par surprise (“relou celui là”).
Elle mis beaucoup de temps à trouver Jazz Mulligan, le concierge en chef. Agnès le dénicha finalement à la maison des étudiants et il lui donna l’accès au dortoir. Ni une, ni deux, Agnès alerta tous les étudiants, mais pas trace du professeur Warren Rice.
Le sbire, jusqu’à la fin, aurait toujours un coup de retard. L’expérience quant à elle…quelqu’un l’aurait-il aperçu depuis ?
Le Professeur Warren Rice a été enlevé.
les étudiants ont été sauvés.
Victoires 3 → 3xp
Les investigateurs ont secouru le Dr Henry Armitage.
In : Charisme
Jenny s’est rendue au club de trèfle (d’ailleurs c’est un peu con d’avoir mis un pique comme logo de scénario ;p) pour vérifier si le Mythe de la banque gagne toujours est bien vrai. Et c’est bien vrai !
Cette fois-ci Leo de Luca était lui aussi de la partie dès l’entrée.
Voyant qu’on fouinait un peu trop dans la rue, le chef de salle est allé voir dehors ce qui se passait. On en profite pour rentrer et glaner des indices au bar. J’apprend en effet que le professeur Morgan était bien dans les parages mais le breuvage que j’ai ingurgité devait être frelaté, il m’a fait perdre énormément de temps tout au long de mes pérégrinations dans cet antre sordide infesté de rats.
Soudain, alors que j’avais découvert la présence d’un couloir obscur, c’est le chaos : une abomination fait irruption dans le lounge, suivie un peu plus tard d’une deuxième cette fois-ci dans le bar, en même temps qu’Izzie…
La bête semble difficile à terrasser. je découvre assez vite la zone VIP mais pas de trace du professeur. J’entends au loin un client appeler à l’aide mais les deux créatures me bloquent le passage.
Le temps presse.
Je découvre in extremis une porte vers la ruelle et m’enfuit.
Le gang O’Bannion a un compte à régler avec moi (alors qu’à part le chef de salle qui s’est fait trucidé par l’abomination je n’ai vu personne de ce clan…)
Le Dr Morgan a été enlevé
3 XP malgré tout
Hier, “Opération Nécronomicon” au musée Miskatonik pour Agnès Baker.
Un départ difficile question indices, Agnès avait pensé aux armes, mais pas à la lampe de poche et son sort d’incantation était apparemment trop bien rangé dans son sac à mains.
Toutefois, Peter Sylvestre et le docteur Henry Armitage sont venus lui prêter main forte dans cette épreuve, un trio de choc !
Une fois son sort retrouvé, (elle en avait même 2 exemplaires dans son sac), les indices ont défilé, le sort de flétrissement à permis de renvoyer dans le néant l’horreur chasseresse plusieurs fois. Agnès a pris le temps de visiter toutes les salles (“très sympa, je reviendrai quand j’aurai un peu plus de temps devant moi”). Tout était favorable, même une fois entrée dans la salle à accès Restreint, l’horreur chasseresse retourna dans l’abîme aussi vite qu’elle en était sortie mais cette saleté revint très très rapidement, avant qu’Agnès ait eu le temps de prendre les indices…et ça ce n’était pas du tout prévu. Ne pouvant enquêter, elle tenta le tout pour le tout, elle changea de pièce (quelques dégats mais elle pouvait encore encaisser) et échappa à l’horreur chasseresse puis retourna dans la salle d’accès restreint. Il fallait croiser les doigts et surtout ne pas faire de bruit, mais…ouf…elle ne se rédressa pas et cela permit à Agnès de prendre les derniers indices et quitter ce musée…des horreurs.
Après une longue discussion entre elle, le Dr et Peter, il fut décidé de détruire le Nécronomicon. Ce n’était pas le souhait d’Agnès, mais bon deux contre une : “OK Brûlez le ce foutu livre…”
Les investigateurs ont détruit le Necronomicon
Victoire 5 → 5 xp
In : Flétrissement
Out : Regard Hypnotique
reste 2 xp
Ah pour le musée on avait le droit de mettre Armitage dans son deck ? Je croyais que c’était pour les scénarios suivants.
Rygel dit :Ah pour le musée on avait le droit de mettre Armitage dans son deck ? Je croyais que c'était pour les scénarios suivants.
Dans l'interlude 1 : Le sort d'Armitage, lorsque l'on a terminé les scénarios 1A et 1B, et que l'on a atteint le sort d'Armitage 2, losque le Dr Armitage a été sauvé donc, on peut l'ajouter à son deck.
Ah mais oui ! Bon je l’ajouterai quand j’irai prendre le train. Merci pour les précisions.
faut quand-même être bien concentré quand on se lance une partie, on a vite fait d’oublier des détails importants.
Petite visite du Musée Miskatonic à la recherce d’un bouquin mystérieux.
Nouvelle ambiance, plutôt feutrée. ça change du vacarme enfumé du club de trèfle !
Evidemment le musée est fermé mais je sais que ma quête est juste et je n’hésite pas à entrer par effraction.
La recherche est assez tranquille. Il y a bien une espèce de créature serpentaire qui vient me chatouiller de temps en temps mais elle ne reste pas bien longtemps.
La quatrième salle d’exposition sera la bonne.
Je regarde l’heure et me dis que j’ai le temps d’aller fouiller d’autres pièces. Qui sait, peut-être que je pourrais en apprendre davantage sur tous ces étranges événements.
Ceci étant une barrière mystique ainsi qu’un brouillard bizarre emplissent le musée, et l’horreur chasseresse revient me faire des léchouilles. Tant pis pour les indices, je m’échappe de l’horreur et retourne vite récupérer le Necronomicon.
Ce livre m’a l’air trop dangereux, il vaut mieux le brûler !
je m’enrichis quand même de 3XP que je décide de conserver.
Le musée c’était lundi dernier.
Entre temps je me suis rendu compte que j’avais pas le droit de mettre un deuxième pari truqué (un seul exemplaire dans la boite de base) donc à la place j’ai upgradé mon pote Léo de Luca.
Ce soir Jenny a pris le train pour Dunwich et le voyage ne fut pas de tout repos, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai frôlé la défaite et les traumatismes à de nombreuses reprises.
Je progresse lentement, me débarrassant d’abord d’un magicien de l’ordre grâce à mon deringer, rebroussant chemin pour prendre sous mon aile un passager paniqué (qui finira quand même par trépasser, aspiré par une griffe de vapeur…). Je perd beaucoup de temps à fouiller les wagons pensant que je trouverais quelque chose d’intéressant.
Je n’ai avancé que d’un wagon quand je retrouve Léo de Luca aussi interloqué que moi par ce qui se passe dans ce train.
Une horreur agrippante nous ralentit. A court de munition, je préfère fuir mais c’est alors qu’une monstruosité émergente fait son apparition à ma droite. Nous voilà encerclé !
Heureusement mes flingues jumeaux sont à portée de main. Cinq munitions feront bien l’affaire…
Trois balles sur deux tours (heureusement que la monstruosité arrive en jeu inclinée) réussiront à libérer le passage.
La locomotive est proche mais chaque wagon est une épreuve. J’arrive à la locomotive bien amochée (6/8 dégâts et 5/7 horreurs). Le souvenir d’Izzy me hante et me fait perdre un temps précieux.
Chaque plongée dans le chaos bag est un stress. Ma main se vide rapidement car chacune de mes actions doit être un succès. Ma lampe torche est propulsée dans l’Au-delà et je prie pour ne pas la défausser.
Tous les wagons se sont envolés et l’horreur agrippante m’a rattrapée dans la locomotive, infligeant au passage des dégâts à Leo, mais ce dernier tient le coup !
Sans munition, je préfère esquiver la créature pour me consacrer à faire redémarrer la locomotive. Mais mes compétences sont trop faibles pour réussir à comprendre son fonctionnement.
C’est alors qu’une deuxième Horreur agrippante fait irruption. N’écoutant que mon courage je parviens à éliminer la première (il ne lui restait plus qu’un seul pv) et fuit la deuxième.
Je piétine à faire redémarrer cette locomotive. Je n’ai plus aucune carte en main et je sens que la locomotive va à son tour être emportée.
Et là le Salut me sauve : je pioche hyperconscience que je pose contre une attaque d’opportunité, ce qui me permet d’esquiver la créature et de récupérer les deux indices manquants en dépensant toutes mes ressources.
OUF !
je termine les mains vides, 8 cartes restantes dans le deck, zero ressource, à deux tours de la fin du scénario, et en ayant vu ma vie défiler à plusieurs reprises.
Finalement j’arrive à Dunwich à l’heure, sans traumatisme, et avec 3XP (un wagon, la locomotive, et la monstruosité émergente.)
Je viens de faire le musée avec Ashcan. C’était pénible…
J’ai réussi à entrer au 4ème tour (entre les -4, les échecs auto, les “tu réussis mais tu reposes un indice”…)
L’horreur a rapidement croqué un morceau de Duke, qui est parti en me laissant seul. Je suis parti à sa poursuite…
J’hésite à arrêter le défi avec Ashcan… (Je recommencerai avec un autre, dans ce cas, hein…)
J’avais un apriori négatif sur lui, qui se confirme, en pire… Je n’aime pas trop le principe du chien, utilisable une fois par tour, sauf à jeter une carte, alors qu’on ne peut rien faire sans.
De plus, la classe survivant est, à mes yeux au moins, une classe de soutien. Un perso X/survivant, ou survivant/X, c’est sympa, mais pur survivant, non, il n’y a pas les cartes qu’il faut pour enquêter ou se battre, et un personnage qui ne sait faire aucun des deux, c’est très limité, surtout en solo…
Morgal dit :Je viens de faire le musée avec Ashcan. C'était pénible...
J'ai réussi à entrer au 4ème tour (entre les -4, les échecs auto, les "tu réussis mais tu reposes un indice"...)
L'horreur a rapidement croqué un morceau de Duke, qui est parti en me laissant seul. Je suis parti à sa poursuite...
J'hésite à arrêter le défi avec Ashcan... (Je recommencerai avec un autre, dans ce cas, hein...)
J'avais un apriori négatif sur lui, qui se confirme, en pire... Je n'aime pas trop le principe du chien, utilisable une fois par tour, sauf à jeter une carte, alors qu'on ne peut rien faire sans.
De plus, la classe survivant est, à mes yeux au moins, une classe de soutien. Un perso X/survivant, ou survivant/X, c'est sympa, mais pur survivant, non, il n'y a pas les cartes qu'il faut pour enquêter ou se battre, et un personnage qui ne sait faire aucun des deux, c'est très limité, surtout en solo...
Rien à voir avec ce défi, mais j avais construit un deck avec Pete sur les scénarios de base. J avais choisi d orienter Pete vers le Mystique avec flétrissement ce qui lui permettait de combattre en autonomie, avec Peter Sylvestre et le Saint rosaire pour bien le booster (ce qui ne fonctionnerait pas dans le cadre de ce défi car il faut au moins les 2 flétrissements). Je lui avais mis quelques armes également et récup. Je voulais profiter à fond du déplacement gratuit de Duke sans perdre trop de cartes. Et ça tournait plutôt pas mal. J ai "éclaté" le dernier scénario de la zélatrice. Pete m avait donc laissé une très bonne impression. Je ne l ai pas testé sur Dunwich. Agnès Baker, je l ai également testé plusieurs fois sur la zélatrice et je n ai jamais réussi à gagner...les cultistes restant me faisant perdre trop de temps. Pour l instant elle fait un très bon départ sur Dunwich, à voir pour la suite, quand elle a le temps d installer son jeu elle est très forte, mais il faut qu elle ait le temps et elle a une action de moins que les autres investigateurs (via Duke et Leo)...
Bonjour !
Je viens de recevoir l’héritage de Dunwich ainsi que les paquets mythes, je me lance donc dans le défi ; j’ai choisi Jenny qui me paraît avoir des stats équilibrées.
Je pense me refaire le scénario de la boite de base, histoire de bien me rappeler des règles et de tester un peu le personnage, et après, je me lance dans la campagne de Dunwich !
Ayant (enfin) un peu de temps ce week-end, je vais me lancer dès ce soir dans le défi avec Jenny Barnes, hésitant toujours quant au scénario à débuter.
Ah mince, j’avais oublié le déplacement gratuit.
Ça ne m’aurait pas aidé hier, quand j’étais bloqué à l’extérieur du musée, mais ça aurait pu être pratique à d’autres moments.
Je m’en souviens très bien, j’ai lu pour la première fois la lettre du Dr. Armitage, un vieil ami, alors que j’étais en train de boire une coupe d’un excellent champagne dans un des salons les plus huppés de Boston.
Le contenu de cette missive laissait peu de doute et transpirait de l’inquiétude du vieil universitaire ; il évoquait une résurgence d’événements étranges et préoccupants qu’il avait lui-même vécus, avec deux de ses collègues, quelques mois en arrière. Ces derniers eurent d’ailleurs mystérieusement disparu lorsque je pris rendez-vous avec le Professeur, et ce fut cette nuit-là, alors que je me mis à la recherche de l’un d’entre eux, que tout commença.
J’entamai mes recherches pour retrouver le Dr Morgan, puisque c’etait de lui qu’il s’agissait, dans un restaurant sordide du centre-ville d’Arkham. Dès mon arrivée dans la Bella Luna, je reconnus un ancien soupirant, qui proposa de me tenir compagnie. Ce cher Léo, toujours en train de faire mille choses à la fois, s’il était un tout petit plus fréquentable… Très rapidement, le restaurant devint infréquentable, en effet, une meute de rats d’un côté, et un gangster balafré mais relativement bien habillé eurent tôt fait de me faire quitter ce lieu.
J’eus bien vite compris que cette gargote n’était qu’une couverture d’un clandé. Les choses sérieuses commencèrent réellement dans ce " Club de Trèfle", où je jure qu’on ne m’y prendra plus à y retourner. Bon, pour m’intégrer à la faune présente dans cet horrible endroit, je bus un verre et jouai quelques monnaies dans un jeu d’argent sans intérêt. Grand bien me fasse puisque les clients de la salle de jeu m’en apprirent plus sur le Dr Morgan.
Mon petit manège avait tout de même attiré l’attention et deux vauriens, dont celui croisé dans le restaurant, qui visiblement me suivaient, voire me pourchassaient, me passèrent à tabac dans un coin sans que personne ne bouge. J’ai dégusté. Encore une rouste comme celle-là et ça aurait été direction les urgences de l’hôpital.
Okay, ils ont cherché la bagarre, je me suis fait fort de leur rendre la monnaie de leur pièce. Je m’isolant seule dans une pièce, sortis mon calibre .45 ainsi qu’un chargeur de contrebande supplémentaire, ma torche électrique (super pratique), en profitai aussi pour étudier ce lieu, puis je sortis pour les descendre un à un dans un couloir obscur. Ils avaient de toute facon décidé de me régler mon compte. Léo m’aida beaucoup à vider mes chargeurs. Plutôt eux que moi.
Le calme était retombé, me laissant le temps de fouiner les alentours à la recherche de ce cher Francis. Alors que je le trouvai, complètement hypnotisé et absent, dans une pièce pour le moins étrange, j’entendis un fracas dans le lounge du Club. Quelque chose ne tournait pas rond et j’entrepris de faire reprendre ses esprits à Francis pour pouvoir m’échapper rapidement avec lui par une ruelle que j’avais repérée tantôt. Léo prit la poudre d’escampette alors que je m’occupai du jeune et beau Docteur, il m’a promis qu’on se reverrait (je l’espère).
Juste avant la sortie, nous vimes … je ne saurais le décrire … une sorte de plasma mouvant multicolore qui grouillait vers nous. N’ayant pas tellement envie d’en savoir plus, Francis et moi primes la fuite par la ruelle et laissâmes loin derrière nous cet infâme endroit.
Le gang O’Bannion à un compte à régler avec les investigateurs
Les investigateurs ont secouru le Dr Morgan.
4 PX (Chef de salle, Zone VIP, Ruelle, Galerie d’Art)
(+) Débrouillard, Adaptable (désolé, Chakado, mais je vais beaucoup modifier le deck proposé)
(Adaptable : + Entraînement Physique + Présence d’Esprit; - Hyperconscience - Vol à la Tire)
edit: correction (essai)
Pas de trace de mon beau Léo lorsque, sur les conseils inquiets de Henry Armitage, je me rendis à l’université Miskatonic pour chercher le gros Warren Rice. Léo n’a jamais trop aimé l’université, moi non plus d’ailleurs, et encore moins en pleine nuit.
Fort heureusement, le gentil Docteur Francis (nous nous appelons par nos prénoms depuis les évènements du Club de Trèfle) est là pour me guider et m’aider, après tout, c’est son lieu de travail.
À cet heure tardive, pas facile de mener l’enquête, nous nous promenèrent à travers les couloirs déserts des bâtiments universitaires et des bibliothèques poussiéreuses, mais aucune trace du Professeur de Langues. Nous eûmes la drôle de sensation de ne pas devoir trop nous attarder dans ces lieux car une sorte de … appelons ça “menace sourde et diffuse” était en train de nous priver de toute nos ressources. Très difficile à décrire, mais clairement malsain comme sensation.
Un jeune garçon timide à la peau grasse, croisé près du lieu où vivent les étudiants du campus me suggérait de m’adresser au concierge de l’université pour en savoir plus, mais à peine sommes nous sortis de la Maison des Etudiants que nous vimes une forme paranormale sortir d’un autre bâtiment au loin, se dirigeant vers nous rapidement.
Après ce que j’ai vécu dans le club du centre ville, je décidai de rester sur le perron de la Maison et j’ouvris ma flasque de whisky afin de me donner du courage. Francis était à mes côtés et je m’apprêtai à réserver quelque surprises à cette chose, si toutefois elle se montrait hostile.
Alors qu’elle se tenait au milieu de la cour de l’Université, un rayon de lune révéla à quelle abomination nous fûmes confrontés. Je ne sais pas ce qu’elle projetait de faire en réalité, nous attaquer ou s’en prendre aux pauvres étudiants qui dormaient pour la plupart paisiblement dans les dortoirs derrière nous, une chose est sûre, une telle horreur ne méritait pas d’exister, et nous allions nous faire fort de la faire disparaître.
De façon très subtile et délicate, je pris en main trois bâtons de TNT, Francis mis le feu à la mèche et je lançai l’explosif dans sa direction alors que la bête était encore assez éloignée de nous. Cela la blessa sérieusement mais elle se rapprochait encore, et c’est à ce moment que je vidai le chargeur de mon pistolet automatique (de façon tout aussi subtile). La bête s’effondra à nos pieds.
Sauf qu’initialement, j’étais venu pour m’enquérir du gros Pr. Rice, et pas pour tapisser la cour de l’Université des entrailles de je ne sais quelle bestiole mutante…
Force fut de constater que Rice avait été enlevé. Nous retournâmes donc voir Armitage pour lui raconter les évènements de la nuit et pour en savoir peut être un peu plus.
(je me demande si le fait que Francis m’épaule dans cette investigation n’a pas rendu le pauvre Léo un peu jaloux. Je vais mettre les choses au point avec ces deux là pour qu’il n’y ait pas de malentendus)
Le Professeur Warren Rice a été enlevé.
L’Experience a été vaincue.
Les investigateurs ont secouru le Dr Henry Armitage.
3 PX (Bibliothèque Orne, l’Experience)
(+) Charisme
(Adaptable : + Loup Solitaire + Quitte ou Double ; - Contrebande - Dextérité)
Sympa tes compte-rendus et avec les photos de ton setup ça rend encore mieux.
En revanche, ne le prend pas mal mais le passé simple c’est pas ça du tout et il y a des soucis de concordance des temps.
Petit rappel : à la première personne du singulier les verbes du premier groupe se terminent en -ai.
Je vois bien pourquoi ce choix du passé simple mais je pense que tu gagnerais à écrire au présent.
Sinon rien à voir mais la carte adaptable ça marche comment ? On la met dans notre deck, ça nous pourrit une draw mais en contrepartie on peut échanger deux cartes gratos ?
Et on peut échanger des cartes dès l’achat d’adaptable, il faut pas attendre la fin du scénario suivant ?
dernière question : après ton scénar de l’université je vois que tu as pris charisme mais sans rien enlever en échange ? oubli ou c’est normal ?
Sinon rien à voir mais la carte adaptable ça marche comment ? On la met dans notre deck, ça nous pourrit une draw mais en contrepartie on peut échanger deux cartes gratos ?
Et on peut échanger des cartes dès l'achat d'adaptable, il faut pas attendre la fin du scénario suivant ?
dernière question : après ton scénar de l'université je vois que tu as pris charisme mais sans rien enlever en échange ? oubli ou c'est normal ?
Pour adaptable oui tu peux des l achat de cette carte l 'utiliser.
Les cartes avec la capacité "permanente" ne comptent pas dans la taille du deck et entrent en jeu directement (on ne les pioche pas). C est le cas de charisme et adaptable...pour répondre à la question, oui c est normal.
Aaah c’est bien plus fort que ce que je pensais alors !
ça laisse de bonnes options d’amélioration de deck.
ça tombe bien j’ai 6 XP en réserve avant de visiter Dunwich