Selon toute probabilité, nous laisserons 3 semaines pour faire cette 3ème étape, donc jusqu’au 1er septembre.
Ceux qui auraient oublié : l’information des cartes fatigues est en “grisé” à coté de votre coureur dans la liste des inscrits en page 1.
Un fort habile code couleur vous permet d’avoir une idée de l’état de vos concurrents.
Merci !!!
Bon, c’est moyen tout ça. Toujours dans le ventre mou. Je vais devoir monter le ton pour les pousser au c**.
OUi !! enfin mon fabuleux talent a été justement récompensé…comme quoi il suffit de faire une course sans adversaire pour que je gagne 
Sincèrement je pense que le coup de virer mon équipier qui n’avait plus de jus dans la descente a été le coup tactic qui m’a permis de m’imposer. Et c’est la première course où tout s’est passé comme prévu.
Sinon pour le test antidopage, je vous envoie les coéquipiers NOIRmont et RouGET et si l’un d’eux se retrouve positif à un quelconque produit, cela sera à l’insu de mon plein gré 
Britain : (événement météo + sprint intermédiaire)
Mise en place :
Retour à la mise en place classique, d’abord les bot comme suit :
Puis vos cyclistes pour complété la grille de départ dans l’ordre de votre choix.
POUR LES CARTES FATIGUE :
On reprend celles d’avant le contre la montre (soit ce que vous aviez après Station des Rousses).
M.Pingouin vous fournis un aide mémoire en page 1 (comme il l’explique plus haut).
Il vous faut surligné à droite des noms de vos coureurs.
(si vous ne pouvez surligner, par exemple sur tablette ou mobile, utilisez l’option citer (sans rien poster) pour l’afficher tout en évitant de trop zyeuter chez les autres concurrents. M.Pingouin préfère que vous les jaugiez via son code couleur)
Sprint Intermédiaire :
Le circuit est un peu court ? C’est normal. Il faut effectuer deux tours !
(ne vous inquiétez pas la distance parcourue est calculé pour pouvoir l’effectuer avec vos paquets de cartes standards)
La première fois que vous franchissez la ligne d’arrivée c’est un sprint intermédiaire :
Comme pour un PK, seul le premier cycliste de votre table à franchir la ligne doit être répertorié.
Cependant, cas exceptionnel, il faudra compter le nombre de cartes que ce cycliste a utilisées pour savoir à quel tour il a franchit le sprint, ainsi que le nombre de case parcourue au delà de la ligne. Note : contrairement au finish, vous n’êtes pas bloqué à la fin de la tuile.
(Inscrivez ceci sur un post-it ou autre, comme à votre accoutumé, en vu du remplissage du formulaire ici. La rubrique du sprint se situe sous celui de la montagne, jetez y un oeil)
Points du sprint : parmi tout ceux ayant franchit le sprint en tête à leur table, on différencie les plus rapides.
Le meilleur gagnera 10 pts, le second 9pts, le troisième 8 pts, etc… jusqu’à un minimum de 3pts pour le 8e et les suivants.
(les cyclistes ne s’étant pas démarqué à leur table ne marquent aucun points)
L’événement météo :
Nous voilà chez les bretons : (lien vidéo)
1er tour : Brouillard !
- lorsque vous prenez une fatigue, ajoutez la sur le haut de votre pioche.
pas évident d’ouvrir la route avec cette purée de pois…
(bien évidemment les bots eux ne prennent toujours pas de fatigue :p)
2nd tour : le brouillard se dissipe.
(et non il ne se met pas à pleuvoir, faut arrêter les clichés)
- dès que la ligne de départ du second tour est franchie par au moins l’un des cyclistes, vous pouvez désormais jouer de nouveau normalement en plaçant les fatigues reçues face visible sous la pioche.
Finish :
A l’issue du second tour lorsque vous franchissez la ligne d’arrivé c’est la fin de l’épreuve. Comme lors d’une étape standard vous ne pouvez alors pas dépasser la dernière case de la tuile U.
Notez que le barème de fin de course attribue beaucoup de points pour le maglia cyclamen sur cette étape plane.
(à vous de voir comment géré le sprint sans pour autant entamer vos chances de vous classer sur l’étape)
Les résultats doivent parvenir à M. Pingouin, au plus tard le 1er septembre 2018 pour être pris en compte.
(N’oubliez pas cependant que le système de la photo finish départage pour le classement par points en faveur des plus assidus ne trainant pas la patte)
Le formulaire est là.
(Considérez que c’est l’étape n°3)
Bonne course !
Comme d’hab, je concède les égalité de la photo finish en faveur de tout ceux ayant effectué leur course durant la première semaine. (Pour compenser le fait que j’inaugure plus facilement l’épreuve, puisque que j’en établis les règles)
Résumé de ma course :
Une étape folle ou le rythme de course est effréné, je parvient à rester à l’abri du baroudeur tout en allant à vive allure et en bénéficiant de quelques aspirations entre Rhéa et Séléné. Je décide de me placé en tête le tour avant de franchir la ligne de sprint.
Le sprinteur ECO qui était jusqu’à lors plutôt au fond a bénéficier de nombreuse aspi, lance son 9 et est en embuscade derrière mes cycliste au côté du rouleur de son équipe. Le Peloton formant une queue juste derrière eux avec mon domestique.
Mes cartes pour la sprinteuse devant sont plutôt faiblarde (le brouillard ne m’ayant pas aidé). Séléné joue un 4, et Rhéa va sans doute lui passer juste devant avec son 6. Je me dit « c’est pas celle que j’envisageais mais temps que c’est l’une des deux…».
Je regarde donc ce que font les adversaires… un poursuivant lance une attaque (heureusement celui ci est assez loin à l’arrière, pas trop d’inquiétude même si il franchira dans le même tour).
La tension est au niveau de l’équipe fantôme, et bien que le rouleur ne puisse plus me doubler même en sortant un 7, il reste le sprinteur eco.
Et que vois je ? Un second 9 d’affilé ! Incroyable, le sprinteur ECO me coupe l’herbe sous le pied, stupéfaction !
Je me console du fait qu’il m’offre une aspiration mais bon 
Stefano Sovedeso a d’ailleurs + profiter du peloton que Séléné jusqu’à présent et il est donc en meilleur forme à cette moitié de course.
Donc cela promet pour la suite, mais pour autant, les organismes vont ils indéfiniment tenir le rythme ?
(Mon domestique à bien compris qu’il ne pourrait être d’aucune aide étant dans le groupe des retardataire et lâche l’affaire une fois le premier tour bouclé)
Alors que le brouillard se dissipe peu après (ligne de départ franchie), le tempo redevient plus raisonnable, les cyclistes essayent de s’économiser pour le grand finish.
Et bien, on aura beau être resté dans la roue de Stefano, ce dernier nous mit une mine (avec un 9) encore au bon moment (juste de quoi avoir deux espaces entre le groupe et lui) à l’approche du final et en franchissant (pile poil avec un 5) le coup suivant restant sur l’élan pour finir en beauté les bras levés.
Stefano Sovedeso à donc dominé la scène… mais en même temps c’était l’étape où il devait faire un coup d’éclat, car il va se faire discret pendant les trois épreuves de montagne à venir.
Syr99 dit :OUi !! enfin mon fabuleux talent a été justement récompensé...comme quoi il suffit de faire une course sans adversaire pour que je gagne
Heureusement que t'as fait des photos souvenirs !
Bon, ben puisqu’il faut s’y mettre tôt…
le peloton partant aux aurores, il ne faut pas s’étonner qu’il soit pris dans le brouillard
Bernard Rhino est fidèle à ses habitudes, mais il se fait très rapidement rattraper par un peloton compact et emmené par le fiidèle équipier de l’AlcaTorda.
Staska Kowalski fait le pari que l’équipe Eco va accélérer, aussi ne prend-elle pas le risque d’être distancée dès le début.
Pari perdant, puisqu’elle se retrouve à tirer le peloton, peut-être au pire moment !
Elle laisse prudemment Rhino reprendre les commandes pour ne pas s’user prématurément…
avant de placer une accélération foudroyante sur le sprint intermédiaire, qui étire bien le peloton !
Mais il s’agit peut-être de points chèrement gagnés, car la sprinteuse a beaucoup puisé dans ses réserves, tandis que les équipes AsPhalTe et Eco lancent la machine… AlcaTorda reste solidaire, mais glisse inéluctablement en queue de peloton…
L’équipe AsPhalTe au complet est dans une forme insolente, et parvient à accélérer encire le rythme, au point de lâcher tout le monde sauf le vaillant Raymond Coquiveille, qui s’accroche !
Mais il sera dit que rien ne pouvait inquiéter l’équipe en noir aujourd’hui. La tactique de rotation bénéficie à nouveau à plein, et Pierre Mince prend son envol à quelques encablures de l’arrivée, tandis que Rico Lamiré tente la jonction !
Le réveil de l’Alca Torda sera beaucoup trop tardif, et c’est détaché que l’ancien Maillot Jaune franchit la ligne d’arrivée
Derrière c’est l’embouteillage, et les rouges doivent se résoudre à des places assez piteuses, mais à l’issue d’une étape menée à un rythme incroyablement rapide et, surtout, à l’accélération constante ! Heureusement, l’arrivée groupée leur a permis de garder des forces pour la suite de l’épreuve… Aux classements, le pari du sprint intermédiaire était-il un mauvais choix ? L’avenir le dira…
Nota : quant à moi, contrairement à Vicen je ne concède aucune égalité… j’ai déjà du mal à bien figurer !
(Message de background n’apportant aucune règles supplémentaires…)
Annonce radio :
Bonjour, il est 6 heures, voici la dépêche :
Le coach barbu de l’équipe AsPhalTe a signalé ce matin qu’une tenue de son équipe avait été subtilisée par un individu. Il aurait eu le temps de distingué un badge commençant par les lettres “FI”.
Ce qui corroborait avec le témoignage anonyme, de quelqu’un signalant un individu louche, avec un badge dont les initiales finissaient par “ST”, brancher son vélo à une prise peu avant le vol, pas loin de l’incident.
Nous en sauront peut être + à la fin de cette étape. Restez vigilant.
Je sais pas vous, mais j’ai l’impression de reconnaitre le type suspect sur les photos de monsieur pingouin, y aurai pas un logo FICST sous le chemisier du poursuivant ?
J’aperçois le S du logo.
Après un prologue moyen, après une 2ème étape, usante pour Rózsa, et qui n’a pas payé, et après un contre la montre décevant (je pensais avoir fait une bonne étape…pour pointer au final à la 32 et 33ème place… ), c’est un peu dépités que Sipos et son coéquipier prennent le départ de cette étape. Rózsa préférant prendre du repos pour la suite.
Objectif: éviter de se cramer et voir les opportunités qui se présentent durant la course.
Et pour une fois, ça s’est présenté pas trop mal (enfin je crois…).
1er tour dans le peloton pour Sipos et son coéquipier, tout en profitant des aspirations, puis 2 grosses attaques de Sipos pour décrocher les points au sprint intermédiaire!
Récupération tout de suite derrière afin de se débarrasser de la fatigue et pour attendre le coéquipier.
2ème tour un peu plus en retrait mais sans trop se faire distancer grâce au complice qui fait bien le job.
Sipos reste donc à l’abri avant de lancer son sprint final qui le fera malheureusement s’échouer derrière la ligne d’arrivée, n’arrivant pas à reprendre le gros rythme en fin de manche d’un des coureur de l’équipe Asphalte.
Heureusement il lui restait encore un peu de jus pour prendre la deuxième place juste devant le rouleur éco.
Au final, 1er au sprint intermédiaire et une 2ème place à l’arrivée, le tout en étant encore frais pour la 4ème étape qui s’annonce difficile.
Espérons que le sacrifice de Rózsa sur celle-ci sera bénéfique…
En tout cas satisfait de cette étape pour le moment mais j’attends de voir les résultats et les temps surement encore impressionnants des autres concurrents…
A bientôt pour la prochaine
@Picz
je ne veux pas divulgâcher mais, pour le moment, l’option Gruppetto semble plus payante que sur d’autres étapes…
On verra bien… Mais de toute manière je n’avais pas vraiment le choix! Rózsa était complétement HS et vu les prochaines étapes, je vais avoir besoin de lui frais et dispo 
Avec cet épais brouillard, l’équipe ZIC décide de partir sur un rythme des plus tranquille.
(photos prises avant la phase aspiration)
Toujours bien à l’abri…
Nous assistons cependant à un regroupement suite au sprint violent de Pierluigi qui saute Bernard Rhino sur la ligne du sprint intermédiaire.
Pierluigi accuse alors le coup et le peloton laisse sortir Stefano Sovedeso.
Qui n’en rajoute pas.
Roberto Cana opère un rapprochement tandis que Santana Ranzabal semble payer la fatigue accumulée jusqu’alors.
Raymond Coq tente alors une échappée en solo difficilement maitrisé par Roberto Cana.
A l’approche de l’arrivée Roberto Cana est idéalement placé dans la roue de Raymond Coq…
Mais celui-ci en a encore sous la pédale et Roberto devra se consoler d’une place de second.
Pierre Mince décroche une place sur le podium.
Santana Ranzabal arrive avec le Grupetto passant même la ligne a l’avant du Grupetto…n’importe quoi !!!
Course jouée ce midi. Je ne vais pas faire mon boulet à chaque étape quand même
Le premier tour se résume à un sprint massif de l’équipe asphalte, dont le baroudeur remporte le sprint intermédiaire après 6 tours! Simone n’a jamais pu rivaliser, elle a même été un peu distancée après le premier virage.
De manière générale, j’ai du mal à jouer les sprints intermédiaires ou les cols, tant pis, je me rabattrai sur le général
Je n’ai pas trop été géné par le brouillard, je n’ai pris qu’une CF sur le premier tour (je me suis rattrapé sur le 2è…). ça aurait été plus violent avec une autre règle que j’avais lu parmi les variantes (de vicen il me semble): prendre seulement 3 cartes au lieu de 4. Mais j’adore vraiment toutes ces spécificités de course. J’avoue que j’avais eu un peu peur quand j’avais lu les règles de cette 2è saison, mais c’est très plaisant et si je peux me permettre, ça roule tout seul 
Quoiqu’il en soit, Simone, protégée tout au long des 3/4 de la course, claque 2 9 à la fin pour franchir seule la ligne.
Robert pour qui ça a été un peu plus compliqué, finit un tour après grace à une double aspiration. ouf!
Merci beaucoup Mr pingouin et Mr Vicen pour ce que vous faites
bilbokristof dit :
Merci beaucoup Mr pingouin et Mr Vicen pour ce que vous faites
Quant à moi, je suis ravi de toutes les participations enthousiastes
Quelques jours après la belle performance de l’équipe EPO dans cette 3ème étape, retour sur les moments forts de ce grand moment de sport !
Deux coureurs tentent de s’échapper dès les premiers virages du tout premier tour ! Stefano Sovedeso, le sprinteur de l’équipe Poumon, très loin au classement général, cherche visiblement à profiter de la n-ème échappée de Bernard Rhino pour défendre ses chances au classement par points. Les deux coureurs s’entendent bien dans les premiers mètres, et le brouillard aidant, ils prennent une belle avance sur le peloton.
Malheureusement pour eux, la machinerie de la super-équipe AsPhalTe se met à leur poursuite ! Il faut dire qu’ils l’ont mauvaise, les superstars de la route, d’avoir perdu le maillot jaune et Pierre Mince compte bien faire le nécessaire pour le reconquérir (tout en prenant encore plus d’avance dans le classement par points, qu’il domine déjà très largement). PierLuigi Gruppetto emmène donc un train d’enfer pour boucher le trou et c’est un peloton compact, bien que bien étiré, qui s’approche du premier sprint intermédiaire.
Rhino se laisse rattraper par son équipier pour le faire profiter de son aspiration et c’est avec un gros coup de bambou que Pierre Mince décolle Sovedeso sur la ligne. Grosse déception pour le sprinteur Poumon, qui aura du mal à se remettre de l’échec de sa tentative d’échappée et qui finira la course en roue libre.
Derrière, Gruppetto paie son effort et traîne les boulets de l’équipe EPO, au petit train en toute fin de peloton depuis le début de cette étape.
En mauvaise forme les deux coureurs rouges ? Seigneur Lajabert semble bien en peine sur ce sprint, qu’il n’a même pas disputé… Pire encore, le sprinteur EPO cale complètement sur la ligne, laissant le peloton lui mettre plusieurs longueurs dans la vue… heureusement pour lui, son équipier Le Belanc l’attend et le garde au chaud.
Une fringale ? Un coup de mou ?
En fait, rien de tout ça, les coureurs de l’équipe rouge ont tranquillement géré leurs efforts pendant que les autres équipes s’écharpaient devant et se fatiguaient dans le brouillard. Bien au chaud au fond du peloton durant tout ce premier tour, ils ont gardé toute leur énergie pour se lancer à l’attaque dès le second tour.
Ainsi on voit vite Richard Rivenque, qui se sent pousser des ailes après le ravitaillement, se replacer dans les premières places du peloton à la sortie du premier virage de ce second tour.
Dans les roues de l’équipe AsPhalTe, le rouleur EPO se fait discret, attendant le retour de Lajabert pour filer aux premières places.
Et c’est à ce moment là que les efforts fournis par les autres équipes se font sentir : Pierre Mince doit lui-même assurer le rythme derrière le train d’enfer des deux coureurs EPO (leur porteur de bidon, Le Belanc, paiera lui aussi les efforts consentis en finissant loin derrière le peloton).
Et coup de tonnerre sur le tour, le super sprinteur craquera dans le sprint final ! Incapable de suivre le rythme, Pierre Mince se voit distancer par Rivenque et Lajabert !
Et alors même qu’on pensait voir le sprinteur officiel remporter cette étape, c’est Rivenque qui finit à la 1ère place ! Le rouleur EPO était dans une forme olympique aujourd’hui, parvenant à surclasser les sprinteurs du tour d’europe dans une étape de plat ! Nous sommes allés le questionner pour en savoir plus sur sa performance.
"Alors monsieur Rivenque, belle victoire aujourd’hui ! Vous qui jusque alors aviez énormément peiné à suivre le rythme des leaders, vous voici qui dame le pion à tous les sprinteurs sur cette arrivée en ligne. Vous auriez pas salé la soupe des fois ?
- Hein ? Moi ? Saler la soupe ? Jamais jamais… je préfère le sucré moi d’abord… Alors s’il y avait du sel dans ma soupe, c’était à l’insu de mon plein gré.
- Vous êtes extrêmement mal placé pour le moment au général. Pensez-vous pouvoir tenir ce rythme et avoir une chance de mieux figurer par la suite ?
- Moi vous savez, je joue la course au jour du jour hein ? Si j’ai les jambes je roule, et si j’ai pas les jambes, bah je roule, mais en moins vite… Je suis désolé, je dois vous laisser, j’ai mon médecin qui m’attend pour ma transfusion. "
Et le mot de la fin pour monsieur Rwain, le directeur sportif de la Team EPO :
"Ah là là, j’adore quand un plan se déroule sans accroc. Je leur ai dit, les gars, vous êtes des gars du sud, le brouillard, vous connaissez pas ! Alors laissez les nordistes rouler devant. Et j’ai bien insisté hein, le Richard, il arrête de sauter sur tous les sprints pour aller faire l’aumône des primes, il reste dans les roues du luccho… C’est le Luccho qui mène le train tout le premier tour, à se faire traîner la langue par terre s’il le faut, mais mes deux leaders, je les veux dans la roue de mon porteur de bidon. Et après, ils y mettent un coup !
Et paf, ça a marché ! Ils y ont mis un coup cette fois !
Et je veux pas entendre parler de ces histoires de saler la soupe que vous répandez hein ? Moi, je défends les valeurs fondamentales du vélo : l’Etiqueté, la Propreté et l’Onéteté ! Je leur dis tous les jours à mes coureurs, “les bidons d’EPO qui sont dans le frigo, vous n’y touchez pas !” On la joue propre nous ! "
EPO…
Top !
bilbokristof dit :
Je n'ai pas trop été géné par le brouillard, je n'ai pris qu'une CF sur le premier tour (je me suis rattrapé sur le 2è...). ça aurait été plus violent avec une autre règle que j'avais lu parmi les variantes (de vicen il me semble): prendre seulement 3 cartes au lieu de 4. Mais j'adore vraiment toutes ces spécificités de course. J'avoue que j'avais eu un peu peur quand j'avais lu les règles de cette 2è saison, mais c'est très plaisant et si je peux me permettre, ça roule tout seul ;)
Concernant le brouillard j’ai changé son effet car la pioche de trois cartes est utilisée dans l’extension météo officielle à venir pour le vent de face.
Par ailleurs, le brouillard étant surtout gênant pour le leader qui ouvre la voie, j’ai trouvé ça plus thématique de faire que se soit la fatigue directement piochée qui réduise le choix dans la main.
Puis l’handicap n’est pris que si le joueur fait le choix de s’exposer. Le joueur garde donc + le contrôle, c’était important pour que le sprint intermédiaire ne soit pas qu’une histoire de chance.
Merci, oui c’est un peu effrayant ce gros pavé et ces petits points de règles. Mais à l’usage le deck baroudeur/poursuivants est très simple (et il réduit le nombre de deck à manipuler). Le grimpeur une fois le deck construit, y a plus qu’à faire comme si pour lui les montées n’existaient pas*. Et pour le sprinteur eco, et bien dès qu’il fait une grosse bêtise qu’un joueur ne ferait pas, on le corrige.
*(entre le grimpeur et le baroudeur, on peut s’estimer très heureux qu’en on rafle un PK)
@TaigoBee : Je sais plus si je te l’ai déjà dit, mais je trouve ton idée des élastiques vraiment géniale.
J’avais un élastique bleu pour le baroudeur mais trop long, cela l’aurait trop alourdi.
Course haletante. Après un départ rapide pour tout le monde, mes coureurs sont restés derrière leur coéquipier et dans le peloton. Autant dire que le brouillard n’a pas gêné. Le baroudeur ne sera d’ailleurs pas resté devant bien longtemps.
Je décide de préparer mon sprinter et lance 2 accélérations pour le sprint intermédiaire. Il passera premier. Mais je crains alors une méforme au second tour.
Mais à trois on est fort et mes coureurs resteront bien dans le rythme du peloton et derrière leur coéquipier qui aura fait son taf jusqu’au milieu du second tour. Après quelques aspirations je me suis même permis de lever le pied pour éliminer quelques cartes fatigues.
Derriere une equipe eco en forme mais chancelante, j’amorce l’accélération de mon rouleur derrière celle de mon sprinter (sa dernière), mais les poursuivants sont dans le rythme aussi. Continuant son accélération mon rouleur se retrouve devant la ligne d’arrivée avec le rouleur eco.
Au dernier tour mon rouleur passera devant d’une case mais l’accélération des poursuivants m’aura fait peur jusqu’au bout en finissant deuxième sur la même case que mon rouleur.
Mon sprinter ayant bénéficié d’aspiration bienvenue finira la course dans le même tour, certe à la dernière place pour une arrivée très serrée. Mais avec que des 2 restants, une victoire au sprint intermédiaire, et s’étant au final débarrassé d’une fatigue, je me dis qu’il ne pouvait guerre faire mieux.
Edit: et j’ai bien pensé à me rajouter une carte fatigue à l’arrivée. 