Du prix des jeux... dans les grandes surfaces

HS Mr BdC ;) Ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit ! Ce n'était pas une critique de ce jeu, il est très bien ce jeu. Je parle d'ampleur de l'offre avec ampleur, il y a diversité et donc des jeux pour tous les gouts !

Ma seule crainte perso est là dessus : la diversité de l'offre de jeux de société...

La diversité c'est + compliqué à gérer, + lourd donc amené à disparaitre... sans le prix fixé du livre, il n'y aurait quasiment plus de librairie spécialisée aujourd'hui. Hors la "sélection" livre d'un super marché, je suis désolé mais cela ne me suffit pas. Je me contre fous du dernier livre sur Loana et sa piscine.

Je perçois le fait de marginaliser tout ce qui n'est pas grand public ou vendeur comme un risque pour la diversité et la pluralité. Mais bon encore une fois, je suis ni optimiste ni très callé pour en parler.

Boule de cristal dit:Tap coco c'est plus facile à vendre mais aussi plus facile à jouer.
Ca reste le jeu préféré de mon gamin et pourtant, il en voit passer des jeux.
BdC

cberg dit:Ma seule crainte perso est là dessus : la diversité de l'offre de jeux de société...


Quand je compare l'offre actuelle par rapport celle d'il y a dix ans, on peut dire que de la diversité, il y en a maintenant.
Quand j'ai redécouvert le monde des jeux il y a quelques mois, j'étais bien étonné par tout ce choix !

Entre autre grâce aux auteurs qui créent leur propre maison d'édition : Toodoo, Lui-même, La Haute Roche et j'en passe...
Quand j'achète un jeu, il faut que je fasse des choix, je ne peux pas tout avoir, car sinon, je n'aurais pas le temps d'y jouer.

cberg dit:e perçois le fait de marginaliser tout ce qui n'est pas grand public ou vendeur comme un risque pour la diversité et la pluralité. Mais bon encore une fois, je suis ni optimiste ni très callé pour en parler.


Mais .... Hypermarché ou pas hypermarché , le jeu de société est déjà marginalisé. A fond, même ! Ca va pas le marginaliser encore plus, si ?

Moi je me dis que le gars qui achète de bons jeux en supermarché il prendra peut être plus gout à jouer que le mec qui y achète toutjours la même daubasse usée jusqu'à la corne.

Non ?

Pas faux ça... je m'incline ;) 8)

ReiXou dit:Mais .... Hypermarché ou pas hypermarché , le jeu de société est déjà marginalisé. A fond, même ! Ca va pas le marginaliser encore plus, si ?
Moi je me dis que le gars qui achète de bons jeux en supermarché il prendra peut être plus gout à jouer que le mec qui y achète toutjours la même daubasse usée jusqu'à la corne.
Non ?

Il est évident que les GMS proposent assez souvent des tarifs compétitifs, et les magasins ont bien du mal à s'aligner. En contrepartie (en tout cas, ceux chez qui je fais mes courses) proposent un accueil, un conseil, une recherche sur des nouveautés et si on leur demande un truc particulier, ils feront l'effort de le trouver. Effectivement, je ne fais pas que des économies en fonctionnant comme cela, mais plutôt que de ne regarder que mes sous ou mon nombril, j'essaie d'imaginer le jour ou il n'y aura plus que des GMS, avec un monopole total et une concurence de façade!
Ce jour là, plus rien ni personne ne les obligera à être attractif par le prix de vente. Plus rien ne les obligera à négocier avec les fournisseurs puisqu'ils seront les seuls à acheter, ils seront donc les seuls à dire combien ils achètent et combien ils vendent! Oyé, Oyé braves gens économisez vos sous, demain dans un monde ou il n'y aura qu'un employeur, qu'une chaine de magasins et qu'une pensée unique pour les sous, vous en aurez encore plus besoin!
Ceci est une réaction destinée aux internautes imaginant que moins la vie est chère, plus elle sera belle (surtout pour eux). Je rappelle tout de même que des enfants travaillent pour que les notres s'habillent ou jouent.

Matthieu.CIP dit:Petite précision suite à l'intervention de Pierre :
Quand une grande surface veut vraiment un produit, il arrive que :
1) L'inscription au catalogue soit offerte ;
2) Les commandes soient fermes (pas de retour) ;
3) Le prix de vente public soit contractuel.
C'est tout et c'est dit...


C'est sûrement vrai, pour Coca-Cola :wink:

cberg dit:
Je crois qu'à long terme si on suit cette logique, c'est de moins en moins de boutiques spécialisées et donc de moins en moins de jeux de société disponibles :roll:


Je partage à 200%, la remarque de cBerg. Cette conséquence est déjà observable avec les livres et les CD, et pourtant le prix des livres est fixé pour éviter ce phénomène.

AirV dit:
Matthieu.CIP dit:Petite précision suite à l'intervention de Pierre :
Quand une grande surface veut vraiment un produit, il arrive que :
1) L'inscription au catalogue soit offerte ;
2) Les commandes soient fermes (pas de retour) ;
3) Le prix de vente public soit contractuel.
C'est tout et c'est dit...

C'est sûrement vrai, pour Coca-Cola :wink:


Ben justement, je ne pense pas.

Si coca ne paye pas son emplacement dans le rayon, on le vendra a pepsi. Si personne ne le paye, on mettra le cola maison et cela se ressentira dans les vente.
A moins que cela ai changé depuis peu, c'est comme ca que ca se passe.

Les grandes marques et les grandes boites (procter and co) sont les + soumises aux "marges arrieres".

Toutes ces remarques sont bonnes, mais je pense que l'on peut tourner en rond longtemps sur les avantages, les pratiques, les conséquences, etc.

Il y a une vérité centrale: les français ne jouent pas! pas assez!

Lorsque la demande existe, le marché s'organise. Ce n'est pas le cas en France (ce n'est plus le cas...)

Les français bouffent, eh bien, on trouve tout et plus ce qu'on veut et partout: l'épicier du coin, la supérette, le marché, la GD et il y a des prix tellement différents, et toutes les classes de produits et un choix incroyable (le sommet étant atteint avec le kilomètre de yaourts et autres desserts en pots dans un linéaire de mega Auchan...).
Tout le monde en vit et c'est bien et chacun achète où il veut, où il peut. Chacun ne vend pas forcément la même chose, mais ils vendent, car les clients achètent , et c'est bien.

On pourrait presque dire de même pour les jeux vidéo, la téléphonie, et dans une certaine mesure les livres.

Le marché du jeu allemand est énorme et pourtant il n'est pas organisé par les grandes surfaces; il y a une pléiade de petites boutiques et de petites chaines d'enseignes très locales.
Et pourtant, les prix sont bas.
Car sur un marché important, l'offre abonde et la concurrence fait baisser les prix; même si le réseau est en petites boutiques.

En France, pas d'illusions, les joueurs sont rares.
En revanche, les acheteurs occasionnels sont très nombreux et ils font masse pour finalement représenter un volume pas négligeable. Chaque éditeur essaie de capter ce phénomène: je lance un jeu car il se pourrait qu'il soit celui qui décroche le gros volume. Ces jeux-là sont très très peu nombreux. Chaque éditeur a sa vache à lait, au moins une; sinon il disparait bien vite.

Pour accéder à la GD, il faut une notoriété. Et c'est vrai qu'elle peut s'acheter autrement que par le succès du bouche à oreille et de la contagion ludique: par la pub.
Et inversement, la pub peut faire vendre souvent n'importe quoi...

Pour accéder aux boutiques spécialisées, pas trop dur, mais les volumes sont très très faibles et je défie d'une façon très réaliste quelqu'éditeur de pouvoir vivre d'une façon pérenne avec les (pourtant nombreuses) boutiques spécialées du jeu seulement.

La catégorie intermédiaire n'est pas plus facile, car toute chaine franchisée prétend immédiatement à des pratiques commerciales à la force de leurs services achat. Et l'accessibilité n'est pas meilleures: coûts de catalogues, marges disproportionnées, etc.
Et même avec de la bonne volonté, essayez de placer vos auto-éditions chez Toys R Us ou la Grande Récré...

Peu d'acheteurs, offre néanmoins abondante: eh bien, c'est simple, quel que soit le mode de distribution, globalement le marché laisse 90% de la production sur la voie de l'impasse.

Je ne suis pas loin de penser, de plus, que si le volume existait, les éditeurs pourraient être moins frileux avec leur sous - car il y a une sacrée différence de coût de production pour un tirage de 1000-2000 et 30000-5000 ou 10000-20000!

Lancer un jeu en Allemagne avec un accès à la distribution convenable, c'est s'aasurer un minimum de vente de 5000, car le marché est gros.
En France, comptez 500 en faisant tous les efforts y compris de les ventes aux amis et votre comité d'entreprise.

Pour ceux qui n'ont pas accès à la pub télé ou radio ou magazines grosse diffusion, ou qui n'ont pas une com originale de quelque nature, croisez les doigts, un bon jeu finit par se vendre en grosses quantités, quels que soient les modes de distribution.

Et qu'est-ce que c'est qu'un bon jeu? désolé de décevoir certains internautes ludiques, mais c'est tout simplement un jeu qui a su montrer qu'il a su devenir populaire parce que les cleints l'ont demandé. Quel que soit le mécanisme, qu'il ya it du hasard ou pas, et même s'il ne requiert pas un bac+5 ou un doctorat es qualité d'accro ludique.

Je suis d'accord avec le reste, mais pas vraiment sur ce point :

Saint Germain dit:Et qu'est-ce que c'est qu'un bon jeu? désolé de décevoir certains internautes ludiques, mais c'est tout simplement un jeu qui a su montrer qu'il a su devenir populaire parce que les cleints l'ont demandé. Quel que soit le mécanisme, qu'il ya it du hasard ou pas, et même s'il ne requiert pas un bac+5 ou un doctorat es qualité d'accro ludique.


Ce n'est pas parce qu'un jeu marche ou se vend qu'il est bon. Il est réussi commercialement parlant, mais il n'est pas forcément "bon" (il y a énormément d'exemples à donner). Il suffit souvent de viser le tout public pour que ça marche (il suffit de voir les pubs pour Actimel et se demander comment les gens peuvent gober ça : regardez, il peut lécher le sol, il ne sera jamais malade parce qu'il boît Actimel ! Ouais ! Youpi !).

Certes, beaucoup vont le qualifier de "bon", tout simplement parce qu'ils ne connaissent pas autre chose. C'est le cas du Trivial : c'est un très mauvais jeu de question, pourtant il marche toujours. Je pense que si une personne joue une seule fois à "La vie est une jungle", plus jamais elle n'ouvrira un Trivial de sa vie (mais encore faut-il qu'elle le veuille vraiment).

Après, tout le monde ne qualifiera pas certaines bonnes ventes de "bons jeux". Alors, pourquoi marchent-il autant ? Parce qu'ils sont encore atypiques, malgré de bons et loyaux services depuis plusieurs années... c'est fou !

cberg dit:Selon le principe du 20/80, 20 % des références font 80% du chiffre d'affaire... le seul hic avec la grande distrib, si elles ne fait que les jeux les + vendeurs, c'est que les boutiques spécialisées ne peuvent s'aligner sur ces références.
Ainsi pour reprendre les 2 posts précédants (alain, toftof), les boutiques spécialisées devraient ne faire que les jeux moins faciles à vendre, moins populaire et continuer à exister parce qu'elles ont plus de références qu'un supermarché...

c'est clair que si les gdes surfaces ne font qu'1 centime de bénèf, les boutiques ne peuvent pas suivre, ça je ne leur reproche pas.
"20/80" ?? Je ne vois pas un cinquième de la gamme de ma boutique Descartes à carouf, je ne l'imagine même pas :? , ils ont des jeux gros public au milieu des jouets, et à mon avis ils trouvent ça suffisant.
En un certain sens, je dis que les boutiques ne vendent que les jeux les moins faciles à vendre... Mais ça doit être surtout et simplement parce qu'ils ne rapporteraient pas assez par rapport au désir démesuré de "faire du chiffre" du chef de rayon de carouf. Et monsieur Dupont qui vient acheter son camembert, son pack de bière et sa lessive, il n'a pas un quart d'heure à perdre à lire une règle intéressante ou innovante. C'est une grande surface, ne l'oublions pas. Il veut un truc consensuel qui 'marche'.
Le joueur qui veut un truc pas spécialement prise de tête mais au moins plus ludiquement intéressant que le ramassis habituel de carouf ira automatiquement en boutique (qui se révèle être une mine).
cberg dit:Je crois qu'à long terme si on suit cette logique, c'est de moins en moins de boutiques spécialisées et donc de moins en moins de jeux de société disponibles :roll:

Tu penses que carouf et Edouard vont tout piquer aux boutiques ? J'aime les JdS et j'espère sincèrement qu'ils continueront à se développer, mais je crois qu'ils regarderont avec moins d'intérêt les CA des boutiques en les comparant avec leurs objectifs, et donc qu'ils ne leur prendront certainement pas leurs références.
cberg dit:A mon sens, le risque est d'appauvrir le panel de jeux distribués donc l'offre pour les joueurs. Je constate qu'il y a de moins en moins de jeux originaux (c'est à dire jeux hors ré-édition/re-customisation de classiques, adaptation jeux étrangers, jeux liés à une licence émission télé ou autres), fatalement en tant qu'auteur et joueur je le déplore même si j'ai bien compris qu'un "Star Acc", un "Tape Coco" ou "Jungle Speed" c'est + facile à vendre...

c'est pas Star ac' qui amènera du monde en boutique spé... Mais j'ai déjà + d'espoir en jungle speed ou Catane.
cberg dit:Mais bon c'est aussi un sujet sur lequel je ne suis pas très optimiste de façon générale et surtout pas très compétent.

moi c'est sur le français moyen que je ne suis pas optimiste ; celui qui n'est pas futé, qui prend ses idées en regardant la télé ("réfléchir ? ma propre opinion ? c'est-à-dire ??") et va faire ses courses à carouf, faut pas espérer grand-chose. Par contre, si on arrive à toucher les plus jeunes avec un truc intéressant, lui qui est encore ouvert, lui il cherchera.
Ca me rappelle un cours d'histoire sur la guerre froide : les américains considéraient l'allemagne de l'Est comme un pied de pont du communisme en Europe. Je pense un petit peu la même chose de catane à carouf, sauf que là c'est positif :wink:

Grandes surfaces / petites boutiques : le rapport de force de vente est-il forcément défavorable ? Les éditeurs n'ont-ils pas la possibilité d'imposer un prix rentable et unique pour les deux structures ? Si les petites boutiques ne peuvent s'aligner, les grosses chaines peuvent-elles accepter un prix aligné comme c'ets le cas pour Squad 7 par exemple ?

La perte des petites boutiques, c'est autant de visibilité en moins pour tous les editeurs de jeux et une image de produit testé et choisi, un peu plus valorisante que de placer son jeu entre le Mono et le Trivial.

Les éditeurs ont certanement leur mot a dire dans cette affaire, non ?

Encore une fois, c'est idée est à mon avis une vraie fausse idée... un hyper fait minimum 1.5 de marge surtout lors de la période de Noël. Il achète juste pas au même prix qu'une boutique. Ensuite si cela ne se vend pas comme prévu soit il renvoit les jeux au distributeur soit il brade (à prix coutant).

toftof dit:c'est clair que si les gdes surfaces ne font qu'1 centime de bénèf, les boutiques ne peuvent pas suivre, ça je ne leur reproche pas.

Il faut voir que chaque jeu possède un prix de vente fixe, et que les distributeurs peuvent accorder des pourcentages de remises dessus en fonction des quantités achetées.
Lorsque je parle de 0 centimes de marge à 12,56 euros à Carouf pour les cités perdues, cela veut dire que pour le prix public normal des cités perdues, ce prix correspond pile-poil au prix hors taxe + la TVA, donc c'est du prix coutant. Une petite boutique en achetant ses exemplaires ne peut pas le vendre à ce prix là car la marge est de 0. Pour faire baisser le prix d'achat de quelques pourcents, il va falloir qu'elle en prenne une dizaine d'un couop, ce qui n'est pas facile une fois le jeu sorti depuis plusieurs mois (il se vend souvent beaucoup moins). Et comme le prix TTC en boutique est souvent le prix HT x 2, elles ne peuvent être clairement pas concurentielles face aux grandes surfaces (d'ou des cités perdues entre 19 et 21 euros, et pas en dessous).

Rody dit: Et comme le prix TTC en boutique est souvent le prix HT x 2, elles ne peuvent être clairement pas concurentielles face aux grandes surfaces (d'ou des cités perdues entre 19 et 21 euros, et pas en dessous).

Oui mais alors pourquoi Squad Seven est au meme prix partout ? :shock:

Je ne m'appelle pas TF1, mais je pense qu'ils ont bloqués le prix en GMS en facturant le prix conseillé. Il est interdit de vendre en-dessous du prix facturé. Donc si facturé 20, c'est 20 ou plus, mais jamais en-dessous.
Ensuite comme les GMS veulent gagner un peu, il y a un avoir sur cette facture (pièce comptable indépendante de la facture qui correspond au numéro de facture du produit et mentionnant la remise faite sur la facture n° tant). Mais juridiquement, c'est la facture qui compte pour l'interdiction de vente à perte.
Si la remise était sur la facture, les jeux pourraient être vendus (au mini) au prix tenant compte de cette remise. Avec un avoir cela n'est plus possible.... Euuuh, je sais pas si c'est bien compréhensible tout ça!

xavo dit:
Rody dit: Et comme le prix TTC en boutique est souvent le prix HT x 2, elles ne peuvent être clairement pas concurentielles face aux grandes surfaces (d'ou des cités perdues entre 19 et 21 euros, et pas en dessous).

Oui mais alors pourquoi Squad Seven est au meme prix partout ? :shock:


Comme je l'ai déjà dit, TF1 a accordé 40% de remise aux boutiques spécialisées pour qu'elles puissent vendre le jeu au même prix que les grandes surfaces, tout en gardant leur marge (en gros, on le touche à 15 euros au lieu de 25). Ce n'est pas le cas d'Attakube ou Composio, par exemple, qui sont toujours plus chers en boutique.

Yves Renou dit:Je ne m'appelle pas TF1, mais je pense qu'ils ont bloqués le prix en GMS en facturant le prix conseillé. Il est interdit de vendre en-dessous du prix facturé. Donc si facturé 20, c'est 20 ou plus, mais jamais en-dessous.
Ensuite comme les GMS veulent gagner un peu, il y a un avoir sur cette facture (pièce comptable indépendante de la facture qui correspond au numéro de facture du produit et mentionnant la remise faite sur la facture n° tant). Mais juridiquement, c'est la facture qui compte pour l'interdiction de vente à perte.
Si la remise était sur la facture, les jeux pourraient être vendus (au mini) au prix tenant compte de cette remise. Avec un avoir cela n'est plus possible.... Euuuh, je sais pas si c'est bien compréhensible tout ça!


C'est clair, et j'apprend un truc.

Rody dit:
Comme je l'ai déjà dit, TF1 a accordé 40% de remise aux boutiques spécialisées pour qu'elles puissent vendre le jeu au même prix que les grandes surfaces, tout en gardant leur marge (en gros, on le touche à 15 euros au lieu de 25). Ce n'est pas le cas d'Attakube ou Contrario, par exemple, qui sont toujours plus chers en boutique.


Donc les editeurs peuvent aider à la pérennité de la diversité de l'offre en petite boutique en faisant des remises et ont un veritable pouvoir d'action et donc une responsabilité.

Qu'est ce que TF1 y gagne ? Pourquoi les autres ne font pas pareil ?

xavo dit:
Rody dit:
Ce n'est pas le cas d'Attakube ou Contrario, par exemple, qui sont toujours plus chers en boutique.

Argh, je voulais dire Composio, et pas Contrario. Mes doigts ont fourché. Désolé Matthieu... ;(
xavo dit:
Qu'est ce que TF1 y gagne ?

Je pense qu'ils ont compris que seules les boutiques pouvaient faire la promo du jeu de l'année que S7 a reçu. Donc ils font un effort (mais uniquement sur ce jeu là, hein...).
xavo dit:Pourquoi les autres ne font pas pareil ?


Va savoir... j'aimerais bien toucher un Cités perdues à 6 euros 50 pour pouvoir le vendre à 13...