j'ai terminé "stardust" de neil gaiman et "la féé carabine" de pennac(sous les conseils avisé de ce topic vu que jeme suis tapé panam en autobus de bruxelles) et les deux étaient très très bien(Pennac c'est vraiment lu super vite).
Satrdust était super bien écrit avec beaucoup d'humour et de recherche dans l'mploie des mots(la traduction est très bonne).L'unvers très très chouette,un mix entre conte et fantasy où la fin se dessine assez rapidemment mais vraiment très plaisant.
La féé carabine,une écriture légère et comptemporaine qui se dévore à vitesse grand V.L'histoire est vraiment marrante et le style d'écriture amusant et agréable.
le gdal dit:Qqn a-t-il déja lu "]
Je l'ai acheté en pensant tout naïvement qu'il avait été écrit après Da Vinci Code et j'étais vert de remarquer qu'en fait non, on profitait du succès de son dernier livre pour ressortir ses anciennes oeuvres qui n'avaient pas été jugées dignes de traduction à l'époque... mais bon je l'ai quand même lu et... j'ai beaucoup aimé. Plus que Da Vinci Code (que j'avais trouvé sympa)
Alors il faut savoir que la trame est exactement la même, l'arrière-plan religieux assez semblable, et ça commence très mal avec un avion de SF et une bombe encore pire. Mais au final c'est bien construit et très facile à lire.
Fini la suite de Krondor: Prince de Sang et le Boucanier du Roi (de Feist), j'ai attaqué la Moïra de Loevenbruck. Premier tome fini et bof: du bon et du moins bon...
Suis en train de lire The Algebraist de Iain M. Banks.
C'est un peu laborieux, mais cette civilisation de créatures "lentes" est très intriguante...
Belial dit:Fini la suite de Krondor: Prince de Sang et le Boucanier du Roi (de Feist)
Et alors, c'est comment le cycle de Krondor?
très classique au niveau de l'univers mais j'aime beaucoup: l'auteur arrive à rendre ses histoires et ses personnages très attachants. Il décrit bien les "chocs de civilisations" aussi (j'en dis pas plus). C'est plus Pizza Hut que Tour d'Argent, mais une bonne pizza de temps en temps: 
.
Merci des précisions 
.
Mr Pomme dit:
Satrdust était super bien écrit avec beaucoup d'humour et de recherche dans l'mploie des mots(la traduction est très bonne).L'unvers très très chouette,un mix entre conte et fantasy où la fin se dessine assez rapidemment mais vraiment très plaisant.
Les autres bouquins de Gaiman aussi sont plutot agréables à lire aussi... Quelques titres que j'ai bien aimé (j'ai déjà du en parler en fait
):American Gods
Neverwhere
De bons présages
Après Coraline et Le guide interplanétaire de je ne sais plus qui, j'ai pas réussi à les finir...
Bubu dit:Mr Pomme dit:
Satrdust était super bien écrit avec beaucoup d'humour et de recherche dans l'mploie des mots(la traduction est très bonne).L'unvers très très chouette,un mix entre conte et fantasy où la fin se dessine assez rapidemment mais vraiment très plaisant.
Les autres bouquins de Gaiman aussi sont plutot agréables à lire aussi... Quelques titres que j'ai bien aimé (j'ai déjà du en parler en fait
American Gods
Neverwhere
De bons présages
Après Coraline et Le guide interplanétaire de je ne sais plus qui, j'ai pas réussi à les finir...
waip c'est parce que tu avais donné ces titres que je suis tombé sur cet auteur à la fnac et que je l'ai prit.c'est pas plutot Le guide du routard intergalactique de douglas adam que tu veux parler?
Gaiman a écrit un livre sur le guide du routard galactique, qui raconte tout sur la création de la série. A moins d'être un fan absolu du bouquin d'Adams, ce livrede Gaiman présente peu d'intérêt à mon avis.
Par contre, j'ai bien aimé Coralie (qui est avant tout un livre pour enfants), et je conseille le recueil de Gaiman "Miroirs et fumée" particulièrement pour deux nouvelles ("Chevalerie" et "Le Troll sous le pont") (bon, toutes les nouvelles ne sont pas extraordinaires, mais rien que pour ces deux là...).
Note : Les interventions de cet internaute ont été supprimées à sa demande...
Le webmestre
Note : Les interventions de cet internaute ont été supprimées à sa demande...
Le webmestre
Les racines du mal de Dantec... 
J'aurai du mal à conseiller ce bouquin tellement il me laisse des sentiments mitigés. Les premières pages où l'on suit les pas du serial killer sont absolument fabuleuses, ensuite l'enquête est sympa puis tout à coup, ça part complètement sur une autre histoire (ceux qui l'on lu voit sans doute de quoi je parle) sans interet et qui remplit tout le reste du bouquin (bien 200 ou 250 pages de rien donc)...
La cerise, je me suis arrété à 10 pages de la fin et je n'ai jamais réussi à le finir!! 
Sinon désolé Mr Pomme pour mon rabachage, je deviens gaga... 
Le guide bidule, je n'avais pas saisi qu'il décrivait la création d'une série donc du coup, je croyais que c'était une histoire mais pas super...
didier van cauwelaert "l'éducation d'une fée"
un de ses meilleurs pour moi
Note : Les interventions de cet internaute ont été supprimées à sa demande...
Le webmestre
Note : Les interventions de cet internaute ont été supprimées à sa demande...
Le webmestre
Concernant Barjavel, je conseille aussi Ravages, un de mes bouquins préférés : d'un seul coup, toutes les machines (électriques, et même mécaniques) cessent de fonctionner, sans explications.
Personnellement, mon auteur favori fut pendant longtemps Anne McCaffrey avec sa ballade de Pern, et surtout son cycle des doués, mais depuis quelques années, un nouvel auteur l'a remplacée : Anne Bishop.
On peut d'ailleurs remarquer que cette première fait aussi partie des références de cette dernière (sur son site officiel : http://www.annebishop.com/).
Je ne crois pas qu'elle ait déjà été traduite, mais elle a déjà réalisé deux trilogies de Dark Fantasy, agrémentées de quelque autres oeuvres partageant ou non l'univers dépeint dans ses trilogies.
Je recommande donc très fortement The Dark Jewel Trilogy (composé de Daughter of the Blood, Heir to the Shadows et Queen of the Darkness), mais ne délaissez pas pour autant ses autres titres.
Attention toutefois, même si elle est loin de ne parler que de ça, cette oeuvre aborde des sujets difficiles, où certains passages (heureusement rares) peuvent être considérés comme choquants (si vous voulez plus de précision, mp s'il-vous-plaît: je n'aime pas faire de spoilers or ces passages sont des éléments prépondérants dans l'intrigue, ils ne sont pas gratuits).
A côté de cela, quelques autres titres méritant le détour :
- Le Moineau de Dieu, SF de Mary Doria Russell ("The Sparrow". Je ne sais pas si sa suite, "Children of God" a été traduite). Un groupe de personnes assez disparates part à la rencontre d'une race extra-terrestre sur une autre planète. Un seul en revient, un prêtre jésuite, et dans de troublantes circonstances. Que s'est-il donc passé ?
- H.M.S. Ulysses, Guerre de Alistair McLean, l'auteur des Canons de Navarone. L'histoire d'un navire de guerre pendant la bataille de l'Atlantique. Bien qu'un roman, cette oeuvre est considérée comme un documentaire sur la période car l'auteur l'a vécue et a su en retranscrire les extrêmes. Ne vous y trompez pas, à la lecture de ce livre il s'agit bien d'une grande et terrible aventure et pas d'un cours d'histoire.
- Les Coloriés, Comédie de Alexandre Jardin. Je ne sais pas encore ce que donne la fin car c'est le livre que je suis en train de lire, mais je le trouve bien divertissant. L'histoire de Dafna, une femme du peuple des Coloriés, qui vient d'un pays nommé l'Enfance...
- L'assassin habite au 21, Policier de Stanislas-André Steeman écrit en 1939 et adapté au cinéma en 1942 par Henri-Georges Clouzot. Dans le brouillard de Londres, un policier suit le meurtrier en série jusqu'à une adresse qui s'avère être une pension de famille. Lequel de ses habitants est donc Mr Smith ? Un roman pour joueurs : outre l'inspiration vers le jeu Scotland Yard, le bridge y tient un rôle prépondérant...
Riches vacances pour la lecture !
Le Mystere de la Chambre jaune de Gaston Leroux :
Ca faisait un moment que je me disais qu'il faudrait que je le lise. Ca commence très mal avec une intro de Cocteau ultra snobinarde du genre "enfin un vrai écrivain rude avec du cal aux mains qui écrit dans un style pompeux qui pique les yeux mais quelle fraicheur, quel naturel !".
Question style le Cocteau avait pas tort. Seulement la fraicheur candide ne m'a pas fait le même effet. J'en attendais sans doute trop...
Jésus Vidéo :
C'est ici (sur TT) que j'en ai entendu parler et ça m'a donné envie. Alors là grand panard ! C'est marrant d'ailleurs de voir comment l'écriture est différente du fantastique américain. Ici pas d'ironie, pas de second degré. On est pas emporté immédiatement par le style. Toute la malignité se fait dans la construction du récit. Bravo la SF allemande. Finalement c'est un peu comme les jeux, le matos paye pas de mine, les règles non plus, la malignité est ailleurs.
La joueuse de Go de Shan Sa :
La encore un régal. Des petits châpitres épurés parfois comme des Aikus. Quelques belles reflexion sur l'usage du jeu dans la vie qui coule parfois douloureusement. C'est Roméo et Juliette dans une Chine envahie par les japonais. Facile à lire, une profondeur qui surgit des mots de manière limpide, sans se forcer. Et ce, même avec le filtre de la traduction.
Petit traité de désinvolture de Denis Grozdanovitch :
Avec un titre pareil, je ne pouvais pas ne pas le saisir mine de rien pour l'emporter vers la caisse de mon libraire.
Avec un ton de chroniqueur mondain, une nonchalante ironie d'épicurien, c'est une série de texte qui font l'éloge de la désinvolture sous toutes ses formes. Tantôt érudite, tantôt café de la gare, on passe de la description personnelle des moments d'hébétude (parfois d'ailleurs dramatiques) aux moqueries des forcenés de la vraie morale constructrice et productive.
On rit beaucoup aussi.
A lire affalé dans un fauteuil un verre à la main et une cloppe qui fume toute seule, un jour où tout le monde bosse sauf soi...
Ah si ! Bien évidemment l'auteur y parle de jeu (il a été un Tennisman confirmé et un joueur d'échecs), notamment au début du bouquin où il dresse des portraits de personnages hauts en couleur qu'on ne peut s'empêcher de dire "ha oui, j'en connais des comme ça ! ... J'en vois même parfois dans mon miroir..."
Et puis quelques lectures (à haute voix) de philippe Delerm. Ca c'est mon coté fleur bleue, mais c'est pratique à lire; les textes sont courts. Autant je me range du coté de la masse des lecteurs en savourant papa Delerm, autant son fiston me casse les oreilles avec sa fragilité parisienne et maniérée.
Voilà, c'est fini mais j'ai encore Badaulino de Umberto Ecco à coté du lit. En temps que désinvolte épicurien, je devrait trouver le temps de me le savourer bientôt...
Et puis aussi j'ai chagé d'avatar parce que l'autre foutait la trouille à Shingouz. Alors j'ai mis Oscar Wilde parce que ma nièce a fait sa thèse dessus et qu'elle a essayé de persuader le jury que j'étais un descendant d'Oscar. C'est vrai que quand j'avais 20 ans (et qu'il en avait autant) il y a un petit air de famille. J'espère que quand je serais dans le trou, ma tombe aura autant de trace de rouge à lèvre que la sienne... C'est pas gagné cette affaire Enfin voilà, va bien falloir que je lise un jour un de ces bouquins...
Petit traité de désinvolture de Denis Grozdanovitch :
Avec un titre pareil, je ne pouvais pas ne pas le saisir mine de rien pour l'emporter vers la caisse de mon libraire.
Avec un ton de chroniqueur mondain, une nonchalante ironie d'épicurien, c'est une série de texte qui font l'éloge de la désinvolture sous toutes ses formes. Tantôt érudite, tantôt café de la gare, on passe de la description personnelle des moments d'hébétude (parfois d'ailleurs dramatiques) aux moqueries des forcenés de la vraie morale constructrice et productive.
On rit beaucoup aussi.
A lire affalé dans un fauteuil un verre à la main et une cloppe qui fume toute seule, un jour où tout le monde bosse sauf soi...
Ah si ! Bien évidemment l'auteur y parle de jeu (il a été un Tennisman confirmé et un joueur d'échecs), notamment au début du bouquin où il dresse des portraits de personnages hauts en couleur qu'on ne peut s'empêcher de dire "ha oui, j'en connais des comme ça ! ... J'en vois même parfois dans mon miroir..."
Cher Dr Mops, outre vos talents de diaporamisateur (entre autre) vous faites un fort bon critique littéraire, je vais de ce pas (voir l'heure du post, ouarff, ouarff) chez mon libraire acheter ce petit traité.
Sinon de Delerm j'ai bien aimé Mister Mouse et la gorgée de bière parce que j'aime bien le houblon et les souris, voilà.
Burlington, 4ème de couverture