Lord No The 1st dit :Bah c'est pas une question de "droit de jouer ou pas au bureau". Ou d'être un affreux réac pas gentil (sous entendus un peu insultants et à l'emporte pièce à mon égard). (dû à un malaise peut être ?!) C'est un constat : une telle question au Japon serait incongrue, plus envisageable dans les pays ... latins ! ;) La ludification est peut être vu comme un outil de gestion de personnel dans certaines boites. Dans un contexte de crise économique (10% de taux de chômage, faillites etc...) bah oui vous êtes favorisés de pouvoir vous dire à quoi vais je pouvoir jouer au bureau ?! Je vois pas une personne avec un travail pénible se poser ce genre de question. Allez j'arrête de faire mon rabat joie ! ^^ Pis on peut s'amuser au travail ?! (de son travail)Alors oui, mes propos pourraient paraitre insultants, je m'en excuse si tel est le cas, même si je vais essayer de rester courtois :)
Oui 10% de chômage, donc, 90% de la population en France en âge de travailler peut avoir l'occasion, à un moment de sa vie professionnelle, et quelque soit la fréquence, de se demander su son temps de pause : "mais à quoi on joue ?"
Les gens qui ont un travail pénible... N'as-tu jamais vu des ouvriers du BTP, à 10h, sous une chaleur plombante, s'accorder une pause et jouer sur leur téléphone ? Ou bien faire une belote ? Ou bien jouer comme des enfants à se lancer de l'eau ?
Oui c'est cliché, tout comme c'est terriblement cliché de voir ton commentaire qui m'attriste profondément.
Je suis les midis face à quelqu'un comme toi, en tous cas, dont les propos se rapprochent des tiens. En tout état de cause s'en rapprochaient.
Mon agence était ouverte entre midi et deux, durant nos deux heures de pause, pour répondre aux questions de nos techniciens sur place. Et pendant cette pause de 2h, ou d'une parfois, on joue.
Jusqu'au jour où le patron nous a dit qu'il n'aimait pas, que le lieu de travail n'était pas fait pour jouer.
Depuis ce jour, à 12h les portes se ferment, nous partons, nous jouons, et les portes se rouvrent à 14h, et tant pis.
Et je crois que c'est ça le vrai problème, c'est un problème d'égo et de narcissisme.
Le jour où les managers, plutôt que d'avoir ce genre de réactions, demanderont s'ils peuvent s'installer pour partager ce moment, je crois que nous aurons fait un joli bon en avant.