Une histoire épique de la guerre d’Aughmoore
C’est donc la deuxième partie que nous jouons à ce jeu et, cette fois, avec les bonnes règles de fin de partie.
Il s’agit d’un 4X (eXplore, eXpand, eXploit, eXterminate) dans un univers médiéval fantastique sympathique qui réutilise les codes standards du genre. Les illustrations et les figurines ne sont pas extraordinaires mais elles sont adaptées à l’univers et sont agréables en particulier les petits vaisseaux en carton à monter.
Le jeu est relativement simple mais il a beaucoup de règles spécifiques aux différentes factions (en plus des quatre de la boîte de base, on peut en ajouter six autres avec les extensions). Ces pouvoirs de bâtiment et d’unité rendent le jeu touffu et génèrent des surprises tout au long de la partie au fur et à mesure de la découverte de ces derniers qui, par ailleurs, évoluent en cours de partie. Pire, les situations sont parfois très peu claires avec les sorts « instantanés » qui impliquent des interprétations multiples et donc sujettes à débat en cours de partie.
Cependant, la partie reste épique avec de nombreux rebondissements. Certes, ces retournements de situation sont parfois déroutants, surtout après de longues minutes de préparation d’un tour, mais narrativement ils sont justifiés.
HeLAS n’est pas un jeu de stratégie où le meilleur joueur est celui qui a maitriser le mieux les règles et la situation. C’est un jeu qui raconte une épopée épique d’Heroic Fantasy où des peuples s’affrontent pour la domination de l’univers.
Au final, je trouve à HeLAS un goût bien agréable comparable à Twilligh Imperium. Beaucoup plus cours, il faut cependant compter sur quatre heures de parties à trois joueurs auxquels s’ajoutent une heure d’explication/placement du jeu. Il est adapté à une grosse journée entre amies, des pizzas, quelques verres de rosé et l’envie de passer un bon moment entre copain et de finir la soirée en se racontant « notre » histoire de la guerre qui déchira la terre d’Aughmoore.
Il s’agit d’un 4X (eXplore, eXpand, eXploit, eXterminate) dans un univers médiéval fantastique sympathique qui réutilise les codes standards du genre. Les illustrations et les figurines ne sont pas extraordinaires mais elles sont adaptées à l’univers et sont agréables en particulier les petits vaisseaux en carton à monter.
Le jeu est relativement simple mais il a beaucoup de règles spécifiques aux différentes factions (en plus des quatre de la boîte de base, on peut en ajouter six autres avec les extensions). Ces pouvoirs de bâtiment et d’unité rendent le jeu touffu et génèrent des surprises tout au long de la partie au fur et à mesure de la découverte de ces derniers qui, par ailleurs, évoluent en cours de partie. Pire, les situations sont parfois très peu claires avec les sorts « instantanés » qui impliquent des interprétations multiples et donc sujettes à débat en cours de partie.
Cependant, la partie reste épique avec de nombreux rebondissements. Certes, ces retournements de situation sont parfois déroutants, surtout après de longues minutes de préparation d’un tour, mais narrativement ils sont justifiés.
HeLAS n’est pas un jeu de stratégie où le meilleur joueur est celui qui a maitriser le mieux les règles et la situation. C’est un jeu qui raconte une épopée épique d’Heroic Fantasy où des peuples s’affrontent pour la domination de l’univers.
Au final, je trouve à HeLAS un goût bien agréable comparable à Twilligh Imperium. Beaucoup plus cours, il faut cependant compter sur quatre heures de parties à trois joueurs auxquels s’ajoutent une heure d’explication/placement du jeu. Il est adapté à une grosse journée entre amies, des pizzas, quelques verres de rosé et l’envie de passer un bon moment entre copain et de finir la soirée en se racontant « notre » histoire de la guerre qui déchira la terre d’Aughmoore.
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