Un monde Fin
Un monde sans fin commence donc là où se terminait les Piliers, la cathédrale est construite et il faut pérenniser la réussite de sa noble famille.
Si ce jeu est la suite du succès inspiré du best seller de Ken Follet (lui-même inspiré de …)
Il ne reprend qu’une moindre partie du jeu premier : plateau et charte graphique, matériau à disposition et événements (ceux-ci ayant un impact fort sur la partie).
La force du jeu tient dans le double système de positionnement de la carte événement qui résout aussi les gains qui reviennent aux joueurs et par le double choix de la carte action (l’une jouée, l’autre défaussée) et puis voila… -hormis la faveur acquise par le 1er joueur- tout le jeu tient en ces deux moments, ça parait peu et pourtant et c’est l’apanage des grands jeux à chaque tour tension opportunité, choix dilemmatique se mêlent pour donner le meilleur du jeu.
C’est simple ; un monde sans fin est un bel exemple de relativisme, car avant lui les Piliers de la terre paraissait excellent, on relativise (un petit peu) face à cette sublime réussite qu’est second opus !
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