Oracle Ô désespoir...
je serais Stefan Feld, je porterai plainte pour harcèlement d'illustrations vieillotes et lugubres. Bref, le style allemand dans son intégralité. Une fois encore. Peut être qu'il aime en fait.
Feld on l'aime bien, pas toujours, mais quand même.
Ici, il faut s'accrocher, les règles sont pas top, la mise en place est laborieuse et, même si c'est simple "pour faire une action rouge il faut du rouge", ce n'est pas toujours évident.
Feld retourne tourner autour de Bruges avec son principe d'utilisation de dés, ce qui fait que ce jeu stratégique peut être mis à mal par le hasard: la couleur des blessures qui tombent mal, les dés qui ne font pas ce que vous voulez.... un jeu dans lequel on a des idées qu'on ne peut pas forcément suivre, où il faut changer de plan pour s'adapter au mieux.
Car ce jeu est une course pour remplir les 12 missions (vaincre un ennemi (besoin de boucliers), ériger des statues (besoin de navire), des temples (besoin de pierres)... et retourner à la base, pas de points de victoire. Le plateau est une mer d'hexagones modulables avec des îles, des montages à explorer et des ressources à prendre. Plein de choix, d'aller retours, tout cela dans une gestion de coups, de déplacements, de pouvoirs et de héros.
Ca peut être long (suivant les joueurs), répétitif, mais, et malgré un effet pudding un peu lourd, intéressant à jouer, pour des parties serrées qui se gagnent à une optimisation ratée ou réussie, et à de bons jets de dés. En tous cas, on a envie de s'y remettre.
Peut être pas 10 fois, mais au moins une paire.
Feld on l'aime bien, pas toujours, mais quand même.
Ici, il faut s'accrocher, les règles sont pas top, la mise en place est laborieuse et, même si c'est simple "pour faire une action rouge il faut du rouge", ce n'est pas toujours évident.
Feld retourne tourner autour de Bruges avec son principe d'utilisation de dés, ce qui fait que ce jeu stratégique peut être mis à mal par le hasard: la couleur des blessures qui tombent mal, les dés qui ne font pas ce que vous voulez.... un jeu dans lequel on a des idées qu'on ne peut pas forcément suivre, où il faut changer de plan pour s'adapter au mieux.
Car ce jeu est une course pour remplir les 12 missions (vaincre un ennemi (besoin de boucliers), ériger des statues (besoin de navire), des temples (besoin de pierres)... et retourner à la base, pas de points de victoire. Le plateau est une mer d'hexagones modulables avec des îles, des montages à explorer et des ressources à prendre. Plein de choix, d'aller retours, tout cela dans une gestion de coups, de déplacements, de pouvoirs et de héros.
Ca peut être long (suivant les joueurs), répétitif, mais, et malgré un effet pudding un peu lourd, intéressant à jouer, pour des parties serrées qui se gagnent à une optimisation ratée ou réussie, et à de bons jets de dés. En tous cas, on a envie de s'y remettre.
Peut être pas 10 fois, mais au moins une paire.
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