Naga Raja of the Ganges
sur
Nagaraja
Après Kero, sort dans le même format et toujours pour 2 joueurs, ce jeu qui cette fois nous éloigne de chez Mad Max pour nous rapprocher du Dr Jones. Si Kero donnait dans la collection et le « stop ou encore », Naga fait dans la gestion de cartes et la construction de décor. Deux phases dans ce jeu. La première : poser des cartes pour prendre les bâtons du destin, remplaçant, thème oblige, les dés et/ou activer les pouvoirs Ces cartes sont, un peu comme dans Raptor, du même auteur, doubles. On peut les utiliser pour prendre des bâtons de différentes force et ainsi s'assurer le plus haut score et emporter la tuile décor mise en jeu pour la phase 2, ou préférer activer les pouvoirs des cartes restant dans sa main. On peut tenter le beurre et l'argent du beurre, c'est risqué. Les cartes sont le point fort du jeu, étant équilibrées d'une façon ou vous ne pouvez pas tout avoir. Pas grave, si vous perdez ce round, vous serez dédommagé. On peut avoir des moments de flottements mais on remontera à un moment. Ne trainez pas trop quand même.
La phase 2 est la plus ludique dans le sens où il faut assembler les tuiles gagnées de façon à construire son décor et surtout poser les tuiles de façon à ce qu'elles coïncident avec des points précis afin de rapporter des bonus. Un principe utilisé dans Karuba et plus récemment dans Santa Maria, Carpe Diem et surtout Raja of the Ganges auquel les plateaux perso font penser. La phase 2 est la plus ludique mais également la moins tendue. On s'aperçoit vite que les reliques maudites sont aisées à éviter, que le « trou » (obstacle) n'est pas vraiment pénalisant et qu'on a toujours le moyen de déplacer ce qui ne va pas (tuiles, trésors). A la partie 3, nous avons durci le décompte pour un peu plus de challenge.
Mais Naga n'est pas un jeu expert et donc on ne va pas lui demander de jouer dans ce domaine, c'est un jeu familial avec un peu de tension, des choix, un peu de chance et ce qu'il propose est réussi. Alors ne pinaillons pas et prenons le pour ce qu'il est : un bon divertissement.
La phase 2 est la plus ludique dans le sens où il faut assembler les tuiles gagnées de façon à construire son décor et surtout poser les tuiles de façon à ce qu'elles coïncident avec des points précis afin de rapporter des bonus. Un principe utilisé dans Karuba et plus récemment dans Santa Maria, Carpe Diem et surtout Raja of the Ganges auquel les plateaux perso font penser. La phase 2 est la plus ludique mais également la moins tendue. On s'aperçoit vite que les reliques maudites sont aisées à éviter, que le « trou » (obstacle) n'est pas vraiment pénalisant et qu'on a toujours le moyen de déplacer ce qui ne va pas (tuiles, trésors). A la partie 3, nous avons durci le décompte pour un peu plus de challenge.
Mais Naga n'est pas un jeu expert et donc on ne va pas lui demander de jouer dans ce domaine, c'est un jeu familial avec un peu de tension, des choix, un peu de chance et ce qu'il propose est réussi. Alors ne pinaillons pas et prenons le pour ce qu'il est : un bon divertissement.
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