Le donjon sous l'île
Premier LDVELH de Keith Martin donc non exempt de défauts mais qui montre déjà les belles qualités de jouabilité inhérentes à son auteur. Nous nous trouvons enfin en présence d'un Défis Fantastiques gagnable sans tricher et sans s'y reprendre à une vingtaine de tentatives.
Le scénario et le labyrinthe proposés sont très classiques mais j'ai bien aimé cette aventure plutôt réaliste, avec des objets à trouver mais pas une cinquantaine non plus, pas mal de combats mais bien dosés, des sortilèges à acquérir, une coupure dans le récit avec le royaume cauchemardesque du big boss. Quant au combat contre ce dernier, il est épique sans être très difficile.
Le porte-monstres-trésors est ici très agréablement renouvelé ; ça change des opus de Livingstone injustes et injouables jusqu'à l'indigestion.
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