Je préfère l’utopie à la dystopie, mais j’ai bien aimé
sur
Euphoria
J’ai de suite été attiré par le thème qui fait référence à des univers de contre-utopie comme 1984 et par le design très colorés de la boite qui pourrait être l’affiche d’un remake du film Les Temps modernes de Charlie Chaplin.
Le slogan sur la boite : « Construisez une meilleure dystopie » vous met directement dans l’ambiance.
Pourtant malgré tout l’enthousiasme du matériel me renvoyant à d’anciens amours littéraires et cinéphile du genre, ce n’est pas le thème qui m’a conquis, mais bien la mécanique riche de rapidité, de simplicité et de diversité.
C’est un jeu de placement avec un plateau et des règles intuitives, du matériel de qualité et plein de petits mécanismes bien sympathiques comme vos ouvriers qui vous abandonneront s’ils deviennent trop lucides.
Euphoria ne s’arrête pas là, car même si c’est un jeu de placement d’ouvriers, c’est également un jeu de course ou il vous faudra être le premier à vous débarrasser de vos dix marqueurs d’autorité pour que la partie s’arrête immédiatement vous donnant la victoire.
Et encore ? Oui, car en plus de placer et de courir, vous allez convertir des ressources comme de l’eau, du bois, de la pierre, piocher des cartes spécialistes et utiliser leurs pouvoirs.
Bref même si je préfère l’utopie à la dystopie, j’ai bien aimé ce jeu…
Je l’ai testé à trois joueurs jusqu’à présent, mais nous avons enchainé dès la première fois quatre parties qui devenaient de plus en plus rapides et fun, à moins que ce ne soit l’effet de la bière…
Le slogan sur la boite : « Construisez une meilleure dystopie » vous met directement dans l’ambiance.
Pourtant malgré tout l’enthousiasme du matériel me renvoyant à d’anciens amours littéraires et cinéphile du genre, ce n’est pas le thème qui m’a conquis, mais bien la mécanique riche de rapidité, de simplicité et de diversité.
C’est un jeu de placement avec un plateau et des règles intuitives, du matériel de qualité et plein de petits mécanismes bien sympathiques comme vos ouvriers qui vous abandonneront s’ils deviennent trop lucides.
Euphoria ne s’arrête pas là, car même si c’est un jeu de placement d’ouvriers, c’est également un jeu de course ou il vous faudra être le premier à vous débarrasser de vos dix marqueurs d’autorité pour que la partie s’arrête immédiatement vous donnant la victoire.
Et encore ? Oui, car en plus de placer et de courir, vous allez convertir des ressources comme de l’eau, du bois, de la pierre, piocher des cartes spécialistes et utiliser leurs pouvoirs.
Bref même si je préfère l’utopie à la dystopie, j’ai bien aimé ce jeu…
Je l’ai testé à trois joueurs jusqu’à présent, mais nous avons enchainé dès la première fois quatre parties qui devenaient de plus en plus rapides et fun, à moins que ce ne soit l’effet de la bière…
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