Inspiré de "6 qui prend" mais plus fluide
S’inscrivant dans la famille de jeux qui s’inspirent de 6 qui prend, Bumbesi réussit à nous séduire par sa fluidité et sa simplicité. Les joueurs se débarrassent de leurs cartes s’ils peuvent les poser dans un des deux espaces qui sont ouverts. Deux cartes nommées « limites » posées sur la table régissent des espaces dans lesquels aucune carte supérieure ne peut être posée. De plus, lorsqu’une carte est posée, elle interdit également toute valeur inférieure à cette carte. Un exemple valant mieux qu’un discours, si la carte limite est 57 et la dernière carte posée 43, seules les cartes comprises entre 44 et 56 peuvent être posées.
Lorsqu’un joueur ne détient pas une carte valable, sa seule issue est de se servir d’une carte spéciale qui lui permet soit de monter la limite, soit de changer le sens de jeu, soit encore de voler une carte chez un adversaire. A défaut, il doit prendre toutes les cartes d’un espace, ce qui lui vaudra autant de points négatifs en fin de partie. La règle de jeu s’apprend en un, deux, trois et ne pèche par aucune ambiguïté.
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