Drôle de médecine ...
sur
Nidavellir
En pleine période covid j'ai d''abord cru que le Nidavellir était un antiviral puis je me suis souvenu qu'il s'agissait du nom du royaume des nains dans la mythologie nordique.
Une petite boutade pour dire que le thème est peu présent (ça pourrait en effet aussi être des chercheurs qu'on tente d'embaucher pour avoir le meilleur laboratoire).
Bien que les graphismes des cartes ne soient pas ma tasse de thé (un peu trop ternes à mon goût) c'est soigné est assez cohérent.
Je ne suis pas fan des portes-carte : outre la mise en place fastidieuse (idem avec le présentoir à pièce), ça ne rend pas la lecture des cartes forcement plus facile, voir ça complique plus que ça ne simplifie (déplacer les supports pour mieux voir les cartes est délicat).
J'ai eu un peu de mal à me plonger dans les règles (assez simples finalement) : elles m'ont semblé manquer de clarté. Ce n'est pas l'écriture inclusive qui m'a gêné mais plutôt le nombre important de renvois vers d'autres pages tout au long de la règle, l'utilisation d'un vocable propre au jeu, la présence de trop nombreux exemples (c'est une chose plutôt positive en général) sans typographie spécifique (ceux-ci se fondent dans le reste des règles et les rendent moins lisibles).
La mise en place est un peu fastidieuse aussi.
Nidavellir est un jeu de collection avec un mécanisme d'enchère secrète.
On va essayer de collectionner des cartes nains de cinq différentes factions afin de marquer des points de victoire.
L'un des dilemmes du jeu est l'équilibre entre se spécialiser dans une ou quelques factions afin de marquer beaucoup de points (les scores dans chaque faction augmentent de façon exponentielle selon le nombre de cartes) ou d'être plus généraliste car le fait de détenir une série de 5 membres des différentes factions permet d'embaucher un héros (une carte bonus/pouvoir).
Autre dilemme : la possibilité d'augmenter la valeur des pièces qui nous permettent de réaliser nos enchères.
Il y a un décompte intermédiaire à mi-jeu qui permet en cas de majorité dans chaque faction d'acquérir un pouvoir/bonus supplémentaire.
Bien que la mécanique et l'originalité du jeu m'ai plu, j'ai trouvé le jeu un peu lourd, monotone.
A chaque égalité d'enchère l'échange de gemmes (pions qui tranchent l'égalité) s'avère assez fastidieux même si cela est indispensable à l'équilibre du jeu.
Le calcul des points en fin de partie est long et pénible (il y a à priori une application informatique qui permet de simplifier les comptes mais je n'ai pas de smartphone et suis plutôt réfractaire aux nouvelles technologies).
la multitude des héros et des pouvoirs parfois complexes n'arrange pas les choses (à chaque fois qu'on a la possibilité d'en gagner ça crée des pauses importantes dans le jeu).
Certaines factions se ressemblent trop et une faction m'a paru très faible par rapport aux autres.
Pour autant ce jeu a bien des qualités et vaut le coup d'être découvert.
Une petite boutade pour dire que le thème est peu présent (ça pourrait en effet aussi être des chercheurs qu'on tente d'embaucher pour avoir le meilleur laboratoire).
Bien que les graphismes des cartes ne soient pas ma tasse de thé (un peu trop ternes à mon goût) c'est soigné est assez cohérent.
Je ne suis pas fan des portes-carte : outre la mise en place fastidieuse (idem avec le présentoir à pièce), ça ne rend pas la lecture des cartes forcement plus facile, voir ça complique plus que ça ne simplifie (déplacer les supports pour mieux voir les cartes est délicat).
J'ai eu un peu de mal à me plonger dans les règles (assez simples finalement) : elles m'ont semblé manquer de clarté. Ce n'est pas l'écriture inclusive qui m'a gêné mais plutôt le nombre important de renvois vers d'autres pages tout au long de la règle, l'utilisation d'un vocable propre au jeu, la présence de trop nombreux exemples (c'est une chose plutôt positive en général) sans typographie spécifique (ceux-ci se fondent dans le reste des règles et les rendent moins lisibles).
La mise en place est un peu fastidieuse aussi.
Nidavellir est un jeu de collection avec un mécanisme d'enchère secrète.
On va essayer de collectionner des cartes nains de cinq différentes factions afin de marquer des points de victoire.
L'un des dilemmes du jeu est l'équilibre entre se spécialiser dans une ou quelques factions afin de marquer beaucoup de points (les scores dans chaque faction augmentent de façon exponentielle selon le nombre de cartes) ou d'être plus généraliste car le fait de détenir une série de 5 membres des différentes factions permet d'embaucher un héros (une carte bonus/pouvoir).
Autre dilemme : la possibilité d'augmenter la valeur des pièces qui nous permettent de réaliser nos enchères.
Il y a un décompte intermédiaire à mi-jeu qui permet en cas de majorité dans chaque faction d'acquérir un pouvoir/bonus supplémentaire.
Bien que la mécanique et l'originalité du jeu m'ai plu, j'ai trouvé le jeu un peu lourd, monotone.
A chaque égalité d'enchère l'échange de gemmes (pions qui tranchent l'égalité) s'avère assez fastidieux même si cela est indispensable à l'équilibre du jeu.
Le calcul des points en fin de partie est long et pénible (il y a à priori une application informatique qui permet de simplifier les comptes mais je n'ai pas de smartphone et suis plutôt réfractaire aux nouvelles technologies).
la multitude des héros et des pouvoirs parfois complexes n'arrange pas les choses (à chaque fois qu'on a la possibilité d'en gagner ça crée des pauses importantes dans le jeu).
Certaines factions se ressemblent trop et une faction m'a paru très faible par rapport aux autres.
Pour autant ce jeu a bien des qualités et vaut le coup d'être découvert.
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