Beauf et Laborieux
Lorsque j'ai reçu la boîte, j'étais assez excitée : le matériel est foisonnant, le choix du 15mm rend bien, et le jeu donne envie, même si le mélange des thèmes et la dichotomie axiologique font un peu beauf et indigeste. Cerise sur le gâteau : les figurines gigantesques, et le dragon, pour lequel on se demande ce qu'il vient faire en pleine Guerre de Cent Ans.
Et puis on décide de jouer. Et là, c'est la catastrophe : la multitude d'unités fait qu'il est très difficile de les différencier, et surtout de les retrouver parmi les autres lors de l'installation. Ce problème est amplifié par le fait que les pertes impactent des unités composée de plusieurs figurines, et non les figurines de ces unités. Pourquoi donc avoir mis en place le système d'unités dans ce cas ? Ça rajoute inutilement des figurines pour rien. La mise en place est donc d'une galère sans nom. Et pour le rangement, c'est encore pire : à moins de bénéficier d'une étagère dédiée, il est impossible de tout ranger dans les boîtes.
Concernant les règles en elles-mêmes, bien que simplistes et sans saveur, elles réussissent l'exploit de rajouter des éléments qui viennent inutilement les complexifier. Les cartes sont ridiculement petites, ce qui fait que l'on ne peut pas manœuvrer, tenter d'encerclement, effectuer des attaques de flanc ou par l'arrière. Il manque énormément d'éléments, comme le moral, par exemple, qui donnent la tonalité épique que l'on recherche dans ce genre de jeu.
C'est d'autant plus dommage, que la simplicité des règles laissait présager de bonnes choses. J'ai bien aimé le fait que chaque unité dispose d'une particularité propre : nul besoin de tableaux entiers de caractéristiques pour les différencier.
Je suis sidérée que ce genre de jeu fonctionne tant, alors qu'ils ne proposent que du vide.
Résultat, j'ai fait une partie et demi, et j'ai revendu le jeu aussi sec.
Je suis terriblement déçue, parce que j'adore les jeux de stratégie, de figurines, et je pensais que j'aurais enfin tenu LE wargame avec figurines. Mais peut-être le problème vient-il de moi...
Et puis on décide de jouer. Et là, c'est la catastrophe : la multitude d'unités fait qu'il est très difficile de les différencier, et surtout de les retrouver parmi les autres lors de l'installation. Ce problème est amplifié par le fait que les pertes impactent des unités composée de plusieurs figurines, et non les figurines de ces unités. Pourquoi donc avoir mis en place le système d'unités dans ce cas ? Ça rajoute inutilement des figurines pour rien. La mise en place est donc d'une galère sans nom. Et pour le rangement, c'est encore pire : à moins de bénéficier d'une étagère dédiée, il est impossible de tout ranger dans les boîtes.
Concernant les règles en elles-mêmes, bien que simplistes et sans saveur, elles réussissent l'exploit de rajouter des éléments qui viennent inutilement les complexifier. Les cartes sont ridiculement petites, ce qui fait que l'on ne peut pas manœuvrer, tenter d'encerclement, effectuer des attaques de flanc ou par l'arrière. Il manque énormément d'éléments, comme le moral, par exemple, qui donnent la tonalité épique que l'on recherche dans ce genre de jeu.
C'est d'autant plus dommage, que la simplicité des règles laissait présager de bonnes choses. J'ai bien aimé le fait que chaque unité dispose d'une particularité propre : nul besoin de tableaux entiers de caractéristiques pour les différencier.
Je suis sidérée que ce genre de jeu fonctionne tant, alors qu'ils ne proposent que du vide.
Résultat, j'ai fait une partie et demi, et j'ai revendu le jeu aussi sec.
Je suis terriblement déçue, parce que j'adore les jeux de stratégie, de figurines, et je pensais que j'aurais enfin tenu LE wargame avec figurines. Mais peut-être le problème vient-il de moi...
Commentaires (5)