À la guerre comme à la guerre
On ne va pas revenir sur la grande part de hasard qui peut rebuter tout joueur amateur de stratégie pure... quoi que!
Ben tiens, si, revenons-y... mais pour l'aborder sous l'angle que je lui trouve positif : l'obligation d'adaptabilité.
Non, on n'a pas toujours les cartes que l'on veut. Oui, les dés, c'est toujours trop pourris. Mais c'est avec ça qu'il faut gagner!
Et donc, la question n'est plus : "quel plan machiavélique je vais mettre en place?" mais "comment je vais retourner cette situation foireuse avec les faibles moyens que j'ai dans ma main?" Bref, Mémoire 44 force les joueurs à une adaptabilité constante, une souplesse dans les plans "pré-établis" et, pour ma par, c'est aussi intéressant qu'un jeu stratégique sans hasard. C'est juste autre chose. Et c'est aussi ça, la guerre...
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