Paris est Ludique 2018

[CIV : Carta Impera Victoria][Colt Express]

Préambule

L’année dernière, à ma venue à Paris, j’y avais été choqué d’y voir dans un beau quartier, des dizaines de tentes, de sdf.

La misère que j’y avais côtoyé il y a 15 ans y était accentuée.

Cette année encore, ce fût l’une des premières choses que j’y vis en arrivant et la dernière par mon covoitureur, indien, père de famille et travaillant 10 heures par jour sur des chantiers,il avait décidé de quitter Paris à cause de cela.

Il n’en pouvait plus de cet atmosphère.


Pour les joueurs, Paris est ludique est un moment joyeux, agréable, où ils oublient tout le reste.

Mais en tant qu’infirmier, passant parfois d’un jour à l’autre d’un escarre à une table de jeu, je ne peux pas faire abstraction de cette misère malgré le bon moment qui va se dérouler au festival.

Peut être faudrait éviter d’en parler pour certains, peut être faudrait t-il en parler de manière plus politiquement correct.

Peut être…

Mais j’ai décidé de traiter le sujet de manière cynique et burlesque à la fois.

Le narrateur, arrive à Paris et se compare à un gaulois envahi, il se réfugie dans le dernier lieu protégé, le village de Paris est Ludique, afin pense t-il d’échapper à cette misère.


Pour ma façon de parler des joueurs, elle est faite avec amour, passion, c’est parce que je créé une relation avec eux au fil de mes explications, des parties,

Je ne fais pas une simple explication, comme je ne fais pas un pansement sans parler à mon patient.

Je m’adapte, j’improvise, j’y mets le ton, le sourire, la vanne parfois, et les gens s’amusent, rigolent et me vannent à leur tour.


A Strasbourg, j’y ai rencontré une femme me rappelant que je lui avais déjà expliqué des jeux sur 2 festivals et elle m’attendait sur Paris est Ludique.

Une boulangère, le lendemain du festival me demanda comment c’était passé mon week end alors qu’elle me rencontrait dans la rue.


Mr Ludovic Chatillon (ludodelaludo), ludothécaire à Pechbonnieu de son état y voit de la haine.

Il voit de la haine partout chez moi, je dois suer la haine d’ailleurs…

Il voit de l’ambition et de la haine.

Je cite :

" plein d'a priori négatifs et malsains."
"après la lecture de ses écrits (racisme, machisme, irrespect des autres, condéscendance....)"
" je ne crache pas sur les gens à tout bout de champs, je peux encore me regarder dans une glace."
"vous écrivez le nez sur votre nombril, vous posez des questions à des gens (du milieu), en dirigeant les réponses qui vous sont faites. "
"la réaction puérile de ce monsieur qui se prend pour ce qu'il n'est pas, c'est à dire quelqu'un d'important aux yeux des autres. "


Laissons le voir ce qu'il a envie.


Eh oui , on a le droit de trouver Paris laide, et de constater qu'elle est malheureusement emplie de pauvreté, reprenez mon article de l'année dernière c'est déjà ce qui m'avait choqué.
Allez faire jouer pendant que des gens dorment dehors...
Certains n'ont peut être pas envie de le voir ce privilège mais j'avais besoin d'en parler.
Non, Paris n'est pas une ville magnifique, (pour y avoir vécu), la détresse, la pauvreté, l'odeur du métro, les malades psychiatriques qui errent dans les couloirs du métro...
Paris est une ville tentaculaire qui retient ces malades, ces pauvres pendant que certains s'amusent et jouissent des beaux quartiers .
Non je trouve pas beau ce que j'y vois et les jolis monuments n'y changeront pas...
Nous ne regardons peut être pas les mêmes choses quand nous y marchons.



Paris est ludique c'est dans un premier temps pour nous provincial devoir venir à Paris.

Et avouons le pour la majorité d'entre nous c'est un calvaire.

Embouteillage, hôtel, place de parking et café hors de prix, odeur suburbaine, ville particulièrement laide et sale, affichant sa misère par l'alignement de tentes sans domicile fixe....

Avouez le, je ne vous donne pas vraiment envie de continuer, n'est ce pas?

Le seul moyen d'y échapper un peu a été tels des petits gaulois de nous enfermer dans un petit village ludique au fond du 12 ème arrondissement.

Il nous faudrait tenir le lieu jusqu'à dimanche 18h, puis l'abandonner aux Ro(u)mains.

La traversée de jusqu'à Paris

Il m'aura fallu 3h30 de ma Burgondie afin d'atteindre les terres du festival Lutèce est druidique , Paris est ludique.

Un chanteur d'Opéra m'emmena jusqu'à la capitale, une belle façon de voyager et de parler d'histoire, de Shadi

Torbey, d'opéra, du jeu, de l'art et des émotions que celui-ci procure.

Un artiste, un vrai, qui m'a conforté dans mes interrogations sur la question de ce que doit être l'art.

Parfois le covoiturage vous permet de réelle belle rencontre.

Souhaitez-vous prendre votre Revanche ?

Arrivant avant mes colocataires du week-end, je pris une pause au nouveau Bistrot ludique de Paris, La Revanche.

Un lieu ouvert depuis 2 mois, Avenue Daumesnil, un endroit plutôt classe, propre, avec des gens sympathiques, avec de bonnes tartines végétariennes.

Seul le café à 3 euros m'aura fait tiquer... le double de la province... Ah Paris.... mieux faut presque s'enivrer que s'encaféiner!

J'en profitais pour interviewer le patron du lieu, un homme ma fois plutôt sympathique et qui vous permettra de bientôt découvrir l'endroit.

Samedi, une résistance de 10 heures face à l'ennemi joueurs

Bien souvent, les gens pensent qu'animer est un métier facile et amusant.

Faites 10 heures d'animation sous le cagnard et nous en reparlerons.

Premier règle : Ne pas parler du figh... S'hydrater!

Seconde règle : Mettez l'ambiance à vos tables afin que les joueurs s'amusent avec vous, le temps ne passera que plus vite.

Pour un petit village résistant aux envahisseurs ludiques, je dois avouer que nous avons été pris d'assaut dès 10 heures le matin par des hordes de sympathiques joueurs.

CIV : Carta Impera Victoria était donc fort à propos afin de rester dans le thème de l'antiquité.

Rémy amy, l'auteur y présentait son premier jeu avec enthousiasme.

Le second jeu que j'animai était Atlandice, un jeu qui sortira en septembre.

Un petit jeu de majorité avec du draft de dés dedans.

Les joueurs aiment découvrir en avant première les jeux encore dans les cartons.

Le second prototype, Sentinels d'Eric Jumel arrivera en octobre, d'un esthétisme surprenant pour un éditeur comme les Ludonautes, Sentinels à semblé particulièrement plaire aux joueurs s'y frottant.

Bien évidemment Colt Express était lui aussi de la partie, avec l'arrivée prochaine des minis extensions.

Une belle partie de Colt Express

Serais-tu de Thai à tout manger?

Après une dure journée et les ennemis joueurs repoussés, les professionnels se retrouvaient pour un pot local (l'existence d'un jeu de mot ne serait que pur coincidence)

Une dure journée, quelques bières gratuites et des petits fours rendent n'importe quel professionnel à jeun complétement joyeux et bavard.

Pour répondre à ce problème, la soirée s'acheva dans un restaurant thailandais en compagnie notamment de François Hotton d'Haba et de Juan Rodriguez.

Rapidement le restaurant ressembla vite à une soirée privée de Paris est ludique, grâce à l'arrivée d'une nouvelle horde : la joyeuse Team Gigamic menée par leur chef David.

Dimanche : Manche

La seconde journée sera elle aussi très chaude, non par la présence de belles joueuses venant occupées nos tables de jeux, mais bien par la température et un vent soulevant les cartes cartes de CIV et de Sentinels.

Cela n'empêchera pas pour certains de garder la classe comme Florent Toscano

Le dimanche sera l'occasion de rencontrer des joueurs complétement différents :

-Une tablée où le seul mâle de la table tente d'anticiper chaque point de règle lors de mon explication, il ennuiera même sa propre copine qui lui lâchera un salvateur : "Laisse le expliquer"

-De jeunes enfants quelques peu impatients de tout connaître de CIV

-Un groupe de jeunes gens sympathiques, plutôt joueurs de jeux d'ambiance et tentant de s'aventurer dans du plus lourd et

qu'il faut accompagner tout le long de la partie

-Un groupe de filles très sympathiques mais qui n'aura retenu aucune règles

-4 filles, 2 garçons ne se connaissant pas et qui durant 1 heure s'éclateront à se vanner comme de vieux potes, à rigoler ensemble autour d'Atlandice.

Ils m'auront permis de passer un très bon moment.

Dominique Breton, dit Ze blatte vient essayer Atlandice

Et voilà, le festival se terminera finalement rapidement.

Il me faudra alors quitter rapidement la Capitale dévastée par cette horde de joueurs.

Un festival qui attire parisiens, banlieusards et provinciaux venant parfois de loin.

Merci aux organisateurs, au Ludonaute pour leur nouvelle confiance, merci à Alexandre Droit pour Dream on, et merci à vous les joueurs bienveillants qui venez passer un bon moment avec nous les animateurs ludiques professionnels!

Et voici encore quelques photos :


Pour ceux qui souhaiteraient soutenir mes entretiens ou mes reportages, voici ma page tipeee, même un petit geste fait plaisir et vous pourrez contribuer à d'autres interviews réalisés sur des festivals (Cannes, Paris est ludique, Essen...) :

Ma page Tipeee

Merci à mes Tipeeeurs de me soutenir : Arnaud Urbon, Bruno Faidutti, Emilie Thomas, Nicolas Soubies ,Virgile De Rais, Pierre Rosenthal, et Ludikam!

Pour ceux qui souhaiteraient découvrir les précédents entretiens, mes animations ou suivre ma page facebook :

Jeux Viens à Vous

3 « J'aime »

Un article sans grand intérêt. D’une part c’est très mal rédigé, faut faire un peu d’effort de rédaction quand même.
Certains de vos propos sont un peu choquants. Dans l’ordre de l’article :

  • “Venir à Paris c’est un calvaire”. Bon sans doute…
  • “Une ville particulièrement laide et sale”. Pour le sale, je vous l’accorde. Mais pour le laid ? Vous ne devez pas être très sensible à l’architecture haussmannienne ou aux HLM historiques des années 30. Tant pis pour vous !
  • “Une ville qui affiche sa misère”. Bonjour l’exagération. Oui il y en a, comme toute métropole mondiale qui se respecte.
  • “Abandonner le lieu pour des Roumains”. Sympa votre mentalité ! Les Roumains apprécieront.
  • “Les jeunes filles sympathiques qui ne retiennent aucune règle”. Allez, on y va pour les clichés sur les nanas qui ne comprennent rien aux règles des jeux.
    Bref, au final, beaucoup de lieux communs, des remarques très peu pertinentes, des réflexions très éloignées des intérêts de ceux qui vous lisent (le resto thaï…). Copie à revoir jeune homme !
    Salutations cordiales quand même à votre Burgondie natale.
14 « J'aime »

Je vous remercie de ce commentaire! :smiley:

Ca reste toujours dans le ton des interviews, c’est à dire imprécis, bancal, à sens unique et plein d’a priori négatifs et malsains.
Donc même si l’auteur de ce “papier” en a souffert ce week end, je dirais rien de nouveau sous le soleil.

4 « J'aime »

Effectivement ça reste dans le même ton, donc inutile de continuer à vous embêter à lire , ça ne changera pas! :wink:
Bizarrement ça plait à d’autres gens, mais j’imagine que vous ferez bien mieux :slight_smile:

Mais bien sûr qu’il a du souffrir le pauvre bougre. On les a vu les animateurs des stands, suer à grosses gouttes par 30°C, et ce pendant deux jours. Franchement, je leur tire mon chapeau. D’autant que je n’ai vu que des gens passionnés et chaleureux.
Ceci dit, quand on est un professionnel d’un secteur, quel qu’il soit, on fait un peu attention à ce qu’on écrit. Bon, je vais pas remuer le couteau plus profond d’autant qu’il a l’air sympathique ce garçon.

Bonjour,
C’est décidé, je ne vous lirai plus.
Je goûte en effet assez peu l’humour que l’on qualifie de second degré pour s’affranchir des clichés que l’on contribue à colporter. Rire de tout, d’accord. Encore faut-il connaître son public, pour être certain que l’intention ne soit pas dévoyée. Y a-t-il intention de votre part ? Je n’ai pas la réponse, d’où problème.
C’est d’autant plus regrettable que l’ouverture à l’autre ne semble pas être la monnaie de notre époque.
J’ai personnellement passé deux jours magnifiques à PEL, avec mes enfants. Nous avons joué (13 heures en 2 jours, joli score) avec des gens que nous ne connaissions pas et que nous ne reverrons sans doute jamais. Depuis les jeux d’ambiance jusqu’aux gestions de ressources plus exigeantes, nous avons trouvé des partenaires/adversaires attentifs et souriants avec une envie partagée : la découverte. Merci à tous ces auteurs/éditeurs qui nous ont accueilli d’une façon formidable, et aux organisateurs qui réalisent ce miracle annuel
Quant au reste de l’article, je le trouve très superficiel et je n’y apprend pas grand chose. Des avis un peu définitifs, pas d’arguments… En tout cas rien qui ne puisse m’aider à réfléchir plus loin.
Ecrire vos articles doit vous être utile, je vous laisse donc la liberté de les rédiger. Je vous remercie de me laisser celle de ne pas les lire.

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Je ne dirais pas sympathique, en tout cas, ça ne saute pas aux yeux après la lecture de ses écrits (racisme, machisme, irrespect des autres, condéscendance…)
Quand on voit le nombre de vos Tipeeurs, on doute que cela plaise à beaucoup de monde. Ça à l’air de vous plaire à vous, c’est déjà ça. Je ne sais pas si je fait mieux mais en tout cas je ne crache pas sur les gens à tout bout de champs, je peux encore me regarder dans une glace. En tout cas, j’ai retenu la leçon : toujours regarder le nom de l’auteur d’un article avant de le lire.

7 « J'aime »

Si vous saviez lire le second degré cher ludothécaire, vous comprendriez le second degré qui dénonce justement le pauvreté , le racisme, le machisme et l’irrespect.
Si vous aviez lu un tant soit peu, mes entretiens, vous auriez lu que je fais parler mes invités sur la pauvreté, le racisme, le machisme…
Mais non, vous parlez sans savoir…

Le nombre compte, peu c’est la qualité de mes tipeeeurs qui me convient les gentillesses que l’on me dit sur les festivals à propos de mes entretiens.
Ceux qui critiquent, je ne les vois jamais bizarrement en face. :slight_smile:
Vous ne crachez pas sur les gens à tout bout de champ? Ah, excusez moi j’ai cru…
Bonne continuation

C’est vrai, vous avez raison ludodelaludo, pas très sympathique en fait. J’ai dit cela pour pas faire trop méchant ! Je viens de lire un article de son cru, pris au hasard, celui de Flamme rouge. Cela confirme vos remarques : du machisme et du très mauvais goût. Comme quoi, l’écriture, ça se travaille, c’est pas inné…

1 « J'aime »

Excusez du peu Mr Jeux viens à vous, mais je ne vois pas où se trouve le second degré dans votre article. Si vous voulez en faire, il faut s’y prendre autrement parce que là ce n’est pas flagrant. Je viens de lire quelques uns de vos articles, il peut effectivement y avoir des traces d’humour par moment. Mais dans celui que vous avez rédigé pour PEL, pas vraiment. Allez, pas grave, vous ferez mieux la prochaine fois.

Mes entretiens ont toujours posé des questions sur le racisme (Farid Ben salem, un autre à venir), la pauvreté, l’éducation, le machisme (Lia Sabine…) etc…
Peut être que mon second degré n’aura pas été compris ici. C’est ainsi.
Par je n’ai jamais obligé les gens à lire mes articles.

Je soutiens ceux, qui comme moi, trouvent cet article très peu marrant, très peu intéressant et parfois très limite (le second degré, avant de se lire, ça s’écrit correctement, c’est dangereux de mal le manier). Qu’ils parviennent à ne pas réagir aux réponses insultantes de son auteur. Le libre accès à l’écriture sur TT n’a pas que du bon décidément…

18 « J'aime »

L’article de Flamme rouge ne comporte trace de machisme.
Vous pouvez tenter d’en trouver autant que vous le souhaitez, il n’y en a pas, bien au contraire.
Si évidemment vous souhaiter en trouver pour des raisons qui vous sont propres, cela vous regarde.
Mais j’aurais tendance à vous conseiller à ne pas lire les prochains articles, vous devriez continuer à ne pas y voir ce que vous y cherchez. :slight_smile:

Seb, on peut tout à fait ne pas aimer mes articles ou ne pas les trouver marrant.
Il ne me semble pas que j’ai eu de réponses insultantes, mais quand certaines personnes ont compris que mon ton ne leur plaisait pas, pourquoi continuent t-ils à me lire (et donc y déverser leur propos insultants) ? Je ne sais pas… ça me pose sérieusement question.
Je n’ai personnellement pas le temps d’écouter de la musique qui ne me plait ou de terminer un livre d’un auteur qui ne m’a pas plu.

MERCI pour le reportage ! :slight_smile:

Ah le fameux coup du second degré…! Mais je les ai tous ou presque lu vos “interviews”, en fait même je serai capable de comprendre le second degré mais pas chez vous, tellement vos propos sont méchants (ça ne vous rappelle pas une polémique justement vous concernant?), vous écrivez le nez sur votre nombril, vous posez des questions à des gens (du milieu), en dirigeant les réponses qui vous sont faites.

Je pense que ceux qui ne vous apprécie pas n’ont pas de temps à perdre à venir vous le dire, il faudrait pouvoir vous reconnaître aussi.

Bref la carte du second degré, vous l’avez tellement utilisée qu’elle est cornée de toute part, changez de carte…

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Et Monsieur, si par le futur vous décidiez de “m’appelez” par mon pseudo au lieu de me qualifier par ma profession, ça me conviendrais mieux. Qualifiez les autres, ça aussi vous en avez pris la fâcheuse habitude …

Allons allons messieurs, nous n’allons pas nous embarquer dans une polémique stérile. Chacun lit, écoute ce qu’il lui plait effectivement. En revanche, ce que vous ne comprenez pas cher Mr Viens pas chez moi, c’est le ton que vous utilisez pour décrire notre belle capitale et les gens qui y habitent. Votre article est parfois (pas toujours) un peu méprisant, remplis de clichés. Alors sans doute, il y avait de l’humour derrière, mais c’est tombé un peu à côté. Cela ne vous plairait sans doute pas, si par le plus grand des hasards ,était organisé dans votre ville de Dijon (je me trompe ?) un festival ludique. Vous verrez sans doute d’un mauvais oeil un article décrivant votre ville de province comme dégueulasse, laide, peuplée de bouseux débiles, de sales SDF dormant dans des taudis ou au mieux des tentes, envahie par des migrants venus d’on ne sait où ou des Roumains roulant en mercedes flambant neuves. Bref je ne continue pas le tableau, métaphoriquement très exagéré, car vous avez sans doute compris le propos…

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Des vacances. Faire une pause, se ressourcer, se changer les idées, repartir. Parce que même la plus belle des activités peut finir par émousser celui qui la pratique intensément.

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