Le JDA 2002

Le JDA 2002Recevoir un prix, c’est bien. C’est mieux si les gens le savent. L’objectif de l’AFPEJ (Association de Promotion et d’Evaluation des Jeux de société) était donc de remettre son prix de manière solennelle et d’avoir des retombés médiatiques.
Le musée Français de la carte à jouer d’Issy-le-Moulineaux (prix Européen du musée de l’année 1999) a servi de décors à la remise du premier “jeu de l’Année”. C’est donc non loin d’une splendide collection de cartes à jouer que Monsieur Philippe des Pallières a reçu, devant un parterre de personnalités ludiques et d’amateurs de jeux, le trophée pour “La guerre de moutons”.
Petit discours, petits-fours, joli trophée, le petit comité organisateur, avec à sa tête Monsieur Alain Rivollet, n’a pas fait les choses à moitié. L’équipe, avec un budget de rien du tout (10 cotisations !), a réussi un tour de force. Ils méritent le respect et force l’admiration. Un respect qui oblige le joueur à adhérer à l’association de manière immédiate en remplissant le formulaire et en envoyant sa cotisation de 15 €uros ! Cela fait peut-être prosélyte, mais lorsque l’on voit à quel point “Jeu de l’Année” a de l’impact sur les médias, l’initiative est à soutenir. En effet, Monsieur des Pallières a eu droit, dès le lendemain, à la couverture du supplément “Hauts-de-Seine matin” du Parisien. Article que vous pouvez retrouver sur internet en cliquant ici.
Mais ce n’est pas tout, France-Inter accueillait l’auteur et ses moutons pour son journal “Le treize Quatorze”, présenté ce jour-là par Monsieur Fabrice Drouelle. 10 minutes à parler du jeu de société, du “Jeu de l’Année” et de la “fascination” de Monsieur des Pallières pour les loups. Un direct pas forcément évident où les deux journalistes interviewer avaient chacun leur angle, l’un s’intéressant à l’anecdote et à la création en général, l’autre plus attentif à la place du jeu dans nos bonnes sociétés des loisirs et de la consommation.
Il est amusant de noter que le public, présent durant l’émission, est naturellement venu poser des questions sur le jeu à son auteur, prouvant ainsi l’impact de l’intervention et l’intérêt que peut susciter le jeu de société.

Pour Tric Trac,
Monsieur Phal, reporter.
Crédits photos & commentaires: Monsieur Phal