Alinéa, Histoire de la Puissance Aérienne - 1914 - 1918

Pour cet Alinéa, l’aérien Monsieur Guillaume et l’aérodynamique Monsieur Patrick nous dévoilent la conquête de l’air et le développement aéronautique comme outil militaire. En compagnie du pilote Monsieur Guillaume (le nôtre), ils reviennent sur les premières utilisation de l’appareil aérien à des fins militaires de 1914 à 1918.

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Belle vidéo sur la création et la montée en puissance de ce qui deviendra l’arme aérienne.
Pour avoir regarder les 2 vidéos sur Youtube, citées par M. Patrick, sur les as de la 1ère Guerre Mondiale, je le rejoins lorsqu’il dit qu’elles sont excellents. J’ajoute à titre personnel, le magazine n°46 de Guerre & Histoire : Les As de l’Aviation, pourquoi les 100 premiers sont allemands.

En jeu sur l’aviation de la 1ère guerre mondiale, je vous recommande Wings for the Baron de Dave Townsend chez Victory Point Games, basé sur la lutte technico industrielle en Allemagne pour faire évoluer les designs des avions de 1916 à 1918, avec une version de base centrée sur les chasseurs, mais des règles avancées permettant d’intégrer les avions de reconnaissance et les bombardiers.

Ouf j’ai eu peur quand M. Patrick a parlé du documentaire d’Arte juste après Fly Boy, qu’il dise aussi qu’il était mauvais :smiley: Parce que en tant que non connaisseur sur l’aviation pendant la 1ère guerre mondiale j’avais trouvé ce documentaire très intéressant justement et retrouvé pas mal de choses que M. Patrick a dites. Content donc qu’il le conseille :slight_smile: … ah oui j’allais oublier le principal, merci pour ces alinéas toujours aussi passionnants, avec des intervenants de hautes volées. Bravo !!!

Merci beaucoup pour ce moment d’instruction et d’intelligence.
Assez étonnamment, j’avais déjà entendu, il y a longtemps, la dernière remarque sur le fait que l’essentiel de la guerre aérienne entre 1914 et 1918 avait tourné autour des missions d’éclairage et de guidage de feu, faisant de l’humble équipage de biplace d’observation le véritable héros de cet aspect des combats, même s’il ne constituait pas du bon matériau de propagande.
Quant à la qualité défaillante d’un documentaire allemand sur Richthofen… il faut simplement savoir qu’aujourd’hui toute production allemande de ce type est obligée de se vautrer dans des tonnes de Krieg-gross-Malheur et d’autoculpabilisation débouchant sur des jugements moraux où l’absurde le dispute à l’anachronique, sous peine de ne pas pouvoir être produit.