Between Two Cities: l'Herbe est toujours plus verte dans le près du voisin

[Between Two Cities]

Si je vous dis que « Between Two Cities » est un jeu de City Building, vous ne serez pas étonnez, nous sommes d’accord ? Le titre nous donne cette impression à coup sûr. Après, vous pourriez penser que c’est un jeu pour 2 joueurs, oui ? Non. Vous voyez, ce jeu de City Building a une tournure assez originale. Vous n’allez pas construire une seul ville, mais deux !

Inventé par Ben Rosset et Matthew O’Malley, financé sur Kickstarter et publié par Stonemaier Games, ce jeu pour 3 à 7 joueurs vous demandera de travailler avec votre voisin à votre droite et votre gauche pour construire des villes. Cependant il faut traiter chacun de la même manière car, à la fin de la partie, seule la ville avec le moins de points comptera pour votre score !

Une partie se déroule en 3 rounds où chaque round se déroule en 3 tours. Chaque tour commence avec un draft où les joueurs choisissent 2 tuiles d’une pile qui leur est donnée. Une fois qu’ils ont tous choisi, les joueurs révèlent leurs choix. Il faut ensuite discuter avec vos collègues de chaque coté pour déterminer quelles tuiles seront les mieux pour votre ville et espérer que vos idées sont en phase avec les leurs !

Boulot, métro, dodo.

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Ces tuiles montrent des magasins, parcs, habitations, usines, tavernes et bureaux. Comme dans la plupart des jeux de City Building chaque type de bâtiment vous permet de marquer des points d’une façon assez unique à la fin de la partie : combien y en a-t-il dans votre ville ? Quel genre de bâtiment est à coté ? Qu’est qu’il y a d’autre comme construction dans la ville ? L’idée est de placer vos tuiles de façon à développer vos deux villes également. À la fin de la partie, chaque ville fera 4 tuiles par 4 tuiles et vous marquerez autant de points que votre ville la plus faible donc l’équilibre est clé ! Vous devrez persévérer avec chacun et vous adapter selon la disponibilité des tuiles.

Le deuxième round utilise aussi les « doubles tuiles », c'est-à-dire deux types de bâtiment attaché ensemble. Et vous ne pouvez en choisir qu’une pour votre ville. Ces tuiles peuvent définir la stratégie de votre métropole car ils prennent de la place et leurs compositions sont fixes. Parfois il faudra trancher.

Urbanisme casuelle

Le jeu est rapide, facile à jouer et très amusant. Si vous aimez les jeux city building alors celui-là possède un vrai « twist » avec son élément semi-coopératif, semi-compétitif où il faut jouer à la fois avec et contre vos camarades.

Cette mécanique produit 2 effets assez intéressants : Le premier est que, là où d’autres jeux de ce genre vous demande de construire une seule ville selon une seule stratégie, quelque chose qui vous laisse avec une envie d’essayer une autre stratégie, ici, vous pouvez vous étendre sur deux. Deux fois plus de satisfaction ! Deuxièmement, à force de joueur en collaboration avec d’autres, vous voyez plus vite les différentes façons d’aborder le jeu.

Vous pourriez presque classifier celui là comme un Party Game. Il est un peu plus touffu que la plupart mais sa vitesse, ses interactions et sa grande accessibilité pour les joueurs font de Between Two Cities une bonne base pour toute soirée de jeu casual !

4 « J'aime »

Casual ? Me suis égaré sur le site anglais ? Ou c’est de la Novlangue ?
C’est quoi ce mot ? (et je n’ai pas envie de chercher)

Tien une réponse de la part de wiki: Casual game — Wikipédia

casual c est un hardcore gamer light :slight_smile:

sinon voilà plusieurs fois que ce jeu m intrigue et je n arrive pas à m en faire une idée précise “carcassonne” “qin” ???.. pas très clair dans mon esprit

La Novlangue avec Mister Jamie, t’y as presque droit à tous ses articles.
Alors s’il faut commencer à se vexer…

Attendons le jour où il maîtrisera mieux le jargon molièresque et choisira ses bourdes pour prolonger son style (si ce n’est pas déjà fait)!

Sinon le sitti buldingue me botte pas des masses et pas emballé par les illustrations des cartes. Je passe mon tour.

Qu’est-ce qui se passe chez Tric-Trac? Plus personne ne relit les articles? C’est le troisième que je lis en une soirée, bourrés de fautes d’orthographe, de syntaxe et de grammaire. Je sais qu’on s’en fout du français, moi le premier, mais là ça arrache les yeux les gars…

C’est l’effet JAMIE!